L’AU-DELA :

Quelle solitude de mourir,
Certitude d’être au moins une petite particule de vie,
Un petit point utile à quelqu’un,
Mais avant tout je veux croire en l’au-delà,
Je veux être opium,
Une petite particule d’hélium,
Qui partirait tout en fumée,
Je veux être une poussière d’ange,
Pour l’éternité,
Je ferais un long voyage,
J’irais dans un lagon où tout est paix,
Où les rêves deviennent réalités.

Chacun voit l'après à sa façon ...
Bisous, Karine.

N’ être pour renaître

Le jour où il mourra il n'aura plus de corps
Ses cendres voleront par tous les vents du monde
Il sera nulle part une âme vagabonde
Errant de ci de là cherchant le bon accord

Ayant au fond de lui comme unique trésor
Cet amour pour les mots les vers qui se répondent
Le poète en esprit s'éparpille à la ronde
Existant quelques temps encore après sa mort

Pour qu'il repose enfin il lui faut une main
Miracle de la vie elle est née ce matin
Elle est son paradis la porte de son âme

Il lui insuffle alors sa passion son aura
Dans son jeune regard déjà brille la flamme
Il peut s'évaporer l'enfant continuera

Karine

Y'à t-il une autre vie après tout çà ? Certains le pense... Est elle meilleure ? Je ne sais pas. Beau texte, Pascal. Belle suite, Karine.