Je crains la nuit quand t'es pas là,
Et la solitude autant,
Je crains les promesses,
Quelques foix le temps se suspend,
Et l'enfant qui est en moi oublie les instants d'innocence,
Je sais qu'il est là,
Je l'entends parfois,
Tous les rêves que j'avais sont partis en fumés,
On dit des choses qu'on oublie parfois,
Je voudrais-te les dires cent milles foix,
Et cela m'aiderais tant à vivre,
Quand mon passé arrêtera de me poursuivre je commencerais à vivre,
Et à avancer!
En attendent tes bras,
Je mets la musique en sourdine,
Adieu,
Il faut que je m'en aille!
Tout abandonner,
Rejoindre un autre monde,
Je te donne rendez-vous entre ailleur et l'infini,
Ou au paradis!
J'ai besoin de tes yeux,
Car c'est le miroir où j'existe,
Sans eux je disparais!
Je partirais là-bas,
Loin et serein,
Ici rien ne me retient,
Je rejoindrais le ciel et l'éther,
Je quitterais mon corps,
Et enfin ma souffrance cessera,
J'irais retrouver la lumière,
Là où la vie commence.