LES LARMES DU COEUR
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LES LARMES DU COEUR

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 LE LIVRE...

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Pascal
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MessageSujet: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 21:16

Je voudrais que cette histoire, mon histoire, ne se répète jamais…


Je n’ai jamais bénéficié d’une quelconque présomption d’innocence…
Tout comme a aucun moment on ne m’a accordé le bénéfice du doute. J’étais l’homme, le mari, le père : Donc, forcément coupable !


Je ne suis pas un monstre.


Tout le monde a fait obstruction à l’exercice de mes droits parentaux. Tout le monde a fait barrage pour que je ne puisse pas communiquer avec mes trois enfants… Alors, que je n’ai jamais conçu ma vie, sans eux.


C’est auprès de mes avocats, Maître Laure Tric et à ses collaboratrices, de Paris. Et de Maître Franck Rioufol, de Nantes. Que j’ai pu retrouvé peu à peu la confiance en moi. Car au début de ce cauchemar, j’étais à ramassé a la petite cuillère. Tout de suite, ils ont compris le sens de toute mon histoire. Mes avocats, ont su m’écouté et me rassuré, sans eux, je serais encore en prison !


Je ne sais pas vraiment, comment pouvoir les remerciés à la hauteur de leur dévouement envers moi. Je sais bien que c’est leur métier de défendre les gens, mais ils m’ont aussi prouvé qu’ils avaient un cœur. C’est bien grâce à eux, que je peux aujourd’hui, revoir mes trois enfants, et de nouveau, les serrez dans mes bras.

Alors, merci, merci à vous.


Avant toute chose, j’aurais souhaité du plus profond de mon cœur, que ni mes enfants, ma femme et moi, ne soyons acteurs de cette histoire. On pense toujours que cela ne peut arriver qu’aux autres, jamais à soi.
De toute évidence, il m’apparaît aujourd’hui, que je n’ai pas su me faire suffisamment aimer et apprécié de mon entourage pour protéger ma petite famille, que j’ai toujours fait passer en priorité dans ma vie. C’est en toute sincérité et sans vous abreuver de mots inutiles que je souhaite que ce livre serve d’une certaine façon de leçon à tout divorce conflictuel. Nous n’avons pas le droit de mêler nos enfants aux histoires d’adultes. Nous, nous devons de protéger l’innocence de nos enfants. Parce que c’est bien du fruit de notre amour dont je parle. Mes enfants, c’est ce que j’ai toujours eu de plus cher au monde. Jamais, je ne les abandonnerais, jamais.
Je ne suis pas un monstre.

Je pense que toute vie, quelle qu’elle soit, possède un cursus avec ses périodes d’exaltations et des périodes sans relief, tout comme mon histoire ne méritait pas d’aller aussi loin avec des choses aussi graves ! Qui n’a pas vu des familles se déchirer à la suite de révélations contestées par certains proches, agrémentées d’erreurs d’interprétations ou tout simplement de mensonges. Il est difficile pour certaines personnes d’évoquer certains événements sans être tenté de les arranger, de les falsifier ou de les taire. Que ce que j’ai vécu et enduré dans le silence, l’isolement et l’amertume, simplement parce que ça ne fait pas très sérieux un homme qui pleure en public : N’arrive plus jamais.
Personne ne devrait pouvoir se statuer au dessus de la loi, pas même une femme…

Etre une femme, une mère avant tout, et se servir d’une chose aussi horrible que la Pédophilie pour empêcher un père de famille de voir ses propres enfants est un acte abominable, pour ne pas dire : DEGUEULASSE.

Cependant, ce phénomène de mode, enfle de mois en mois et ce procédé plus que scandaleux, fonctionne, à l’égard de Juges de plus en plus frileux, qui n’hésite pas à ouvrir leur parapluie en prenant certaines mesures. Mesures, toujours à l’encontre des pères, à savoir, un droit de visite extrêmement étroit et contrôlé dans un centre spécialisé, souvent sans autorisation de sortie extérieur, et d’une durée, d’une heure tous les quinze jours.
Ce qui revient à dire qu’on sanctionne d’abord le père, et on enquête après, si enquête il y à… ??? Ce qui indique bien l’inadaptation croissante de notre droit familial à l’évolution de notre société. Moi, j’aimerais bien qu’au préalable on s’interroge sur les causes de cette triste constatation, qu’on puisse en analyser les effets destructeurs, et qu’ensuite on propose un remède qui soit à la hauteur des défis familiaux. Je vais dans ce livre, d’écrire certaines périodes, étaler certains faits de ma vie de couple, ainsi que de ma vie de famille, et ce, sans tricher, tout en restant le plus honnête et fidèle, comme je l’est toujours été. Quoi que l’on puisse me reprocher, je n’ai jamais trompé mon épouse, ou trahie son amour propre, j’ai toujours attaché une très grande importance à toutes nos convictions familiales. Je n’ai absolument rien à gagner à vouloir travestir la vérité, tôt ou tard, tout se sait. Je vais aussi parler de certaines personnes bien attentionnées, à qui on ne peut apprendre quoi que ce soit, parce qu’ils connaissent tout, mais si peu de la vie. Et pourtant ; on leur donnerait bien le Bon Dieu sans confession...
Je ne les juge pas selon leurs faits et gestes, et encore moins par leurs témoignages, mais selon la façon de procéder pour m’enlever toute crédibilité face à la Justice, et surtout aux yeux de mes trois enfants.

J’ai en effet, choisi de parler ouvertement, sereinement et sans aucune censure. Je veux aussi dénoncer une certaine hypocrisie qui n’a eu que pour seul but de détruire complètement toute ma petite famille. D’ailleurs, je ne comprends toujours pas, comment ma propre femme à pu cautionnée ce genre d’attitude. Je tiens aussi à préciser que je n’ai jamais prétendu être un homme parfait, je serais même tenté de dire, qu’aujourd’hui, je porte ma croix, en ayant tous les défauts que la terre puisse portée.
Je n’ai jamais été un Superman tout comme mon épouse n’a jamais été Wonder Wonman.

Derrière une façade peu ordinaire, notre vie familiale s’est écoulée avec ses hauts et ses bas comme tant d’autres couples avec ses tensions et réconciliations. J’ai pu apprendre à mes dépend que l’on pouvait choisir ses amis mais pas sa famille, il est évident que j’aurais dû faire avec, mais la vie en à décidé autrement, et c’est d’ailleurs là, tout le dilemme.

Ma première confidence est pour ma femme, Elisabeth. Je voudrais qu’elle sache que malgré tout ce qui c’est passé et malgré tout ce qu’elle à pu dire sur moi ; ma femme, est, et restera, l’amour de toute ma vie.
Personne, ne pourra l’aimer autant que moi, personne… Une chose est sûre, je ne referais certainement jamais ma vie, parce que j’ai déjà une famille. Je resterais sans doute moins fort qu’une femme, mais plus fort que l’amour, et dans mon cœur, du moins dans ce qu’il en reste, il n’y aura comme il y à toujours eu, qu’une seule et unique personne : Toi, Elisabeth.


Dernière édition par le Mer 28 Mar - 22:20, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 21:20

AVANT PROPOS :


C’est en région parisienne que j’ai rencontré pour la première fois Elisabeth, il y à près de dix huit ans, maintenant. Nous vivions encore chez nos parents respectifs. Elisabeth était déjà coiffeuse et moi je travaillais comme décorateur dans un des magasins de ma mère. Nous sortions à peine tous les deux d’une histoire pas très sérieuse. Par la suite, de nos peines et de nos chagrins ont se payaient de sacrés parties de rigolades. Je ne saurais dire combien de nuit nous avons passé à refaire le monde. Mais ce que je sais, c’est que c’est bien à la première seconde ou je l’ai vu, que j’ai su, qu’Elisabeth deviendrait ma femme, la mère de nos trois petits Anges.
Vous l’auriez connu à cette époque, vous seriez vous aussi tombé sous le charme de cette superbe brune aux yeux noisettes. Je dois aussi vous avouer et sans fausse modestie de ma part, qu’Elisabeth est entrée dans ma vie sans prévenir et elle a tout de suite prit une place très importante dans mon cœur. Bien souvent, assis l’un contre l’autre, sans s’occuper des autres, ont se faisaient plaisir en parlant d’avenir et tous les jours c’était de plus en plus beau. Amoureuse, douce et sincère, c’est elle qui m’a embrassé la première, moi, je n’avais pas osé. C’est elle qui m’a demandé de lui faire l’amour pour la première fois et pour de vrai. Je m’en souviens comme si c’était hier. Elisabeth ma offert ce que la vie ne m’avait jamais donner : Un sentiment d’être et d’appartenir.

Inconsciemment, c’est ce jour, que nous nous sommes promis l’un à l’autre sur les plus hautes marches du monde. Et quand un soir elle ma dit que tous les deux, on marieraient, j’étais au Paradis !
C’est aussi ce jour, que toutes nos convictions familiales ont pris naîssances. Nous, nous sommes fiancés le 04 novembre 1987, les parents d’Elisabeth n’ont pas jugés nécessaire d’être présent à nos fiançailles. Mais j’apprendrais plus tard, qu’ils n’étaient pas venus suite au chantage que leur plus jeune fils, Michel leur avait fait en leur disant :
« Vous n’êtes pas venus à mes fiançailles, alors je ne voie pas pourquoi vous irez à ceux d’Elisabeth et Pascal… De toute façon, si vous y aller, je ne vous parlerais plus ! »
Mais ce qu’il avait oublié, c’est qu’il était parti du domicile parentale, tout comme leur sœur Jacqueline en son temps, sans prévenir ses parents pour habiter avec Sylvie qui deviendra par la suite, sa femme. Ce n’est qu’un peu plus d’un mois après son départ, qu’il avait donné signe de vie à ses parents, ces derniers encore fâchés contre lui, ne se sont pas déplacés à ses fiançailles.

Deux ans plus tard, nous avons emménagé dans un quatre pièces à Aulnay S/Bois. Elisabeth était toujours coiffeuse à Bobigny, et moi, j’étais devenu responsable du service logistique de la Française des Jeux, à Villepinte. Mais suite à la délocalisation de mon site pour Moussy, je fus licencié. J’ai par la suite joué au ping-pong entre période de chômage et petits boulos, jusqu’en 1995. Cette année là, avait été merveilleuse pour moi, j’avais retrouvé un emploi en tant qu’agent de sécurité pour la Brink’s France et mon épouse, Elisabeth, venait de mettre au monde notre premier fils, Alexandre. En 1997, je fus de nouveau licencié, la Brink’ venait de perdre le site sur lequel j’étais en poste, je me retrouvais à la case départ : A.N.P.E.

C’est en novembre 1998 que par l’intermédiaire d’une cliente d’Elisabeth que je retrouvais enfin, un emploi en tant que gardien d’immeuble, à Tremblay en France. En 1999, est né notre second fils, Julien, et en 2001, est née ma petite Princesse, ma fille, Anaïs. Profitant du baptême de nos trois enfants, nous, nous sommes mariés le 27 octobre 2001 par devant Monsieur l’Officier d’Etat Civil de la mairie de Tremblay en France.
Ce jour, j’ai dit oui à mon épouse pour la vie, et rien que pour du bonheur. Là encore, Michel, le plus jeune des frères de ma femme n’a pas voulu assister à notre mariage parce que son ex-femme était présente avec ses trois premiers enfants, il était pourtant convenus depuis de longue date qu’il serait le parrain d’un de nos enfants et mon témoin à notre mariage, tout comme je l’avais été pour lui. Elisabeth était folle de rage et en pleure quand son frère lui a dit au téléphone qu’il ne viendrait pas à notre mariage. Elle lui à fait la tête jusqu’au soir du réveillon de Noël, elle venait d’apprendre, que son frère et sa nouvelle petite amie, Nadège, étaient tout seuls et sans un sou.
Ce soir là, le regard de ma femme c’est posé comme une question, je lui es simplement répondu, d’appeler son frère et de lui dire de venir réveillonné avec nous, en famille. Ce soir là, je lui ai même donné 300, 00 euros.
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 21:22

A TREMBLAY EN FRANCE :


Toutes mes journées se déroulaient de la façon suivantes, tout en sachant que mes horaires de travail étaient de 07h00 à 12h00 et de 15h00 à 20h00. Je prenais mon poste tous les matins à 07h00, heure à laquelle je commençais l’entretien des parties communes de la résidence qui m’avait été confié. Je revenais vers 08h15 pour emmener nos deux garçons à l’école, c’est ma femme qui emmenait notre fille à la crèche. De retour de l’école, je prenais mon véhicule pour emmener ma femme à la gare, pour qu’elle puisse se rendre à son travail, de nouveau de retour, je reprenais mon travail jusqu’à 11h00, c’est l’heure à laquelle je prenais ma permanence du midi à la loge afin d’être disponible pour les locataires de la résidence, logiquement je devais être présent jusqu’à 12h00, mais je quittais systématiquement mon poste vers 11h20 pour aller cherché nos enfants à l’école pour les faire manger à la maison et je les raccompagnais à l’école pour 13h30. Ensuite, j’allais faire les courses, je revenais à la maison pour faire le ménage, pendant qu’une machine tournait ou que le lave vaisselle était en route, je préparais le dîner afin d’être tranquille pour le soir. A 15h00, je reprenais mon poste. Puis, je retournais à l’école pour 16h30 afin de récupérer les enfants. De retour à la maison, je leur faisais prendre le goûter, ensuite, Alexandre allait faire ses devoirs dans sa chambre pendant que Julien s’amusait avec ses jouets dans le séjour. Moi, je rédigeais certains rapports pour ma société dans la loge. Puis, vers 17h45 je repartais mais cette fois-ci, avec les enfants pour aller reprendre ma fille, Anaïs, à la crèche. De retour tous les quatre à la maison je faisais prendre le bain aux enfants, et je les mettais en pyjama pour qu’ils soient plus à l’aise, vers 19h30 je les faisais prendre leur repas, et jusqu’à ce que ma femme arrive du travail ils regardaient la télévision. Une fois mon épouse de retour à la maison, un gros bisou à chacun et hop, tout ce beau petit monde au lit. Je me souviens qu’à cette époque, Jacqueline, la sœur de ma femme disait à qui voulait bien l’entendre, qu’Elisabeth avait une chance inouïe d’avoir un mari comme moi, qui s’occupait pratiquement de tout, aussi bien des enfants que de l’intérieur de la maison. Elle demandait même à son propre mari, Didier, de prendre exemple sur moi. Alors que pour lui, le simple fait de devoir changer une couche pleine de ses enfants à toujours été une épreuve insurmontable.

Le soir, ma femme et moi dînions en tête à tête, en amoureux, je ne vais pas dire que j’allais jusqu’à mettre des chandelles sur la table, mais je m’appliquais sur la façon de lui présenté son assiette. C’était le seul moment de la journée ou nous pouvions nous retrouver, alors, bien évidemment je n’allais pas gâcher ces instants si précieux à mes yeux. Parfois, j’en rajoutais un peu en lui disant :
« Madame est servi… »
Après avoir dîner, Elisabeth allait se détendre un peu sur le canapé et fumer sa petite cigarette du soir. Moi, je débarrassais la table et je mettais tout dans le lave vaisselle et puis je sortais dehors afin de faire faire leur besoin à nos deux chiens. Une fois de retour à la maison, je nous préparais notre petite ricoré avec un nuage de lait, puis j’allais rejoindre mon épouse. Là, nous regardions un peu la télévision, mais en règle générale, ma femme finissait toujours par s’endormir devant. Alors je la réveillais avec quelques bisous d’amour et nous allions nous coucher. Ils nous arrivaient de bavardés un peu avant de tombé dans les bras de Morphée. Le lendemain était une nouvelle journée, ou la encore, il fallait assurer. C’est le week-end que je faisais moins de choses, j’avais de la chance, ma femme était-là pour prendre le relais.
Je me souviens que nous profitions de ces moments ou l’on se retrouvait tous les cinq en famille. Nous faisions de grandes ballades en forêt, j’apprenais à faire du vélo à Alexandre, je jouais au football avec Julien, on se courrait après en se jetant de l’eau dessus. Elisabeth s’occupait de notre fille, Anaïs, encore trop petite pour jouer avec nous. Je me suis toujours occupé de nos trois enfants comme ma femme le faisait tout aussi bien. Je n’ai jamais rechigné à changer les couches de nos enfants quand ils étaient encore bébés, ou à leur préparer et à leur donner leur biberon. A les emmener au médecin lorsque cela était nécessaire. J’ai toujours suivi l’évolution de nos enfants étape par étape de leur petite vie.
Oui, je me suis toujours occupé de nos trois enfants tout comme je me suis occupé des neuf autres enfants de ma belle famille. Je n’ai jamais fait de différence entre mes enfants et ceux des autres. J’allais même à parcourir 120 kilomètres aller-retour pour récupérer les enfants de Jacqueline et Didier quand ils habitaient encore dans L’Oise, ils devaient sortir et Didier trop fatigué de sa journée de travail ne pouvait pas me les emmenés à la maison.
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 21:23

AVRIL 2003 :


* Notre départ pour la Bretagne (à Sainte Marie).

Mon épouse et moi-même avions tous les deux un emploi stable, à Tremblay en France, mais l’emploi de coiffeuse qu’Elisabeth occupait depuis plusieurs années dans le même salon en région parisienne ne lui plaisait plus beaucoup, elle rencontrait de plus en plus de problèmes avec ses patrons, à torts ou à raison… ???
Le soir, elle rentrait tout énervée à la maison, elle ne supportait plus, ni ses clientes ni les gens qu’elle rencontrait dans les transports en communs. Elisabeth était tendu et irritable. Les enfants et moi-même ne pouvions rien lui dire, elle se mettait tout de suite en colère, elle nous disait que nous l’énervions et qu’à cause de nous elle allait avoir une crise cardiaque ! Peut-être qu’à cette époque, je n’ai pas assez fais attention à ses cris d’alarme, peut-être que j’aurais du me rendre compte de certaines choses dans le comportement de ma femme et qui m’échappais comme de l’eau entre mes mains. De plus, l’environnement où nous habitions devenait, il est vrai, de plus en plus instable et cela ne nous plaisait pas. Et puis Jacqueline, la sœur d’Elisabeth a tellement insisté pour que nous venions nous installer auprès d’eux en Bretagne, que nous avons fini par céder. Je me souviens avoir dis à ma femme :
« J’espère que nous n’allons pas en Bretagne pour divorcer dans quelques mois… »
Et elle m’avait répondu avec un grand sourire :
« Mais non, qu’est-ce que tu raconte ? Tu sais bien que je t’aime ! C’est du n’importe quoi ce que tu dis. »
Nous avons fait confiance à sa sœur et mis entre ses mains notre avenir et celui de nos trois enfants. Elle m’avait aussi assuré un emploi stable venant d’une connaissance, à elle. Nous avons donc quitte notre appartement et démissionné tous les deux de notre emploi. Jacqueline nous avait aussi trouvé un pavillon en location (626, 00 euros par mois), à Sainte Marie, très joli site mais il faut obligatoirement un véhicule pour se déplacer (courses, école, travail, etc).

Nous avons donc emménagé le 04 avril 2003… Et c’est la que tous nos ennuis ont commencé. Les mois ce sont écoulés et toujours pas de travail, ni pour l’un ni pour l’autre. Nos économies ont fondu comme neige au soleil, et c’est après beaucoup d’attente que nous avons pu obtenir tous les deux les Assedics.
J’ai entre temps enchaîné sur quelques petits emplois ; remplacement de congés comme facteur à Langon, la cueillette des pommes à Massérac, inspecteur de magasin dans une grande surface à Redon.
Elisabeth n’a jamais trouvé d’emploi, sûrement trop occupée à bavarder avec son amie, Anne (c’est par l’intermédiaire de Jacqueline qu’Elisabeth à connue cette femme), à l’époque elle venait pratiquement tous les jours chez nous, et de ce fait nous n’avions plus beaucoup d’intimité, mon épouse et moi-même. Elle nous rapportait tout les faits et gestes de la famille de ma femme et toujours à leur détriments. Je n’aurais jamais du accepter cette femme sous mon toit, elle à été l’amorce de l’explosion de ma toute ma famille. Bien souvent lorsque ma femme la voyait arriver à la maison elle levait les yeux en l’air en me disant :
« C’est encore elle ! Je l’ai eu au téléphone y’à pas une heure… Je ne lui es pas dit de venir, qu’est-ce qu’elle veut encore ? »
Mais cinq minutes plus tard, elles étaient les meilleures amies du monde.
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 21:25

SAMEDI 07 AOUT 2004 :


* Le déroulement de cette journée.

C’est vers 10h00 du matin que j’ai apporté le petit déjeuner de ma femme au lit au premier étage de notre maison à Sainte Marie (un café noir, deux tartines beurrées et un croissant). Ensuite, j’ai préparé celui de nos enfants qu’ils ont pris dans la cuisine au ré de chaussée.
Par la suite, nous, nous sommes tous préparés et nous sommes partis faire des courses. En effet, nous devions quelques jours plus tard recevoir mes parents et un couple d’amis avec leur enfants. Ce jour, j’ai acheté pour un peu plus de 300,00 euros de victuailles en tout genre (dont une bouteille de SOHO pour mon épouse qu’elle à bien évidemment oublié de préciser dans toutes ses déclarations). J’ai même acheté une piscine à plus de 100,00 euros, une tente et un hamac pour que nos enfants puissent s’épanouir en toute liberté dans notre jardin. Puis, nous sommes rentres tranquillement à la maison pour y déposer et ranger nos achats.
Après le repas du midi (un petit barbecue fait par moi), nous sommes repartis pour acheter les fournitures scolaires de nos enfants. De retour à la maison, ma femme, les enfants et moi avons installés la piscine, la tente, le hamac et ce, sous un soleil de plomb. Nos enfants se comportaient comme des petits fous, ils étaient vraiment heureux. Ils chantaient, ils criaient, ils dansaient autour de nous, il fallait les voir faire, pour bien se rendre compte de ce que je dis. Cette journée en famille, serait la dernière que je passerais avec nos enfants trois, à Sainte Marie.
Fait très important, je reconnais avoir bu trois bières en cours de journée, repas compris, et rien d’autres…

Le soir nous avons dîné vers 20h30 un peu plus tard que d’habitude en cette période de congés scolaires. C’est à 21h00 que nous avons reçu un appel téléphonique de notre belle sœur, Gorette (qui est la femme de Manu le frère aîné de ma femme). Nous disant qu’ils passeraient le lendemain dans l’après midi, pour nous dire bonjour et au revoir, car ils devaient repartir pour la région parisienne. Ma femme était très déçue, car nous savions qu’ils avaient passé toute une semaine au bord de mer avec Jacqueline et Didier au bord de mer. Pour ma part, je n’ai pas été surpris du contenu de cette conversation téléphonique, parce qu’Elisabeth a toujours été plus ou moins mise de côté, sauf quand il fallait qu’elle leur coupe les cheveux. Je trouve vraiment désolant, que ma femme na jamais rien compris à leur petit jeu ou alors elle faisait semblent de ne rien comprendre, ce qui est peu probable.
Mais voir Elisabeth de nouveau en larmes à cause de leur comportement envers elle, à été pour moi, la goutte d’eau qui a fait débordé le vase. J’ai effectivement, demandé à ma femme de les rappeler et je leur ai passé un savon, tout en prenant parti pour mon épouse, et ce n’était pas la première fois que je prenais sa défense. Sur le coup de l’énervement j’ai balancé, il est vrai le téléphone dans la piscine, et la, c’est moi qui me suis fait engueuler par ma femme.
C’est à ce moment précis, que j’ai dis et fait, ce que je n’aurais jamais du ! Car en joignant le geste à ma parole, j’ai montré à nos enfants comment maman se faisait en permanence enculer par sa propre famille…

Je reconnais que ce n’était pas très intelligent de ma part de faire çà, tout comme je regrette amèrement ce que j’ai dis. Mais ça avait été plus fort que moi. Un peu plus tard, dans la soirée, voyant que ma femme me faisait la tête, j’ai voulu me faire pardonner en lui proposant d’aller tous les cinq mangés une glace à la Paillote sur le bord de la Vilaine. Elle m’a répondu sèchement qu’elle ne viendrait pas, alors j’ai demander aux enfants s’ils voulaient venir avec moi, il n’y à que ma fille, Anaïs, qui ai voulu venir.
Sur place, Stéphane (le petit copain d’Anne, l’amie de ma femme), est venu nous rejoindre, Anaïs, mangeait sa glace et moi je buvais tranquillement mon café. Je fus tout d’abord surpris de le voir, puis il m’a expliqué qu’Elisabeth leur avait téléphoné en leur disant que j’étais complètement ivre et que j’étais parti avec notre fille, à la Paillote Je lui ai offert un verre, un seul et uniquement a lui, si je dis çà, c’est que maintenant on dit que j’ai payé le coup à tout le monde à la Paillote, alors que c’est totalement faux.
D’ailleurs, les gendarmes l’ont constaté d’eux même lors de leur enquête à la Paillote pour vérifier si ce que je disais était vrai. J’ai expliqué à mon tour, à celui que je croyais être mon ami, ce qui c’était réellement passé, il ma alors confié, qu’il connaissait très bien Jacqueline et Didier et que leur comportement vis-à-vis de ma femme de l’étonnait pas du tout. Qu’ils avaient l’art et la manière de manipulé les gens, que c’étaient des baltringues, des gens sans envergure, qui ne se prenaient pas pour de la merde, etc, etc… Et qu’il faudrait faire sauter son bric à brac qui lui servait de garage à Massérac. Et que de toute façon si les gens savaient qu’il facturait le prix des réparations de leurs véhicules, uniquement à la tête du client, ils ne lui donneraient pas tort. Sur l’entre fait, Anne, sa petite amie, est venue nous rejoindre à la Paillote pour me dire qu’Elisabeth ne s’était pas calmée, qu’elle était dans tous ses états, et en pleure. Je lui ai répondu que je n’allais pas tarder à rentrer.
En moi-même, je me suis dis que j’avais peut-être été un peu trop loin dans notre dispute. Alors, je me suis levé pour aller payer ce que j’avais commandé au bar, et quand je me suis retourné, Stéphane avait disparu avec ma fille, je n’ai même pas attendu que l’on me rendre ma monnaie, j’ai pris mes jambes à mon cou et je suis rentré à la maison, et là, stupeur, une immense bouffée de chaleur à envahie mon corps tout entier en une fraction de seconde. J’ai trouvé le pavillon grand ouvert, toutes les lumières étaient allumées et toute ma famille s’était envolée, il n’y avait plus personne. J’ai fais deux, trois fois le tour de toute la maison mais en vain. J’ai alors pris ma voiture et je me suis rendu chez Jacqueline et Didier à Massérac, mais il n’y avait personne. Alors je suis allé chez Anne, l’amie de ma femme, toujours à Massérac, c’est sa mère qui m’a répondu en me disant qu’elle n’avait pas vu un seul membre de ma famille et que si je ne savais pas ou était ma femme, ce n’était pas de sa faute. Il ne me restais plus qu’à me rendre chez mon autre beau frère, Michel, à Bain S/Oust, mais la aussi pas de réponse. A croire qu’ils s’étaient tous volatilisés.

Plus les heures passaient et plus j’étais inquiet pour la sécurité de ma famille. De retour chez moi à Sainte Marie, j’ai pris mon portable et j’ai téléphoner je ne sais combien de fois à tout le monde, sans que je n’obtienne de réponse. Je ne savais plus vraiment quoi faire, ni ce qui m’arrivais. J’ai alors pris la décision de téléphoné à mes parents à Paris pour les mettre au courant de ce qui se passait, c’est ma mère qui m’a répondu, et à ma grande stupéfaction, elle me dit qu’elle avait eu Elisabeth au téléphone vingt minutes après que je sois parti avec ma fille à la Paillote, et qu’elles avaient bavardées toutes les deux pendant une demi heure. Ma mère était aussi au courant pour notre dispute, mais que rien n’avait laisser paraître un départ précipité de mon épouse avec nos trois enfants. Comportement que je ne peux encore, aujourd’hui, expliquer.
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 21:25

DIMANCHE 08 AOUT 2004 :


* Mes recherches.

Du milieu de la nuit jusqu’au petit matin j’ai du téléphoner trente ou quarante fois à tout le monde, mais je n’ai jamais eu de réponse de qui que ce soit.
J’ai fais au moins quinze fois l’aller-retour Sainte Marie / Massérac, Massérac / Bain S/Oust et Bain S/Oust, Sainte Marie. Ce n’est que vers 11h30 du matin que j’ai enfin pu rencontrer Nadège, la petite amie de Michel, le frère de ma femme à Bain S/Oust, qui ma simplement dit, tout en se foutant de moi qu’elle ne savait vraiment pas ou pouvait bien se trouver ma femme et nos enfants. Mais j’apprendrais bien assez tôt, que toute ma petite famille avait passé la nuit chez eux, et que c’est Anne, l’amie de ma femme, qui les y avait conduis. J’ai aussi rappelés mes parents pour savoir, si entre temps, ils avaient eu des nouvelles d’Elisabeth et des enfants, mais eux non plus n’avaient pas eu de contact avec ma femme. Toute cette journée de ce dimanche 08 août 2004, je l’ai passé à m’attendre au pire pour ma famille. Mais ce n’était que le début d’un cauchemar, mon cauchemar…
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 21:26

LUNDI 09 AOUT 2004 :


* Jour de mon arrestation.

Ce jour, je me suis rendu au commissariat de la police municipale de Redon pour déclarer l’abandon du domicile conjugale de mon épouse avec nos trois enfants. Mais sur place, l’agent qui m’a reçu m’a dit que cela ne dépendait pas d’eux, car habitant Sainte Marie, je dépendais de la Gendarmerie de Redon. J’ai donc quitté le commissariat de police municipale pour me rendre à la Gendarmerie, sans me soucier un seul instant que les gendarmes m’avaient devancés. C’est en voulant récupérer mon véhicule que j’avais stationné sur le parking de la Poste de Redon, qu’une équipe de gendarmes m’aient tombé dessus, arme à la main. J’ai été traité comme un véritable gangster, pire qu’un voyou, un criminel…

Imaginez une seconde ce qui s’est passé dans ma tête alors que je n’avais rien à me reprocher. Les gendarmes m’ont braqué avec leurs armes et sans ménagement, ils m’ont extirpé de ma voiture par le col de mon tee-shirt et ils m’ont plaqué le visage sur le coffre de mon véhicule, puis ils m’ont fouillé pour savoir si j’étais armé. Ensuite, les mains dans le dos, ils m’ont menotté avant de me faire monter dans leur voiture pour m’emmener à la Gendarmerie de Redon, afin d’être présenté et entendu devant un officier de police judiciaire (O.P.J.).
Là, encore, j’apprendrais que si les gendarmes chargés de mon arrestation plus tôt musclée n’avaient pas pris de gans pour le faire, c’est qu’auparavant, on avait bien pris la peine de les renseigné, de la façon suivante :
Que j’étais un homme très nerveux, très violent et dangereux. Encore sous l’emprise de stupéfiant, et susceptible d’être armé.
Alors dans le cas ou tous ces renseignements avaient été vrais, les gendarmes n’ont voulu prendre aucun risque. Mais d’un autre côté, cela revient à dire que n’importe qui, sachant un temps soit peu, s’exprimer comme il faut, peut faire arrêté sur une simple parole, n’importe quelle personne. Surtout quand plus, moi, je n’avais pas de chance… Ma belle sœur Jacqueline et mon beau frère Didier de Massérac, connaissaient très bien deux gendarmes en poste à la Gendarmerie de Redon, puisse qu’ils leur faisaient sauter leurs contraventions en échange de réparation gratuite de leur véhicule personnel. Je les ai vu à l’œuvre et uniquement sur un appel téléphonique, pour un excès de vitesse survenu dans la journée du 30 novembre 2003, l’auteur de l’infraction, Manu, l’un des frères d’Elisabeth.

S’en est suivi la perquisition du pavillon à Sainte Marie, les gendarmes ont tout retourné dans la maison, ils ont fouillé jusque dans les moindres recoins, ils ont même été à dévisser le faux plafond de la salle de bain pour voir si je ne cachais pas d’armes. Puis dans mon véhicule, jusque dans le capot moteur. L’un des gendarmes s’est adressé à moi en me demandant ou je planquais la koc et le shite ? J’avais beau lui répondre que je ne savais pas de quoi il pouvait bien me parler mais cela ne l’empêchait pas de continuer à me questionner. Ensuite, les gendarmes ont changés de sujet, ils m’ont demandés si j’aimais regarder les petites filles et les petits garçons tous nus sur internet ? Là, je me suis dis tu va te réveiller, nom de Dieu, Pascal réveille toi.
Les gendarmes ont saisis mon ordinateur pour voir ce qu’il contenait, mais que celui qui utilise internet et qui na jamais télécharger une seule photo de femme nue lève le doigt ?
Du matin jusqu’au soir j’ai dû répondre aux question que me pausais les gendarmes. Toute ma vie y est passée. Les gendarmes m’ont même demandé si j’aurais accepté que ma femme veuille pratiquer l’échangisme. Si j’aimais prendre le bain avec mes enfants et si j’aimais leur caresser les fesses. J’étais dans une autre dimension et totalement impuissant à ce qui se déroulait sous mes yeux. Et tout ça, pour une simple dispute avec ma femme… J’avais du mal à y croire, il devait bien y avoir autre chose, ce n’était pas possible autrement. Gendarmes ou pas, on n’agit pas comme çà, avec les gens. Bien sûr que non, et çà aussi je n’allais pas tarder à l’apprendre par les gendarmes.
Toute ma belle famille et sans oublié Anne, l’amie de ma femme et Stéphane le petit copain d’Anne, ils ont tous fait des dépositions contre moi, à la Gendarmerie de Redon, et ils y allaient les uns derrière les autres, et ce, dès qu’une personne quittait le bureau de l’O.P.J. une autre prenait sa place, toutes les vingt cinq minutes environ.
Michel le petit frère d’Elisabeth que j’avais toujours considéré comme mon propre frère, et pour qui j’ai fais tant choses, leur à dit que j’étais un extraterrestre parce que je possédait une force surhumaine, et qu’il voulait porter plainte contre moi pour tentative de meurtre…
J’aurais du écouté ma femme quand elle me disait de me méfié de lui, parce qu’il commençait a devenir comme sa sœur Jacqueline, hypocrite, menteur, manipulateur et profiteur, Nadège, la petite amie de Michel, pour qui il a abandonner ses trois premiers enfants et qui à une certaine époque j’avais empêcher de se suicider parce que Michel voulait rompre avec elle, confie aux gendarmes que j’étais un alcoolique et qu’une fois mes bouteilles d’alcool vide je les remplissais avec de l’eau pour faire illusion. Jennifer 16 ans, la demi sœur de Nadège, qui na pas hésité une seconde à porter plainte contre sa propre mère pour se faire émancipé, en rajoute une couche en disant aux gendarmes que je regardais des films pornographique avec le plus jeune de mes fils, Julien, et que je l’éniciais à la cigarette. Jacqueline à déclarer aux gendarmes que je la harcelait parce que je n’arrêtais pas de lui demander de venir couché avec moi à l’hôtel, alors que depuis 18 ans elle na jamais pu me voir en peinture. Sauf, pour me montrer ses seins, simplement pour les comparer avec ceux d’Elisabeth dans sa propre chambre et en présence de ma femme et heureusement d’ailleurs, que ma femme était là ! Son mari Didier dormait sur le canapé, à cette époque ils habitaient encore en région parisienne. Et c’est sans compte ses petites confessions croustillantes, du genre, qu’elle aimait tout en amour, vraiment tout, la fellation, la sodomie et autres positions toutes aussi diverses que variées. Dans sa déposition face aux gendarmes, elle ose dire que je battais mon épouse quotidiennement… C’est une honte. Pourquoi n’a-t-elle pas dit aux gendarmes, que pendant les années 80 elle avait était condamnée par le tribunal de grande instance de Bobigny pour faux et usage de faux, pour avoir subtiliser le livret d’épargne de sa mère en imitant sa signature pour avoir de l’argent facile et rapide, pour financer ses fugues et coucheries, de mémoire, son père na jamais été au courant de cette histoire, si non, il l’aurait tué sur place.

Et la cerise sur le gâteau, c’est que les gendarmes m’ont sorti de je ne sais ou, un certificat médical avec un arrêt de travail de huit jour, concernant mon épouse. Il paraît que je l’aurait soulever à bout de bras et que de toutes mes forces je l’aurait balancé sur la table de la salle à manger, puis que je lui aurait enfoncé mes deux pouces dans les yeux et que j’avais fini par la rouée de coup de la nuque jusqu’au bas du dos, ma femme portant un hématome à cette endroit en est la preuve, et que cette scène aurait eu lieu devant nos trois enfants. Moi, j’aurais bien cru à leur histoire, puisse qu’il y à tellement de dingue dans la nature, mais nous n’avons jamais eu de table dans notre séjour parce que avions entièrement transformer notre salle à manger en immense salon. De plus, j’avais tellement mal au dos, moi, que je ne pouvais même pas soulever ma propre fille de trois ans, car durant toute une semaine j’avais passé la tondeuse dans nos deux jardins et dans celui de mon beau frère Michel, à Bain S/Oust, et le soir c’est ma propre femme qui m’appliquait de la pommade sur le dos, pour me soulager. Et la Jacqueline, devant les gendarmes comparaissait son mari Didier avec moi, mais parlons en deux minutes de ce brave homme, qui na pas hésité a la trompé pendant plus de quatre année durant et même tout en étant enceinte de leur dernier fils, ce qui ne la jamais empêcher d’aller forniquer ailleurs. Et selon Anne, pendant les six premiers mois suivant leur installation à Massérac, Didier était ivre tout les soirs, et quand il rentrait chez eux, c’était pour aller cuvé sur le canapé, il ne pouvait même pas parler et était bien incapable de s’investir auprès de ses quatre enfants. Et Anne, finissait par nous confier, que ces gens là se sentait envié par tout les gens du bourg de Massérac parce qu’il les prenaient pour des Notables. Mais bon, quoi qu’il en soit, je suis resté en garde à vu de 09h15 ce lundi 09 août 2004 jusqu’au mardi 10 août 2004, 09h45.

Juste avant d’être relâché l’un des gendarmes chargé de mon arrestation et qui à participé activement à mon interrogatoire ma dit ceci :
« Je vais dire une chose, Monsieur, une belle famille comme la vôtre, moi, je n’en voudrais pas ! Si vous pouvez vous arranger avec votre épouse, faite-le, et prenez toute vôtre famille avec vous, et partez a mille kilomètres d’ici. Ce n’est qu’à cette seule condition que vous arriverez à sauver votre famille. »
Je pense souvent à ce que ce gendarme ma dit, et plus j’y pense, et plus je me dis qu’il avait raison. Malheureusement, toute la famille et l’entourage de ma femme, ont tout fait pour que je ne puisse pas l’approché, ni de près ni de loin. Il lui on même interdit d’entrée en communication avec moi, sous aucun prétexte il ne fallait qu’Elisabeth me parle.
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 21:28

LUNDI 23 AOUT 2004 :


* Requête en divorce pour faute à mon encontre.

A Monsieur ou Madame le Juge aux Affaires Familiales prés le Tribunal de Grande Instance de Nantes :
Madame Elisabeth née, …, de nationalité Française, sans emploi, demeurant, chez SOS FEMMES, 44000 Nantes. (aide juridictionnelle en cours).
Ayant pour avocat Maître, …, du barreau de Nantes, y demeurant en cette qualité. A l’honneur de vous exposer, qu’elle à contracté le mariage le 27 octobre 2001 par devant L’Officier D’Etat Civil de la mairie de Tremblay en France, avec Monsieur Pascal Dague né, …, de nationalité Française, sans emploi, demeurant, 35600 Sainte Marie.

Que cette union n’a pas été précédée d’un contrat de mariage. Que le régime matrimonial n’a pas été modifié depuis lors. Que trois enfants sont issus de cette union légitimée par le mariage de leurs parents :
Alexandre Dague, né le 10 janvier 1995 à Drancy, 9 ans.
Julien Dague, né le 14 juin 1999 à Drancy, 5 ans.
Anaïs Dague, née le 31 mai 2001 à Tremblay en France, 3 ans.
Qu’elle est immatriculée à la CPAM de Redon sous le numéro, …

Madame Dague est aujourd’hui dans la pénible nécessité de demander le divorce en application des dispositions des articles 242 et suivants du code civil :
Qu’en effet, au fil des ans, Monsieur Pascal Dague s’est montré de plus en plus autoritaire et exigeant envers son épouse. Qu’il multiplie les scènes de ménages, au cours desquelles il use de violence verbales, et de propos blessant et humiliants envers son épouse. Que ces scènes ont notamment pour cause un problème d’alcool. Que récemment Monsieur Pascal Dague au cours d’une crise, n’a pas hésité à frapper physiquement son épouse, ce qui est inadmissible. Que ces faits constituent pour la requérante une violation grave et renouvelée des obligations et devoirs du mariage qui rendent intolérable le maintien du lien conjugal. C’est pourquoi, l’exposante requiert qu’il vous plaise, Monsieur le Juge aux Affaires Familiales de bien vouloir lui donner acte de la présentation de sa requête et la convoquer ainsi que son époux aux jours et heures qu’il conviendra afin qu’il soit procédé à la tentative de conciliation prévue par la loi. L’autoriser à défaut de conciliation à assigner son époux en divorce…

Pour requête faite à Nantes, le lundi 23 août 2004, par Maître, …,


Et c’est après tant d’années de vie commune avec mon épouse que j’apprends comme çà, ma soit disante attitude envers elle. Alors que je l’ai toujours aimé de façon fusionnelle, de façon à ce qu’elle ne manque jamais de rien, me privant souvent pour lui offrir ce qu’elle désirait. Je me souviens par exemple d’un séjour de trois semaines que nous avons passés tous les deux, en amoureux, à la Grande Motte, durant ces trois semaines j’avais dépensé plus de 40.000,00 francs, pour lui offrir de merveilleuses vacances qu’elle n’avait jamais eu de sa vie. J’ai toujours soutenu ma femme, tout comme je l’ai toujours accompagné et épaulé dans les mauvais moments. Je ne sais combien de fois j’ai pris position pour ma femme la défendant bec et ongle en m’attirant bien souvent les foudres de sa famille, alors que tous les membres de sa propre famille l’on toujours prise pour une C… Et çà, je n’ai jamais pu l’accepter, jamais.

On pouvait et l’on peut toujours me faire ce que l’on veut de moi, me critiquer, me rabaisser, ou bien autre chose, à la seule condition de ne pas toucher à mon épouse. Oui, j’ai toujours aimé ma femme comme personne ne peut l’imaginer, tout comme je n’ai jamais rompue mes engagements devant Monsieur le Maire. Alors apprendre comme çà, l’homme que je ne suis pas, me brise le cœur. Vous savez, tout au début de notre histoire, Elisabeth ne savait même pas faire cuir un œuf, c’est moi, qui lui es appris à faire la cuisine. Elisabeth n’était jamais monté dans le TGV, c’est avec moi, qu’elle la prit pour la première fois, et pour rigolé je lui avais demandé s’il elle avait pensé à prendre son parachute. Je ne comprends pas se qui c’est passé depuis, cette situation ne nous ressemble pas.
Si vous saviez comme je l’aime…

Ma femme a-t-elle réellement pensée aux conséquences destructrices de sa procédure de divorce sur l’ensemble de notre structure familiale, et en particulier sur ce que peuvent ressentir nos trois enfants ? Mais force est de constater que non.
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 21:30

LUNDI 04 OCTOBRE 2004 :


* Tentative de conciliation au Palais de Justice de Nantes.

Nous, …, Juge aux Affaires Familiales, donnons acte à Madame Elisabeth, …, épouse Dague, de la présentation de sa requête en date du mercredi 1er septembre 2004, en divorce. Disons qu’il sera procédé à la tentative de conciliation au Palais de Justice de Nantes, ordonnons à cette fin la convocation du conjoint de l’époux demandeur.
Le jeudi 09 septembre 2004.
Le Juge aux Affaires Familiales.

A, Monsieur Pascal Dague,
J’ai l’honneur de vous informer que votre conjoint a fait déposer au greffe du Juge aux Affaires Familiales de ce Tribunal une requête en divorce, dont une copie est annexée à la présente convocation. C’est pourquoi, je vous invite à vous présenter devant ce Magistrat en vue de la tentative de conciliation à laquelle il sera procédé en exécution de la décision transcrite ci-dessus.
Veuillez agréer, Monsieur, etc, etc…

Ce jour, 10h30 salle de conciliation – C.
J’étais déjà présent au tribunal accompagné de mes parents et de mon avocat, Maître Laure Tric, lorsque ma femme est arrivée à son tour, habillée comme une pauvre fille mais elle avait un regard rempli de haine. Elle était accompagnée de son amie Anne, et de Marc, un ami de ma belle famille. Je me souviendrais toujours de la réflexion de mon avocat :
« Et bé, elle n’a pas l’air commode votre épouse ! »
Et moi de lui répondre :
« C’est normal, ma femme est accompagnée, son comportement ne peut pas être autrement. Elle n’est pas seule, Maître, elle ne peut pas avoir un comportement naturel »
Son amie la tenait à bonne distance de moi, sûrement pour que nous ne puissions pas se parler. Alors, je me suis levé du banc ou j’étais assis et je me suis dirigé vers ma femme. Anne s’est écarté de nous, nous nous sommes faient la bise, et c’est avec une certaine émotion, que nous avons parlé de nos trois enfants. Elisabeth, m’avait certifié en cet instant, qu’elle me laisserait voir Alexandre, Julien et Anaïs comme je le souhaiterais, qu’elle ne tenterais rien contre moi pour m’empêcher de voir les enfants.
Pendant tout se temps, son amie Anne se tordait le cou derrière un pilier du tribunal pour épier les faits et gestes de ma femme, envers moi. Puis, nous sommes entrés tous les deux, accompagné de nos avocats, dans le couloir menant au bureau du Juge aux Affaires Familiales. Là, Elisabeth m’a parlé comme si, nous nous étions quitté la veille au soir, nous nous tenions par le bras, et elle me souriait tout naturellement. Mon avocat ne comprenait plus rien à se changement de personnalité et de comportement. Mon avocat m’a pris à part pour me demander ce qui se passait, je lui ai simplement répondu, que si ma femme n’avait pas écouté son entourage et son amie, nous n’en serions pas là.
Puis je suis retourné auprès de mon épouse, elle avait les yeux mouillés. J’ai demandé à Elisabeth de rester fidèle à toutes nos convictions familiales, pour sa réponse, elle ma tendu sa main gauche et en me montrant son alliance, elle ma dit :
« Je suis une mère de famille avec trois enfants… Je ne suis pas une femme à prendre ! »
Et moi, comme un con, je l’ai cru.
Puis nous sommes entrés avec nos avocats dans le bureau du Juge, là, le greffe a d’abord donné la parole à l’avocat de mon épouse… J’en ai entendu des vertes et des pas murs, et puis ce fût à mon avocat de parler, ma femme a tenté à plusieurs reprises de couper la parole à mon avocat, mais le sien lui a fait signe de se taire. Quand mon avocat eu fini de plaider, nous sommes tous sortis du bureau, et au bout de dix minutes environ, ma femme est entrée seule dans le bureau du Juge, et ressortie au bout de trois minutes, puis ce fût à mon tour d’entré de nouveau dans le bureau du juge, le greffe m’a poser une seule question :
« Pensez vous reprendre la vie commune avec votre épouse ? »
Je lui ai répondu que nous avions une famille composée de trois magnifiques enfants, et que je tenterais l’impossible pour la sauver, alors ma réponse est oui, je souhaite reprendre la vie commune avec ma femme, et ce, contre l’avis de son entourage, de son amie et de sa famille. Puis je suis sorti du bureau du Juge.

Je n’ai jamais entendu le son de la voix du Juge… Le Juge ne s’est à aucun moment adressé à moi, comme il ne la pas fait d’avantage avec nos avocats. Le Juge a simplement levé les yeux deux ou trois fois vers moi et a repris sa tête base. Même mon avocat avait été surpris d’une telle attitude de la part d’un Juge aux Affaires Familiales, surtout pour une tentative de réconciliation entre deux époux. Alors que normalement, le Juge aux Affaires Familiales aurait du, s’entretenir personnellement avec ma femme, puis avec moi, avant de nous réunir en sa présence et nous parler des conséquences éventuelles d’un divorce. Ce Juge, n’a, à aucun moment tenté de nous faire renoncer, mon épouse et moi-même, au divorce. Et pourtant, j’aurais tellement souhaité que ce Juge, montre la voie de la sagesse à ma femme, qui lui montre la réalité des choses. J’aurais tellement désiré que ce Juge, lui face comprendre que la vie et l’avenir de nos trois enfants est en jeu. Surtout qu’après presque dix huit ans de vie commune, et avoir surmonté tant d’obstacles, tout, vraiment tout, aurait pu s’arranger entre nous deux. Mais il aurait aussi fallut, qu’Elisabeth cesse d’écouter son amie Anne et toute sa famille. Ils se sont tous lies contre moi, afin de détruire ce que j’avais de plus chers au monde, ma famille !
Je ne pourrais jamais leur pardonner le mal qu’ils ont pu faire psychologiquement à mes enfants, à ma famille, et toute aussi sûrement à mon épouse. J’espère vraiment qu’un jour ma femme se rende compte de son erreur, qu’elle se rendre compte qu’elle s’est fait dupé, berné et manipulé, parce qu’on na jamais voulu de moi dans sa famille. Ma femme a suivi à la lettre tous ces conseils qu’on pouvait lui ordonner si gentiment de faire contre moi. Elle na jamais prit en compte l’importance de tous ces actes…

Je me retrouve Seul… Contre Tous !
Impuissant devant la destruction totale de ma petite famille. Le pire dans tout çà, c’est qu’à l’heure actuelle, ma belle famille en rigole, se foutant royalement d’avoir foutu en l’air une famille avec trois enfants en bas âge, et pour qui j’ai fait tant de choses pour leur venir en aide, c’est écœurant de voir que pas un seul, d’entre eux, ne sait dit faisons quelque chose, ils sont en train de faire une connerie, pas un.

J’ai vraiment ressenti cette tentative de conciliation comme un coup d’épée dans l’eau. Il existe des lois pour divorcer, séparer des parents de leur enfants, pour détruire les familles, mais aucune pour réconcilier une mère, un père, afin de rendre le sourire au bonheur tant attendu des enfants, de voir leur deux parents de nouveau réunis pour la vie.
Avant de repartir du tribunal, j’ai remis à ma femme des vêtements que j’avais acheté pour nos enfants. Nous, nous sommes embrassés pour nous dire au revoir, j’avoue que je lui ai glissé un je t’aime, dans le creux de son oreille. Elle ma souri, elle à baissée la tête.
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 21:31

LUNDI 11 OCTOBRE 2004 :


* Ordonnance de non conciliation.

Nous, …, Juge aux Affaires Familiales, assistée de, …, greffier, vu la requête en divorce en date du lundi 23 août 2004, présentée par,
Elisabeth, …, épouse Dague.
Assistée de Maître, …, avocat au barreau de Nantes.

Pascal Dague.
Assisté de maître, …, avocat au barreau de Paris.
Avons rendu l’ordonnance dont suit la teneur :
Vu notre ordonnance du jeudi 09 septembre 2004 fixant au lundi 04 octobre 2004 la tentative de réconciliation. Après avoir examiné notre compétence et rappelé les dispositions de l’article 252-3 du code civil. Après avoir entendu, conformément aux dispositions des articles 252 à 252-2 du code civil les explications des époux et de leur conseils, l’affaire à été évoquée le lundi 04 octobre 2004, puis mise en délibérée à ce jour.
N’ayant pu concilier les époux et vu les articles 254 et suivants du code civil, en conséquence, autorisons Madame Elisabeth, …, épouse Dague à faire assigner son conjoint devant le tribunal aux fins de divorce lui rappelant qu’aux termes de l’article 1113 du nouveau code de procédure civil, si l’époux n’a pas usé de l’autorisation d’assigner dans les trois mois du prononcé de l’ordonnance, son conjoint pourra, dans un nouveau délai de trois mois, l’assigner lui-même et requérir un jugement sur le fond, si l’un ou l’autre des époux n’a pas saisi le tribunal à l’expiration des six mois, les mesures provisoires seront caduques.
Et, statuant sur les mesures provisoires, autorisons les époux à résider séparément durant l’instance.
« Il n’a jamais été dit, écrit ou préciser… Et il n’a jamais été autorisé par le Juge aux Affaires Familiales, que l’un ou l’autre des époux, avait le droit d’être infidèle ! »

Faisons défense à chacun d’eux de troubler son conjoint à sa résidence, si non, les autorisons à faire cesser le trouble par toutes voies et moyens de droit, même avec l’assistance de la force publique si besoin est. Ordonnons à chacun des époux de remettre à l’autre, avec la même assistance, ses vêtements et objets personnels.

Sur les mesures relatives aux enfants, disons que l’autorité parentale sur les enfants est exercée en commun par les deux parents. Disons la résidence habituelle des enfants chez la mère, compte tenu d’une plainte déposée par Madame Dague pour des faits d’agressions sexuelles sur mineurs de moins de quinze ans par ascendant.
Disons que le droit de visite du père s’exercera au Point Rencontre de l’UDAF 44, à Nantes. A charge pour la mère de conduire les enfants aux heures fixées par les intervenants du centre, deux fois par mois, sans sortie, entre 13h00 et 17h00 et ce, jusqu’à nouvelle décision. Précisons que pour organiser la première visite les parents devront prendre contact avec le Point Rencontre par téléphone aux heures de permanence les vendredi de 09h30 à 12h30.

Ordonnons une enquête sociale avec entretien psychologique de la famille et commettons pour y précéder l’Association de recherche et de Prévention Social, Tribunal de Grande Instance de Nantes.
Avec pour mission de recueillir tous renseignements sur la situation matérielle et morale de la famille, sur les conditions d’éducation des enfants auprès des parents et de nous proposer les mesures à prendre quand à l’exercice des droits parentaux. Disons que le rapport devra être déposé dans les trois mois de la saisine. Ordonnons un examen psychiatrique des parents et commettons pour y procéder le Docteur, …, 44700, Nantes.
Disons que le rapport devra être déposé dans les trois de la saisine. Disons que Madame Dague ayant formulé une demande d’aide juridictionnelle, elle n’aura pas à verser de consignation à valoir sur les honoraires de l’expert mais que Monsieur Dague devra, dans le mois de la présente décision, consigner au greffe de ce tribunal, auprès de Monsieur le Régisseur d’Avances et de Recettes, la sommes de 206,00 euros, faute de quoi la mesure sera caduque.
Sur les mesures financières :
Madame Dague, déclare percevoir des Assedic de, …, et des prestations de la CAF, soit un total de, …, par mois.
Monsieur Dague, déclare un salaire de, …, pour 145 heures de travail par mois, avec en sus des primes de panier, des indemnités de transport, de nettoyage et d’habillage. Fixons à la somme de 250,00 euros par mois la pension alimentaire due par le père pour l’entretien et l’éducation des enfants, ladite somme étant payable le 1er de chaque mois, d’avance, au domicile de la mère et sans frais pour elle en sus des prestations sociales. Rappelons que la présente ordonnance, déposée au rang des minutes du greffe, est exécutoire par provision, même en cas d’appel et autorisons les parties à requérir au besoin l’assistance de la force publique pour son exécution !
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 21:33

JEUDI 28 OCTOBRE 2004 :


* Signification d’ordonnance de non conciliation et assignation en divorce pour faute.

A la requête de Madame Elisabeth Dague.
Nous, …, je, soussigné, ..., Huissier de Justice à Pipriac, y demeurant.
A Monsieur Pascal Dague.

Signifie et laisse copie de l’ordonnance de comparution en forme de grosse exécutoire rendue par Monsieur le Juge aux Affaires Familiales prés du Tribunal de Grande Instance de Nantes, le lundi 11 octobre 2004, constatant la non conciliation entre les époux et autorisant Madame Dague, à assigner son conjoint et à résider séparément (uniquement).
Par ces motifs :
Recevoir Madame Elisabeth Dague, née, …, en sa demande de divorce. En conséquence, s’entendre prononcer le divorce de Madame Elisabeth Dague, de nationalité Française, sans emploi, demeurant chez SOS FEMMES, 44000, Nantes, d’avec son époux, Monsieur Pascal Dague, né, …, de nationalité Française, sans emploi, demeurant à 35600, Sainte Marie.
Mariés depuis le 27 octobre 2001, à Tremblay en France.
Aux torts et griefs exclusifs de ce dernier. S’entendre confirmer les mesures provisoires édictées dans l’ordonnance de non conciliation en date du 11 octobre 2004, concernant la pension alimentaire pour les enfants mineurs. Donner acte à Madame Elisabeth Dague de ce qu’elle se réserve d’amplifier ses demandes par voie de conclusions ultérieures. S’entendre ordonner la mention du dispositif du jugement à intervenir à transcrire en marge de l’acte de mariage des époux et de leurs actes de naîssance respectifs. S’entendre commettre tel notaire qu’il plaira à Monsieur le Juge aux Affaires Familiales aux fins de procéder aux opérations de comptes, liquidations et partage de la communauté et ce, sous la surveillance de l’un de Messieurs les Juges du Siège commis à cet effet. S’entendre ordonner l’exécution provisoire du jugement à intervenir, s’entendre monsieur Pascal Dague condamné aux entiers dépens de la présente instance dont distraction au profit de maître, …, aux offres de droit.
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 21:34

SAMEDI 27 OCTOBRE 2004 :


* Ma première visite au Point Rencontre (centre UDAF 44).

Tout d’abord, je me permets d’insister sur un point qui est très important pour moi :
Ce lieu est bien, même sans barreaux une prison ! Que ma femme ait trouvé cet endroit charmant et tout a fait acceptable pour recevoir nos trois enfants, cela la regarde. Mais à sa place, j’aurais tellement honte d’avoir tant insister pour que je ne puisse pas rencontrer nos enfants ailleurs que dans cette prison, que je ne pourrais plus me regardé dans une glace.
15h00, ce jour…
J’ai été accueilli par un psychologue avec un entretien de dix minutes, m’expliquant le pourquoi je voyais mes trois enfants dans de telles conditions. Ensuite, j’ai rencontré la directrice du centre qui ma expliqué les règles à observées pour que tout se passe pour le mieux, elle m’a même remis un règlement intérieur. Ma femme est arrivée avec quinze minutes de retard et le sourire aux lèvres, je l’ai entendu dire :
« Non, non, je ne veux pas le voir… »
Mon épouse na même pas eu la délicatesse de leur expliquer ce que c’était comme centre et ce qu’on y faisait. Les enfants pensaient que c’était un centre de loisirs, ils étaient très déçus de cet environnement (une pièce de 4m² environ, une petite table, des chaises se mélangeants grossièrement avec quelques jouets perdu au milieu de la pièce, une étagère portant quelques livres, une fenêtre que nous n’avions sous aucun prétexte le droit d’ouvrir). Pendant tout le temps de ma visite la porte de cette pièce est restée grande ouverte. Le psychologue et la directrice du centre passaient et repassaient toutes les cinq minutes pour observer comme se comportaient mes trois enfants avec moi. Toutes les personnes du centre UDAF 44 ont tenté de m’interdire de prendre en photo et de pouvoir filmer au caméscope mes propres enfants, et ce, à la demande de ma femme. La raison invoquée pour m’empêcher d’immortaliser cette rencontre avec l’horreur était ; que je pouvais truquer les images photos et faire des montages des films vidéo. Encore merci, Elisabeth.
Mais j’ai pris sur moi de le faire quand même, je n’ai pas écouté toutes ces personnes qui me sucgerrait si gentiment d’ailleurs de ne pas le faire. J’ai photographié et filmé mes enfants, peut-être qu’un jour prochain ils me demanderont de voir et d’entendre ce que l’on tentera de leur cacher, la vérité.
Car le mensonge, la jalousie et l’hypocrisie sont à eux trois, la règle d’or de ma belle famille, et comme je m’aperçois que mon épouse déteint sur eux, je ne suis plus vraiment sûre de sa sincérité. J’ai bien entendu couvert mes enfants de cadeaux, faits qui me sera reproché en voulant démontrer que je voulais acheter l’amour de mes trois enfants. Même si, dans l’entre fait, la directrice du centre croyait que c’était le Père Noël qui passait en avance. Je ne voie pas pourquoi je changerais, j’ai toujours attaché une très grande importance aux envies, désirs, et souhaites de mes trois enfants, mais ma femme n’y prête peut-être plus attention !
Par la suite et tout au long de mes visites (huit au Point Rencontre UDAF 44) avec mes enfants, mon épouse à adopté une attitude étrange. J’avais du mal à reconnaître la personne avec qui j’avais vécu aussi longtemps. Je la savais manipulée, orientée, dirigée par toute sa famille et son amie Anne, mais pas à ce point. C’est bien pour çà, d’ailleurs, que je n’ai jamais rien tenté par voie de Justice contre ma femme et puis je pensais qu’elle aurait eu le temps de réfléchir à notre situation et quelle serait revenus a de meilleurs sentiments. Je tiens à dire tout de même que pour voir mes enfants, puisse qu’à cette époque mes parents on vu dans quel état ou je me trouvais alors ils m’ont hébergés chez eux à Paris et de ce fait, je faisais l’aller retour Paris / Nantes et Nantes / Paris dans la même journée uniquement pour une heure de visite, pas plus. Mais pour voir mes trois enfants, j’aurais fais n’importe quoi. A chaque fois que j’apercevais mon épouse elle affichait un sourire au coin des lèvres comme pour me dire :
« Tu voie, on m’a cru… J’ai gagné. »
Lors d’une visite elle ma même dit :
« Bonne chance ! »
Et devinez qui l’accompagnait pour se rendre au Point Rencontre, à Nantes, avec les enfants ?
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 21:35

MARDI 11 JANVIER 2005 :


* Conclusion d’expertise psychiatrique.

Je soussigné Docteur, …, Médecin psychiatre, expert prés la cour d’appel de Rennes, excercant à Orvault (44) commis à la demande de, …, Juge aux Affaires Familiales, au Tribunal de Grande Instance de Nantes (44).
Ayant pour mission l’examen psychiatrique de Monsieur Dague Pascal. Après avoir pris connaissance du dossier et s’être entouré de tous renseignements utiles, donner ses conclusions. L’expertise psychiatrique de Monsieur Dague Pascal intervient dans le cadre d’une demande de modification de l’exercice parentale ou de la résidence habituelle des enfants mineurs.

La présentation du sujet est soignée, sa vêture est propre, il y à de la recherche dans un style décontracté. Ilse présentait calme en salle d’attente et au moment de s’installer dans le cabinet de consultation. Sa taille est de 178 cm et son poids est de 70 kg, ses cheveux sont châtains foncés et courts, bien coiffés. Sa démarche est sans particularité déambulatoire.
Il ne porte pas de lunette, de barbe, de moustache. Il s’exprime calmement, les intonations de sa voix sont normalement modulées. Ses réponses sont bien développées. Le regard et la mimique sont adaptés à la situation et au discours du sujet. Durant l’entretien, le contact a été bon. Le sujet à toujours été présent et à su correctement maîtriser la distance lui permettant de se sentir suffisamment à l’aise pour coopérer de manière satisfaisante à l’objet de l’entretien. Il à été en mesure de maintenir son attention durant la totalité de notre entretien. Pour s’exprimer, Monsieur Dague Pascal utilise un langage clair. Les propositions complexes sont normalement fréquentes dans sont discours. Le stock de vocabulaire est tout à fait apte à rendre compte de sa pensée. La syntaxe est bonne et le sujet s’exprime sans aucune difficulté.

Il sait lire, écrire et compter, ses acquis scolaires sont satisfaisants, tout comme ses connaissances générales et reflètent son niveau scolaire et professionnel. L’intelligence du sujet est apparue bonne. Nous pouvons exclure une éventuelle déficience mentale. Le sujet est bien orienté dans le temps et dans l’espace, et la mémoire est fonctionnelle. Il ne s’agit pas d’un sujet se présentant comme habituellement ou massivement impulsif, intolérant aux frustrations ou agressif.
L’examen clinique du sujet ne montre pas de signes révélateurs d’une quelconque imprégnation alcoolique chronique. Nous pouvons en fonction des données de l’interrogatoire et de l’examen du sujet, éliminer toute pathologie neurologique ou métabolique ayant pu jouer, interférer avec le discernement et le contrôle des actes du sujet. En l’absence d’autres points d’appel, il n’y à pas lieu de poursuivre l’examen.

Nous nous intéressons particulièrement aux éléments susceptibles d’éclairer le Tribunal sur l’état de santé, en particulier mentale, du sujet. Nous avons à nous prononcer sur le cas d’un sujet de sexe masculin de 38 ans, dont l’expertise intervient dans le cadre d’une demande de transfert de résidence de ses enfants et de l’organisation de leurs droits de visite et d’hébergement. La crédibilité des dires et positions de Monsieur Pascal Dague ne présente pas de trouble de l’attention, de la conception, de la mémoire et du jugement. Le sujet apparaît capable de traduire dans une gamme de nuances satisfaisantes sa pensée et ses capacités de symboliser sont corrects, ce qui débouche théoriquement sur la possibilité de prendre de la distance envers les pulsions et la violence. L’absence D’antécédent de dangerosité avéré représente un indice social d’une certaine capacité de se soumettre à un frein dans la vie quotidienne.

Au niveau de la personnalité du sujet, nous n’avons pas mis en évidence l’existence de trouble caractérisé ou de structure problématique ayant pi interféré avec son fonctionnement psychique, en particulier lors de l’exercice de la fonction paternelle.
Compte tenu des différents éléments recueillis par l’interrogatoire et l’examen psychologique de Monsieur Dague Pascal. Voici exposées les réponses que nous faisons à la réquisition qui nous a été faite :
Faire l’examen psychiatrique de Monsieur Dague Pascal.

Nous répondons, en référence aux principale classifications internationales des maladies, que le sujet ne présente pas actuellement de pathologie mentale, psychiatrique ou psychologique, en particulier de type aliénante (comme il nous avait été indiquer) pouvant interférer avec l’exercice de la fonction paternelle. Nous ne repérons actuellement aucune limitation à l’exercice de la dite fonction paternelle.
Nous attestons avoir personnellement accompli le onze janvier de l’année deux mil cinq, à notre cabinet, la mission qui nous à été confié et avoir adressé aux diverses parties notre rapport en date du onze janvier deux mil cinq. Nous certifions le contenu du présent rapport sincère et véritable.

Fait à Orvault le onze janvier de l’année deux mil cinq.
Docteur, …,
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 21:36

LUNDI 07 MARS 2005 :


* Enquête sociale effectuée par Madame, …, sous le couvert de l’Association de Recherche et de Prévention Sociale, (A.R.P.S.).

Madame, …, Elisabeth épouse Dague, C/ Monsieur Pascal Dague.
Adresse de la mère : Madame Elisabeth Dague, 44290, Massérac.
Adresse du père : Monsieur Pascal Dague, chez Monsieur et Madame, …, ses parents, 75013, Paris.
Enquête sociale ordonnée le lundi 11 octobre 2004 par le Juge aux Affaires Familiales, Tribunal de Grande Instance de Nantes. (A.R.P.S.) mandatée le samedi 20 novembre 2004.
Objet de l’enquête : Exercice des droits parentaux, enfants concernés, Alexandre Julien et Anaïs Dague.


EXPOSE DE LA SITUATION :

Le couple Dague (Elisabeth et Pascal) se rencontre en 1987 en région parisienne, âgé alors d’une vingtaine d’année chacun. Vers 1989/1990 il décide de vivre ensemble. Leur premier enfants, Alexandre, naît le 10.01.1995, leur deuxième fils, Julien, naît le 14.06.1999. Madame Dague à un travail stable comme coiffeuse, alors que Monsieur Dague change plusieurs fois d’emploi avant de se faire embaucher comme gardien d’immeuble à Tremblay en France, en région parisienne. Après la naissance de leur troisième enfants, Anaïs, le 31.05.2001, le couple se marie le 27.10.2001.
En avril 2003, la famille Dague quitte la région parisienne pour s’installer prés de la famille de Madame Dague, en Ile et Vilaine. Des difficultés de plus en plus aigues apparaissent au sein du couple. Après plusieurs événements qui ont conduit Madame Dague à des départs momentanés ou à l’intervention des forces de l’ordre :
« Et ce, sur les bons conseils d’Anne l’amie de ma femme et de sa sœur Jacqueline. Je savais qu’elles ne m’aimaient pas, mais qu’elles me haïssaient autant, non. Mais c’est sûrement parce que, moi, j’osais me dresser contre elles quand elles allaient trop loin dans leurs réflexions. Alors qu’Elisabeth se taisait tout en ayant peur d’elles, pourquoi ? Ma femme n’osait jamais leur dire vraiment ce qu’elle pensait, de peur de les vexées et elle les écoutaient, pratiquement sans jamais pouvoir donner son propre avis. Et en ce qui concerne mes soit disant problème d’alcool, le mari de Jacqueline ou le petit copain d’Anne, avaient le droit deux boire deux ou trois verres d’alcool, moi, non, et quand je le faisais j’étais tout de suite cataloguer comme un alcoolique, et sur ce point ma femme était d’accord avec eux. »
Elle quitte son mari avec les enfants :
« Sans aucune raison, sans m’avertir et sans en avoir été autorisée par les autorités Judiciaires. Parce que si j’avais été vraiment coupable de quoi que ce soit, comme je l’apprendrais par ailleurs, plus tard, pourquoi ma femme ne s’est pas rendue dans l’instant même à la Gendarmerie ? »
Et dépose une requête de divorce le 23.08.2004.

Monsieur Dague Pascal repart à Paris au domicile de ses parents :
« Je ne suis pas reparti de gaieté de cœur en région parisienne, vous pouvez me croire… J’étais démuni de tout, anéanti. Mes parents ont pu constaté dans quel état ou je me trouvais, après le départ de ma femme avec nos trois enfants. Alors, bien évidemment que mes parents m’ont demandé de venir quelques temps chez eux à Paris. Quel parents ne viendrait pas en aide à leur enfant quand celui-ci en à besoin ? »
Monsieur Dague est alors embauché comme agent aéroportuaire à l’aéroport de Roissy Charles de Gaulle :
« Emploi, que je devais perdre, quelques temps plus tard, suite à l’inscription sur mon cassier judiciaire de la plainte de violence conjugale avec arme et de la plainte pour agressions sexuelle sur enfant de moins de quinze ans par ascendant que ma femme à fait contre moi. Et après çà, on continue de dire que je suis quelqu’un qui ne peut pas gardé un emploi stable. »
Madame dague trouve un logement à Massérac proche de sa famille ou elle s’installe avec ses trois enfants :
« Alors qu’elle n’a jamais voulu habiter de prés ou de loin à Massérac quand nous vivions encore ensembles, elle me disait et le disait à tout le monde ; il y à trop de pochetrons à Massérac ! Et en plus de çà, elle était toujours sous certaines formes en permanence en conflit avec sa sœur Jacqueline. »
Dans l’ordonnance de non conciliation du lundi 11 octobre 2004 le Tribunal prescrit une enquête sociale avec un entretien psychologique de la famille, ainsi qu’une expertise psychiatrique :
« Expertise psychiatrique en partie diriger et orienter sur moi. »
Le droit de visite du père s’exerce au Point Rencontre UDAF 44, à Nantes, tous les quinze jours, d’une durée, d’une heure et sans autorisation de sortie :
« Tout le monde ; Anne, l’amie de mon épouse, l’entourage et la famille de ma femme, ont tout fait pour que je ne puissent plus revoir mes enfants. Avec entre outre des mensonges monstrueux, et avec des histoires montées de toutes pièces. Tout le monde ainsi que ma propre femme, est satisfait de cette situation, moi, pas. Je n’ai jamais fait quoi que ce soit pour mérité d’une part, que l’on me prenne pour quelqu’un que je ne suis pas ; un monstre, et d’autre part ; pour que l’on me prive de mes enfants. »
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 21:39

SITUATION DE LA MERE, 39 ANS :


Situation professionnelle et financière, Madame dague a obtenu un CAP de coiffure :
« Ce qui est faux ! Un mensonge de plus. Ma femme na jamais obtenu son diplôme. »
Dès l’âge de 20 ans elle à été employée dans le même salon en région parisienne pendant 20 ans. N’ayant ni permis de conduire, ni moyen de locomotion, Madame Dague s’occupe dans l’immédiat de ses enfants :
« Je passe sur un nouveau mensonge de sa part, parce qu’avant de travailler au salon Francia, à Bobigny, elle à travaillé pour le salon La Tifferie, à Aubervilliers. Quand à ne pas avoir le permis de conduire, c’est bien parce qu’elle la toujours voulu, moi, je le lui ai offert, il y à plus de quinze ans en arrière son permis de conduire, j’avais tout réglé, elle n’avait plus qu’à passé les examens, choses qu’elle na jamais fait. »
Elle espère faire prochainement un remplacement en tant que coiffeuse :
« Emploi de coiffeuse qu’elle ne voulait plus exercé parce qu’elle s’orientait dans une autre profession que celle-ci tout en suivant une formation de secrétaire médical par correspondance, formation stopper nette d’ailleurs, pour faute de paiement de sa part, ce qui est vraiment dommage parce que je reconnais qu’elle se débrouillait bien. »

Elle perçoit des Assedic : 927,00 euros par mois.
Les Allocations Familiales, APL comprise s’élèvent à environ : 700,00 euros par moi.
Monsieur Dague lui verse une pension alimentaire de : 250,00 euros par mois.
Sa part de loyer est de : 208,00 euros par mois.
« Lors de notre tentative de conciliation, enfin si l’on peut appeler çà comme çà ? Ma femme nous a dit à mon avocat et a moi, qu’elle ne voulait pas un centime de ma part, bien entendu mon avocat lui a répondu que le rôle d’un père est aussi de subvenir aux besoins de ses enfants. »

Habitation, Madame dague est locataire d’une petite maison neuve de plein pied située dans un lotissement récent à la sortie du bourg de Massérac, en Loire Atlantique. Elle est composée d’un grand séjour et de trois chambres. Une des chambres est réservée à Alexandre, il à une quantité de dvd et tout le matériel pour les regarder. Quelques jouets, dont certains destinés plutôt aux filles. Font partie de son univers, l’ensemble est très bien aménagé et entretenu :
« Pour être bien aménagé, la maison de mon épouse ne peut que l’être ! Je lui ai pratiquement tout laissé, d’ailleurs, je n’ai pas vraiment eu le choix… En effet, lorsque que j’ai voulu revenir début octobre 2004 dans notre pavillon à Sainte Marie, il n’y avait plus rien dans la maison, toutes les pièces avaient été vidées de leur contenues, et ce, avec la complicité de toutes sa famille et amis, il n’y avait même plus un clou aux murs, j’ai même retrouvé mes vêtements entassés dans des poubelles sur le trottoir. »
Julien et Anaïs dorment dans la même pièce. Celle-ci est également aménagée avec soin. Un grand champ devant la maison est à la disposition de la famille. Pour l’instant Madame dague n’a pas le permis de conduire, elle est donc dépendante de sa famille pour les courses et les conduites à Nantes au Point Rencontre. Elle espère pouvoir commencer des leçons de conduite bientôt :
« Mon épouse à toujours été dépendante de sa famille, sa ne date pas que de maintenant. Sa famille avait toujours raison et moi toujours tort. Et si elle espère pouvoir commencer des leçons de conduite, pourquoi avoir dit et promis à nos trois enfants qu’elle était en train de passé son permis de conduire ? Moi-même, je l’ai féliciter et encourager dans cette entreprise. »

Entretien, Madame Dague s’est d’abord rendu à notre service à Nantes, et nous l’avons rencontré par la suite à son domicile à Massérac en compagnie de ses enfants. Une dernière entrevue a eu lieu lors de notre visite à l’école de Massérac.
Madame Dague est née à Aubervilliers, en région parisienne, dans une fratrie de quatre enfants et n’a quitté la région parisienne qu’en 2003. Selon ses dires, elle à grandi dans une famille unie et sans problème :
« Alors que ma femme m’a souvent confié que son père avait le mauvais vin et que, quand il était ivre, il ne fallait jamais le contrarier. Elle m’avait aussi demandé de ne jamais le contre dire, au risque de certains problèmes. Et quand il avait bu il devenait très violent, surtout envers sa femme qu’il n’hésitait pas à frapper physiquement et fréquemment, devant les yeux d’Elisabeth. Comme la mettre à terre et la traînant par les cheveux de la sale de bain jusqu’à la cuisine en l’insultant de tous les noms. Ma femme me racontait que sa mère était une femme entièrement soumise à son père, mais que elle, elle ne le saurait jamais. Une fois, lors d’une nouvelle scène de violence de son père envers sa mère, Elisabeth, à oser faire volte face à père et lui avait dit ; que cela ne se faisait pas de frapper sa femme, qu’il devrait avoir honte de ses gestes, et que ce n’était pas digne d’un mari que d’avoir ce genre de comportement. Il paraît que son père, avait été très surpris de sa réaction et lui a fait la tête pendant toute une semaine. Ma femme ma aussi confié, qu’une fois et encore sous l’emprise de l’alcool, son père avait frapper son frère Michel de toutes ses forces, à coups de poings, parce que ce dernier avait signé plusieurs fois le cahier de correspondance de l’école à leur place et qu’il faisait l’école buissonnière… Avec le recul, je pense que ma femme a été traumatisée par ces scènes de violences à répétitions, et qu’elle à été affectée psychologiquement par ses humiliations envers sa mère. Mais a part ses confessions qu’elle me faisait, ma femme na jamais laisser paraître quoi que ce soit à ce sujet aux autres membres de sa famille. »
C’est en 1987 qu’elle à fait la connaissance de son futur mari, elle avait alors 23 ans :
« Je me souviens qu’à cette époque sa mère lui avait dit ; je te préviens, si je sais que tu couche avec lui, je te tue ! Et bien entendu elle à finit par le savoir, elle lui a courut après avec un couteau dans la cour de leur maison, à Aubervilliers, en la traitant de pute ! »

Monsieur Dague travaillait à l’époque avec sa mère dans un des magasins de meubles. Son futur mari était d’abord très gentil avec elle, doux et attentif :
« Ce seront les seuls compliments que l’on fera à mon sujet, et ce, sur dix huit ans de vie commune… »
Notre interlocutrice ajoute cependant qu’il la dominait et qu’il n’aimait pas être commandé :
« Alors que j’ai pratiquement toujours dit et fais ce qu’Elisabeth souhaitait. Surtout à cette époque, je l’aimais déjà tellement que je ne voulais pas prendre le risque de la perdre. »
Ils vivaient ensemble depuis 1989/90. A ce moment la mère de son compagnon a u des problèmes avec le fisc et c’était un moment difficile pour lui :
« Quel enfants n’aurait pas été inquiet pour sa mère, la voyant en difficulté, que ce soit avec le fisc ou autre chose ? »
Madame Dague estime que sa belle mère a joué un rôle néfaste dans son couple, se montrant trop présente auprès de son fils unique :
« Ma mère de s’est jamais mêlée de notre couple, ce n’est que maintenant et devant ma situation actuelle qu’elle me dit avoir constater certains faits et gestes de mon épouse qui lui avait déplu sur le moment. Mais quand aucun cas, elle ne ce serait permise d’intervenir dans notre vie privé. »

Pourtant, selon ce qu’elle a pu apprendre, elle ne s’est pas suffisamment occupé de lui pendant son enfance, le laissant souvent livré à lui-même.
« Si me laisser prendre certaines responsabilités, veut dire que ma mère de s’est pas occupée de moi, que devrait on dire de Jacqueline, qui laisse sa nièce Aurélie, pourtant en garde chez elle, seule avec ses cousins et cousines, pendant que celle-ci va discutée avec des copines dans un café. Que devrait on dire aussi, quand elle laisse traîner à pas d’heure la nuit ses enfants dans le bourg de Massérac. D’ailleurs, Elisabeth, m’en avait déjà fait à plusieurs reprises la remarque et elle ne comprenait pas du tout le comportement de sa sœur, vis-à-vis de ses enfants. »

Leur fils, Alexandre, est né le 10 janvier 1995. Ils ont souhaité cette naîssance tous les deux et son mari à participé aux soins lors de l’arrivé de l’enfant :
« Parlons en de la naîssance de notre premier fils, Alexandre, les parents d’Elisabeth ne ce sont jamais déplacer à la Clinique pour les premiers gazous gazous de notre fils, et rendre ainsi visite à leur propre fille qui venait d’accoucher. Mes parents sont venus plusieurs fois pour félicité la nouvelle maman et voir leur petit fils. Et ce n’est pas faute de ma part d’avoir dit aux parents d’Elisabeth que je venais les cherchés pour les emmenés à la Clinique. Par la suite, je me suis occupé de notre fils, Alexandre, du mieux que j’ai pu, car à cette époque je travaillais de nuit. »
C’est à peu prés à cette période, lors d’un épisode d’alcoolisation exagérée, que son mari a été hospitalisé en Hôpital psychiatrique pendant deux jours :
« Cela c’était passer lors d’une dispute entre ma femme et moi et ayant encore et toujours le même sujet de discorde, la famille… Je n’ai jamais nier avoir bu un seul verre d’alcool dans ma vie, mais je ne buvait qu’occasionnellement, mais quand nous avions une dispute après avoir bu deux ou trois verre, ma femme se mettait en colère et elle prenait toujours ce prétexte pour dire que j’étais complètement ivre, et pour m’entendre dire après que c’était moi, qui cherchais des histoires. Quand les forces de l’ordre se déplaçaient et voyant ma femme complètement hystérique, ils là croyait et de ce fait, je me retrouvais en chambre de dégrisement, et cela m’est arriver deux fois. La première fois, à Aulnay S/Bois et la seconde fois, à Redon.
Mais est-ce que moi, j’ai parlé de son état d’ébriété à elle… Parce que je me souviens très bien, qu’à l’occasion de quelques jours de vacances nous sommes aller à Rive Bella et qu’au court d’une soirée ma femme avait bu quelques verres de Porto et elle s’était mise en tête de stopper les voitures qui roulaient à vives allures sur la voie public, et au beau milieu de la route elle faisait du karaté pour arrête les voitures qui venaient dans sa direction, heureusement que toutes ces véhicules ont pu l’éviter, car à ce moment elle était incontrôlable. Pour sa sécurité comme pour celles des autres, j’ai du intervenir en l’immobilisant autour de mes bras et la mettre ainsi a l’abri du danger qu’elle ne maîtrisait pas. Une autre fois, j’ai du la conduire d’urgence à l’Hôpital d’Aulnay S/Bois, suite à un malaise qu’elle à eu, sur place les infirmières ayant remarquées un comportement bizarre et inapproprié de mon épouse m’ont demandé si s’était une femme qui buvait, je leur est bien évidemment répondu que non. Mais si j’avais vraiment voulu l’enterrer comme elle la fait avec l’aide de son amie, et de toute sa famille, j’aurais pu, moi aussi le faire. Même si, nous n’étions pas encore, dans la situation actuelle. »
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 21:42

Monsieur Dague s’est également montré instable à son travail de vigile, le quittant, car il ne pouvait supporter de recevoir des ordres. Lorsqu’il était en état d’ébriété, il devenait très brutal avec elle et pouvais se comporter dans leur vie intime de manière perverse. Jamais cependant elle n’a porté plainte, ni fait établir un certificat médical :
« Et pour cause, toutes ces allégations sont complètements fausses ! En ce qui concerne notre vie intime, c’est bien ma femme qui me demandait de pouvoir essayé de la sodomiser à l’aide de ma crème anti-ride, et à moi de lui répondre que nous avions déjà essayé comme çà, mais que je ne voulais plus le faire parce que sa lui faisait mal. Et c’est bien aussi ma femme qui se mettait à genoux à la tête de notre lit la poitrine contre le mur pour que je puisse là prendre en levrette ! Ou, assis sur le bas du lit et moi à genoux sur le sol… Et quand elle me faisait une fellation, elle me précisait bien que c’était pour me faire plaisir. Je ne veux pas paraître grossier, mais quand moi-même j’avais ma tête entre ses jambes, elle me maintenait bien le visage contre son sexe. Dès petites histoires comme çà, histoires bien réelles, je pourrais en raconté d’autres, mais c’est notre vie intime à nous, rien qu’à nous. Alors, dire que je pouvais me comporter de manière perverse ? A la différence de ma femme, c’est que je dis la vérité, tout comme les fois ou il est vrai, j’ai pris des photos de ma femme toute nue, mais jamais dans des positions obscènes ou dégradantes à son image, je voulais simplement immortaliser la beauté de son corps, parce que pour moi, ma femme est la plus belle femme du monde, ce n’est pas un compliment, c’est un fait. Je ne suis pas un monstre… Et je ne suis pas fait de bois, je reste un homme. »
Après les crises Monsieur Dague ne se souvenait de rien. Notre interlocutrice reconnaît cependant, qu’il à cesse de s’alcooliser pendant plusieurs mois et qu’il est même resté sobre un moment donné pendant deux ans, ou leur vie de famille et de couple était tout à fait harmonieuse :
« Quelles crises… Ma femme veut peut-être faire allusion au temps ou toute sa famille me surnommait l’extraterrestre par que j’étais la seule personne à ne pas boire d’alcool ? Contrairement à eux, et tout comme aujourd’hui, d’ailleurs. »
Au moment de la naissance également désirée, de Julien, né le 14 juin 1999, il y a eu moins de problèmes. Son mari était alors gardien d’immeuble et s’occupait des enfants lorsqu’elle était à son travail. Il lui est pourtant arrivé de les oublier à la crèche. Il partait souvent le soir, pour rentrer au milieu de la nuit :
« D’oublier mes enfants à la crèche c’est faux. D’arriver en retard parce que je ne pouvais pas faire autrement c’est vrai, mais pour des raisons professionnelles. Quand à partir le soir et ne rentrer que très tard, il m’est effectivement arriver de le faire une fois, mais mon épouse savait très bien avec qui j’étais et ou j’étais, puisque que je me trouvais en compagnie de son frère Michel, et qui cette nuit là, a même faillit nous tué tous les deux car étant complètement ivre au volant de sa voiture, il avait faillit loupé un virage sur l’autoroute. »
Après la naissance d’Anaïs, en mai 2001, ils ont décidé de se marier, le mariage a eu lieu le 27 octobre 2001.

Madame Dague affirme que c’est son mari qui a voulu quitter la région parisienne, alors qu’elle avait une bonne situation stable et qu’elle gagnait bien sa vie. Ils ont choisi la région de Redon ou vit sa famille à elle…
Son mari à trouvé un travail dans le gardiennage qu’il à rapidement perdu, en raison d’un problème d’alcool :
« Pourquoi dire que c’est moi, qui ai voulu quitter la région parisienne et l’affirmé avec autant de conviction ? Et la raison pour laquelle j’ai perdu mon emploi est tout autre ; j’avais prêté mon véhicule à Michel le petit frère d’Elisabeth, et de ce fait je n’ai pas pu me rendre en temps et en heure sur le site sur lequel je devait être, je venait d’être embauché donc à l’essaie, et par manque de confiance, mon employeur à décidé de ne pas me garder. »
Elle-même n’a pas eu d’emploi car elle n’a pas le permis de conduire et ils vivaient dans un petit bourg :
« J’ajouterais que pour trouver un emploi, il faut un temps soit peu chercher…Hors, ce n’était pas le cas de mon épouse. Elle ne voulait plus travailler, elle n’avait qu’une seule idée, resté à la maison pour s’occuper des enfants. Elisabeth, me demandait même de faire de fausse recherches d’emplois par ordinateur pour pouvoir continuer à touché les Assedic sans avoir de problèmes avec eux. »
La situation de leur couple à ensuite rapidement dégénérer, selon notre interlocutrice, son mari ne faisait plus rien. Il passait ses journées devant l’ordinateur et regardait des dvd :
« Je faisais moins de choses qu’avant puisque ma femme était également à la maison. J’estimais simplement que nous devions nous partager les tâches de la vie de tous les jours. Mais j’avais sûrement trop habitué ma femme à m’occupé d’avantage de choses qu’elle… Bien sûr que je me servais de mon ordinaire, cela me permettait de m’évadé d’une certaine pression que j’avais de plus en plus de mal à supporter, à savoir, divers conflits de famille, mais non lié à notre couple ou à notre propre vie familiale, ces problèmes venant toujours de l’extérieur, mais qui nous retombait toujours dessus. Mais si j’avais su, ce qui nous arriverait à ma femme et à moi, j’aurais fait le ménage autour de nous une bonne fois pour toute. Quand à regarder des dvd, effectivement, lorsque les émissions de ma femme de me plaisait pas, je regardais des dvd. »
Madame Dague décrit la relation de son mari avec ses enfants comme pratiquement inexistante à l’époque. Il ne les brutalisait pas physiquement, mais ne montrait aucune affection ni tendresse envers eux. Ils avaient peur de leur père et de ses agressions verbales, souvent dans un langage très vulgaire et obscène :
« Comment ma femme peut elle se permettre de dire ce genre de choses, alors que depuis que nos trois enfants sont nés, je n’ai jamais cessé de m’investir auprès d’eux, et dans tout les domaines. Qu’il me craigne plus que leur mère, je veux bien le concevoir, puisse que ma femme leur à toujours laisser plus ou moins faire tout ce qu’il voulait, mais le résultat est qu’elle n’arrivait plus se faire écouté d’eux, alors elle me demandait d’intervenir pour remettre de l’ordre dans la maison. Du coup elle obtenait le meilleur rôle en devenant Madame câlin et moi le Croc-Pitaine. En ce qui concerne mes soient disant agressions verbales envers nos enfants, c’est faux, que le mot merde, ou un autre, m’ai échapper, oui je l’avoue. »
Notre interlocutrice affirme que selon un témoin, il a regardé devant son fils, Julien, un film pornographique et l’aurait également initié à la cigarette :
« Et pourquoi pas avoir fait l’amour avec ma femme devant nos trois enfants ? Il est vrai que j’ai tendu une cigarette à mon fils, Julien, mais dans le but, de lui donné une leçon sur le danger de la cigarette, pourquoi : parce qu’il voulait fumé avec moi. »
Il offrait à ses enfants beaucoup de jeux pour leur Play Station au contenu souvent violent et sans rapport avec leur âge. Les enfants, surtout Julien, ont assisté aux violences de son mari envers elle.
« J’achetais il est vrais des jeux vidéos pour nos enfants, mais selon leur choix, parce que si j’achetais un jeux qu’il n’aimait pas il ne jouait pas avec. Ma violence envers mon épouse… ??? Je n’ai eu et je continue toujours à n’avoir que de l’amour pour ma femme. Alors qu’on ne me parle pas de violence envers elle, non. »

Lorsqu’elle évoquait l’idée d’une séparation, son mari lui faisait peur en la menaçant de lui faire enlever ses enfants :
« Et comme aurais-je pu les lui faire enlever, nos enfants ? Puisse que l’on donne dans 99,9% en cas de séparation, raison à la mère et non au père, à croire que nous comptons que pour du beurre, nous ne sommes pas que des géniteurs !
Je le sais bien puisse que je dois prouver chacun de mes dires, je dois prouver à chaque fois ce que j’avance, alors que tout ce que peut raconter ma femme, est considéré comme une parole d’Evangile.
Quoi qu’elle face quoi qu’elle dise, elle à toujours raison. Comme par exemple en décembre 2004 elle s’est plainte au service recouvrement des pensions alimentaires des Allocations Familiales pour leur dire que je ne payais pas la pension alimentaire pour les enfants. Il a fallut que je leur envoie mes preuves de paiement, et encore des frais pour moi. Il m’on bien entendu répondu en me disant, nous vous avisons que nous avons procédé à la régularisation de votre dossier, mais pas un mot d’excuse de leur part, alors que je n’étais nullement en faute. Tout comme pour m’avoir fait éjecté, illico presto, de notre mutuelle familiale, elle à téléphoner au service compétent en prétextant que nous étions déjà divorcer et que je n’avais plus à bénéficié de la mutuelle. Là, encore tout le monde la cru sur parole, personne ne lui a demander un justificatif, rien. Pour les impôts c’est la même chose, ma femme leur à déclarer que nous habitions à Massérac chez sa sœur, là aussi c’est faux. »

Selon Madame Dague, le samedi 07 août 2004, après avoir acheté pour 190,00 euros d’alcool fort la veille, il était en état d’ébriété. Très violent, il l’a menacée avec un pistolet et obligé les enfants de s’aligner devant lui. Il a abaissé son pantalon en proférant des obscénités. Il a jeté les téléphones dans l’eau d’une piscine gonflable qu’ils venaient d’acheter pour les enfants. Il est parti en emmenant Anaïs, que son amie, Anne, a pu reprendre plus tard dans un café. Madame Dague s’est alors réfugiée chez son jeune frère Michel à Bain S/Oust, avec l’aide de son amie, Anne.
Elle l’avait déjà quitté une première fois le 21 décembre 2003. A l’époque, son mari lui avait fait des promesses qu’il na jamais tenues. Après avoir passé quelques jours chez son frère Michel, elle a pu être recueillie par SOS FEMMES, à Nantes :
« Nous n’avons fait aucune courses la veille de ce jour. Mais a propos du pistolet avec lequel je l’aurait encore une fois menacée, était un jouet, appartenant à mon fils, Alexandre, que j’avais d’ailleurs acheter en présence du frère de mon épouse, Michel, lors d’une journée que nous avions passés à Saint Malo, ensemble. Quoi qu’il en soit, et je le répète, je n’ai pas menacé ma femme. Par contre, vu quelle m’avait fait toute une histoire pour avoir acheté ce genre de jouet à notre fils, je le lui ai fait voir, pour lui démontrer que ce n’était pas dangereux, que ce pistolet ne pouvait lancé que des petite billes jeune en plastique était lui aussi tout en plastique.
En ce qui concerne le départ de ma femme le 31.12.2003, nous, nous étions de nouveau disputé à propos de ma belle famille… En effet, sa sœur Jacqueline et son mari Didier avaient préféré passé le réveillon de noël avec des amis à eux et pas avec nous, ce qui avait d’ailleurs, fortement déplu à ma femme, mais bon, le sujet était revenu sur la table et le ton est monté. Dans l’entre fait, son amie, Anne, est venue à la maison et derrière mon dos, elle à monter la tête à ma femme en lui disant que cela ne pouvait plus durer, que j’étais ivre alors que je ne l’étais pas du tout. Puis, de chez nous, Anne à téléphoner à son petit copain Stéphane pour lui dire que j’avais une arme, que j’avais menacée Elisabeth avec, que j’étais sou… Alors Stéphane a, de son côté prévenu la Gendarmerie de Redon, les gendarmes sont venus à la maison, les gendarmes n’ont pu que constaté qu’ils n’y avait rien d’anormal, autant dans mon comportement que dans la maison. Je me souviens très bien de la réaction d’Anne, l’amie de ma femme, elle était toute énervée, elle soufflait comme bœuf, parce que les gendarmes ne m’avait pas embarquer, les gendarmes lui avait même dit, que voulez vous que nous fassions, cet homme na rien fait, et il n’y à rien d’anormal, que nous pourrions constatés. Et les gendarmes sont repartis, sûrement pour des choses beaucoup plus sérieuses. Mais allez savoir pourquoi, Anne à voulu rester dormir à la maison, et dans notre chambre au 1er étage, et dans notre lit avec ma femme. Je n’ai pas voulu contrarier ma femme en lui disant que je ne voulais pas, elle était déjà assez énervée comme çà. Il ne me restait plus qu’à dormir sur le canapé. Mais le lendemain matin, à mon réveil, il n’y avait plus personne dans la maison, les propos d’Anne, avaient fait leur effets toute la nuit sur ma femme, et dans notre chambre, elle à continuer à monté la tête à mon épouse, qui c’est encore une fois, laissé manipuler en écoutant sa soit disante amie. Mais à cette époque ma femme était revenue à la maison. Bien entendu que je devais faire des concessions pour pouvoir amélioré mes rapports avec la famille de ma femme, et en particulier avec sa sœur Jacqueline, qui elle, na jamais changer de comportement envers moi, malgré mes efforts. Et pour revenir à ma situation actuelle, c’est bien l’amie de ma femme et sa sœur Jacqueline qui lui on conseillers d’aller chez SOS FEMMES avec nos trois enfants, pour avoir plus de poids, afin de bien démontrer, à la Justice que j’étais un monstre suivant la plainte pour violence conjugale que ma femme à fait contre moi. »
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 21:44

Madame Dague est persuadée que son mari aime d’une certaine manière ses enfants, il le montre en leur achetant des dvd et des sucreries :
« Avec des sucreries, nos enfants ne sont pas des animaux que nous fessons avancés avec des morceaux de sucres ! Pour les dvd les enfants mes dise que leur mère en achète plus ou que très rarement malgré leur envie. D’ailleurs, les enfants me confie, que pour ne plus être embêté, ma femme ne les emmènent plus avec elle pour faire les courses. »

Cependant, elle a supporté pendant presque dix huit ans son comportement humiliant, de plus en plus pathologique et elle est maintenant décidée à vivre seule avec ses enfants :
« N’importe quel personne ayant un temps soit connue ma femme, pourrait vous certifier qu’elle n’aurait pas une seule seconde accepter et supporté d’être humilier de quel que façon que ce soit. Elle m’aurait vite fait bien fait, remis à ma place, çà je peux vous le dire. Alors, l’avoir soit disant humilier pendant tout ce temps ? Croyez vous vraiment que ma femme Elisabeth soit vraiment décidée à vivre seule avec nos trois enfants ???
Croyez vous que ma femme Elisabeth, aurait respecté ces belles paroles qu’elle ma dites au Tribunal lors de notre tentative de conciliation ? Je pense plutôt que l’Enquêtrice Sociale c’est lourdement trompé sur le compte de mon épouse, même si, ma femme lui a donné le sentiment d’être une pauvre fille malheureuse, maltraiter par son mari… Car cela fait maintenant un peu plus d’un an que nous sommes en instance de divorce, Elisabeth et moi, et plusieurs mois, maintenant, qu’elle s’affiche aux yeux de tous avec un autre homme, et ils ne se cachent même pas leur liaison. Alors qu’elle me doit encore fidélité, jusqu’au prononcé du divorce. Mais le pire reste avenir, car croyez vous qu’ils aient la délicatesse d’être discrets quand ils font l’amour sur le canapé du séjour ? Bien sûr que non ! Mon fils, Julien, qui na que 6 ans m’a décrit ce qu’ils faisaient sur le canapé. Mon fils a joint les gestes à ses paroles de petit enfant… Mon autre fils, Alexandre, m’a confié qu’il entendait de drôles de bruits, la nuit, un peu comme des bisous qui claquent et des gémissements, et il les entend parler tout doucement. C’est vraiment dégelasse… Parce que nous ne sommes même pas encore divorcer qu’elle me trompe ouvertement et sans aucune pudeur devant nos enfants. Et on dit que c’est moi, le monstre ! Je crois que les rôles sont inversés. Mon fils, Julien, m’a dit que le petit copain de ma femme avait plein de poils sur le zizi et autour du zizi, que c’était tout noir. Je ne peux admettre une telle attitude de la part de ma femme. La nuit, quand mes plus jeunes enfants, Julien et Anaïs, veuillent retrouvés leur mère comme ils avaient l’habitude de le faire, cet homme se permet de leur crier dessus en leur disant d’aller se couché, si non sa va barder ! Et ma femme ne dit rien, parce que sûrement trop occupée à s’occupée de lui. Mes enfants n’acceptent pas du tout cet homme qui prend la place de leur papa. Je me sens humilié, Sali, trahie au plus profond de ma chair. Mes enfants sont psychologiquement très choqués et ne comprennent pas du tout le comportement de leur mère envers moi, et quand ils sont avec moi, ils ne font que d’en parler, mes enfants me disent qu’ils ne veuillent pas d’un faux papa ! Ils veuillent que leur maman revienne avec leur papa. »

Depuis qu’elle est séparée de leur père, Madame Dague ne ressent plus l’angoisse permanente qu’elle à connue et elle à retrouvé sa combativité d’avant :
« Quelle angoisse ? Quelle combativité ? Je ne veux pas être méchant, mais mon épouse na jamais eu de personnalité propre à elle-même, elle ne s’est jamais intéressé à quoi que ce soit. Pourtant, on aurait pu faire des tas de choses ensemble, et même découvrir d’autres horizons que le notre. Mais elle ne voulait jamais rien faire. Totalement soumise à sa famille, çà, oui. J’ai toujours connu Elisabeth, plus ou moins angoissé et ce, depuis le début de notre histoire, c’est trop facile de me mettre tout les malheurs du monde sur le dos, ou de me faire porté tout les torts pour cautionner sa demande de divorce, tous les moyens sont bon pour m’en faire porté toute la responsabilité. »

Encore aujourd’hui, son mari la harcèle au téléphone et par lettre. Il lui demande de lui rester fidèle, lui jure son amour, lui dit qu’elle lui appartient :
« Je n’ai aucun moyen de pouvoir communiquer avec mon épouse, aucun, si ce n’est par l’intermédiaire du téléphone portable de mon fils, Alexandre. Les lettres que j’envoie où que je dépose devant sa porte, c’est un petit morceau d’espoir, une certaine façon d’ésseiller de lui faire comprendre la réalité des choses, que notre histoire, c’est pas çà… Que ce qui se passe, ne devrait pas être. Elle me dit que nos enfants sa vaut tout l’or du monde, alors pourquoi ne pas ésseiller de sauver notre petite famille ? Il y à bien quelque chose qui ne tourne plus rond dans sa tête, je ne la reconnaît plus. Elle me dit qu’elle est devenue une autre femme, je veux bien la croire, parce que pour réagir de cette façon, je pense qu’il ne faut plus être tout à fait normal. Je le reconnaît et je ne ressens aucune honte à le dire, l’amour que j’éprouve encore pour ma femme est immense, l’amour que j’éprouve pour elle, est pure et tout aussi sincère que je peux l’être avec elle et ma femme le sais très bien, et c’est pourquoi elle en abuse. Dire qu’elle m’appartient, c’est une phrase qu’on à sortie de son contexte, car a une époque, mon épouse et moi-même, nous, nous disions que son corps tout entier m’appartenait et que mon corps tout entier lui appartenait, nous faisions référence à l’infidélité de certaines femmes et de certains hommes. »

Selon Madame Dague, les enfants ont réapprit à rire et à jouer depuis la séparation. Ils ont pris du poids depuis qu’ils vivent sans leur père. C’est surtout Julien, qui lui en veut le plus et l’exprime. Alexandre dit avoir peur de son père. Anaïs a été la moins traumatisée :
« Mes enfants n’ont jamais eu peur de moi. Je ne les ais jamais traumatisé de quelque façon que ce soit, jamais. Qu’ils aient eu à me craindrent pour qu’ils puissent nous obéir et nous respectés, oui. Ce que je sais, c’est qu’à l’heure d’aujourd’hui, nos trois enfants se sentent délaissés et abandonnés par leur mère, car préférant s’occuper de son nouveau petit copain, elle na plus de temps à leur consacré. »
Pour Noël, son mari à demandé aux enfants ce qu’ils voulaient comme cadeaux. Ils l’ont dit et il à promis qu’ils apporteraient les cadeaux le 08 janvier 2005, lors de la visite au Point Rencontre. Les enfants sont revenus en pleurs, car leur père n’a pas tenu ses promesses :
« C’est entièrement faux ! Je voudrais que ma femme arrête de prendre nos enfants comme bouclier. Mais c’est peine perdue… J’ai effectivement demandé à nos trois enfants ce qu’ils souhaitaient avoir pour Noël, et c’est après beaucoup d’insistance auprès de ma femme que j’ai pu un mois après recevoir la liste du père Noël de mes enfants, d’ailleurs, mon épouse y avait joint un petit mot me disant qu’elle n’avait pas que çà, à faire. Je n’ai jamais promis aux enfants que j’apporterais leurs cadeaux de Noël au centre, non, pas dans cette prison. Mais je leur ai promis qu’ils les auraient chez moi et pour leur prouver que le père Noël était bien passé pour eux, j’ai pris en photo tout leurs cadeaux et je leur ai donné les photos au centre. Mes enfants n’ont jamais pleurés après m’avoir vu lors d’une de nos rencontres au centre. Mais bien souvent ils pleuraient en sortant, et à l’extérieur du centre ma femme les tiraient par la main pour qu’ils ne puissent pas me faire de petits coucous. »

En ce qui concerne l’avenir, Madame Dague se demande comment un droit de visite en dehors du Point Rencontre pourrait être envisagé. Elle est persuadée que son mari n’est pas capable de s’assumer tout seul. Elle se demande si elle peut faire confiance aux grands parents paternels :
« C’est pourtant bien ce que je fais à l’heure actuel, je m’assume seul, comme un grand garçon avec un immense vide autour de moi. Alors que ma femme à besoin de sa famille dans la vie de tous les jours, et d’un, parce que sans eux elle est perdue, et que d’autre part, elle ne peut pas faire autrement. Comment, Elisabeth peut elle douter un seul instant de la confiance de mes parents ?
Mes parents qui la considéraient et la considère encore comme leur propre fille. Alors que ses propres parents n’ont jamais rien fait pour elle. Ma femme craignait tellement ses parents qu’elle na jamais oser leur avouée qu’elle fumait, et les rares fois ou nous allions chez eux, à Aubervilliers, mon épouse disait à nos trois enfants de ne pas dire à mamie et a papy qu’elle fumait, que c’était un secret. »
Madame dague est également très inquiète quand au résultat de l’examen psychiatrique, qui d’après ses renseignements n’a rien révélé d’inquiétant en ce qui concerne son mari :
« Et en plus elle veut me faire passé pour un dingue ! Une seule et unique question me viens en tête, jusqu’ou ira ma femme pour m’empêcher de voir et d’avoir mes trois enfants tout prés de moi ? Après avoir voulu me faire passer pour un alcoolique invétéré, pour un drogué, pour un pédophile, voilà qu’elle veut me faire passé pour fou. Que va-t-il encore m’arriver ? Que vais-je encore être obligé de démontrer et prouver que je ne suis pas ? »

Lors de notre visite au domicile, la jeune femme nous à semblé très inquiète. En effet, elle nous à montré un pot énorme de Nutella ainsi qu’un paquet d’un mettre de friandise que son mari à déposes devant sa porte :
« Est-ce un crime, est-ce un délit, que d’apporter du chocolat et des gâteaux à ses propres enfants ? Et encore, je voulais aussi apporter du coca-cola et des jus de fruits… Mais connaissant maintenant mon épouse sous une autre personne, avec un nouveau comportement, je me suis dis que j’allais avoir des ennuis. Pourtant, mes enfants mon certifié que leur mère n’achetait plus du tout de coca-cola ni jus de fruits, comme tata Jacqueline, sauf pour les grandes occasions. »
Il a également envoyé de nombreux courriers, qu’il a expédiés soit de Guéméné-Penfao, une petite ville proche, soit directement devant sa porte. Il y à eu des cartes pour la St.Valentin pour elle et les enfants. Ceux-ci nous les ont montrés, apparemment très contents ! Elle nous dira plus tard qu’il à un certain goût pour l’écriture et qu’il à notamment écrit un livre sur Jacques Mesrine. Il est très attiré par la violence. Elle pense qu’il ne vit pas dans un monde réel et se créé par les dvd et internet un monde à lui, loin de la réalité :
« Il est tout à fait vrais que j’ais écris à ma femme et à mes trois enfants de nombreuses fois, simplement parce que je les aime, et qu’ils sont ce que j’ai de plus cher au monde ! Ma femme ne là, malheureusement jamais comprit… Dire que je suis attiré par la violence, dire que j’ai un certain goût de l’écriture en ne parlant que du livre que j’ai écris sur Mesrine, et de ne pas parler de mes trois premiers livres de poésies, que j’ai écris bien avant celui sur Mesrine, de toutes mes chansons, qui ne parle que d’amour, d’espoir et d’avenir, est-ce un simple oublie de la part de ma femme ? Je n’ai jamais voulu faire parti d’une société de klinex, on prend on jette. Je n’ai jamais voulu en arriver là ou nous en sommes, jamais. C’est bien toi, Elisabeth, qui à détruit complètement toute notre petite famille, et l’avenir de nos enfants, tu y as pensée ? Moi, j’ai toujours crus en notre histoire, pour moi, notre histoire était la plus belle histoire d’amour qu’un couple pouvait connaître. Tout comme je n’aurais jamais imaginé que tu me serais infidèle ! Pas toi, non, pas toi. Je te croyais bien trop pure pour faire ce genre de chose, et tu ne peux pas savoir à quel point tu peux me faire mal, mais mal, en faisant çà. Mais sûrement que c’était le but recherché, je te rassure, tu as bien réussie. »
Par le fait que la voiture de son mari a été vue dans le bourg de Massérac, elle se sent observée par lui. Il se manifeste sans se montrer depuis les vacances de février. Elle reçoit également une dizaine de message par jour sur le portable des enfants. Il lui demande de pouvoir venir parler avec elle, de lui laisser rencontrer les enfants, lui exprime son affection, son amour. Elle souligne la crainte qu’elle ressent devant le fait qu’il n’a plus rien à perdre et qu’il pourrait s’en prendre aux enfants. Malgré les vacances, elle n’ose pas les laisser jouer dehors :
« C’est tout à fait vrai que je me cache comme un voleur pour avoir cette chance d’apercevoir mes trois enfants. Quand je les voie, jouer, courir, cela me rassure un peu. De loin, de si loin, je veille sur eux…
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 21:45

Mes enfants me manquent beaucoup trop, et j’en souffre comme un chien. Personne ne peut ressentir ce que je ressens, parce que ce que je voie de si loin, c’est le bonheur de toute une famille qui s’éloigne, et je ne peux rien y faire. Que l’on me donne la force de tenir, le coup, je ne crois plus en rien, même plus en Dieu. Les SMS que j’envoie sur le portable d’Alexandre, ne sont pas essentiellement à l’attention de ma femme mais aussi à mes enfants, portable que j’avais envoyé par la Poste chez SOS FEMMES, à Nantes, quand ma femme y était domiciliée, pour que je puisse entrer en communication avec mes trois enfants. Puisse que ma femme ait jugeait bon de ne pas me donner de leurs nouvelles. Dire que je pourrais m’en prendre aux enfants ! Ma femme mesure t-elle la porté de ces mots ? Tout est bon pour me faire passé pour un monstre. Dire que je n’ai plus rien à perdre, se rend t-elle compte de la chance que nous avons d’avoir nos trois petits Anges, crois t-elle réellement que je veuille les perdre ? Dire qu’elle n’ose pas laisser les enfants jouer dehors, c’est faux, j’ai vu mon fils, Alexandre, jouer devant leur maison à Massérac, avec une voiture télécommandée. »
En parlant du fait que pendant leur vie commune, les enfants dormaient parfois avec elle dans leur lit, notre interlocutrice précise, que son mari avait son ordinateur, devant lequel il passait la moitié de la nuit, dans la chambre de Julien, par ailleurs, il fumait tellement, que l’enfant ne pouvait pas se couché :
« Anaïs et Julien dormaient souvent avec leur mère dans le lit conjugale parce qu’ils avaient peur du noir, tout comme ma femme. C’est vrai que j’avais mon ordinateur dans la chambre de Julien, ma femme passait la moitié de la nuit devant la télévision. »
Madame Dague évoque également son manque de pudeur et son intérêt pour certains sites Internet. Pendant l’été il avait l’habitude de se faire bronzer tout nu devant la maison au vu de tous :
« Site Internet, parfois au contenu érotique, que nous regardions de temps en temps mon épouse et moi-même. Je me faisais bronzer tout nu comme ma femme le faisait avec moi. Nous avons même fait l’amour sur la terrasse de notre maison à Sainte Marie, mais pas à la vu de tout le monde des haies nous cachaient. »
Madame Dague ne veut en aucun cas que Monsieur Dague parte avec les enfants à Paris chez ses parents. Elle ne peut lui faire confiance étant donné qu’il est incontrôlable lorsqu’il abuse de l’alcool :
« Ma femme prétexte que j’abuse de l’alcool, pour que l’on me prive de nos trois enfants. Elle sait très bien que je ne bois pas, j’ai du le prouver que je n’étais pas un alcoolique comme elle le prétend, ainsi que l’on prétendu son amie et toute sa famille. Je ne suis pas comme Michel, le frère d’Elisabeth qui se ballade avec des flashs de Whisky dans les poches. »

Notre interlocutrice tient à préciser qu’elle n’entretient aucune liaison extraconjugale comme on le prétend :
« Alors je voudrais bien que l’on m’explique comme appelle t-on une femme qui fait l’amour sans aucune pudeur ni retenue devant ses propres enfants avec un autre homme que son mari ? Et cette personne n’est autre que Fabrice, le frère du propriétaire de la maison voisine de ma femme ! J’avoue ne pas comprendre, je suis vraiment dégoûté et écoeuré. »
Lors d’une dernière entrevue, Madame Dague nous apprend qu’une audience a eu leu le 1er mars 2005 et que son mari pourra désormais sortir la journée avec leurs trois enfants à partir du Point Rencontre :
« J’aurais souhaité et de tout mon cœur que se nouveau mensonge de ma femme soit vrai, car j’aurais pu, et ce, pendant plus d’une heure profité pleinement de mes trois enfants en dehors de cette prison. »
Madame Dague affirme ne pas vouloir couper les enfants de leur père tout en soulignant l’éventualité d’une rechute dans la boisson de sa part :
« Après m’avoir accusés de choses toutes aussi cruels que dégelasses ma femme affirme ne pas vouloir couper les liens qui existent entre mes enfants et moi ? Je ne sais pas ce qu’il lui faut… »

Madame Dague s’est aperçue que son mari à toujours l’espoir d’un retour à la vie commune, alors qu’elle est fermement décidée de vivre sans lui. Si elle est restée avec lui aussi longtemps, c’est qu’elle a toujours espéré qu’il changerait. Il l’a profondément déçue et elle continue sa vie désormais sans lui :
« J’ai toujours l’espoir d’une réelle confiance entre ma femme et moi, on dit bien que l’amour est aveugle, je le serais aussi. Oui, j’ai encore et toujours l’espoir d’une réconciliation, pourquoi m’en caché ?
Et puis ma femme ma fait espérer à plusieurs reprises d’un retour à la vie commune, en me disant qu’il lui fallait encore un peu de temps pour réfléchir, à nous deux, que pour nous deux on verrait. Comme la fois ou elle est venu chez moi à Redon, dans mon appartement, elle m’a dit que l’on ne pouvait pas savoir ce que la vie nous réservait, alors peut-être que dans deux ou trois ans ? L’avoir déçue durant toutes ces années, alors que j’ai pratiquement toujours été à ses genoux et ce, par amour pour elle, uniquement par amour. J’ai toujours fais du mieux que j’ai pu pour qu’elle ne manque de rien, pour qu’elle soit une femme heureuse et comblée en tout point, j’ai toujours fais passé mon épouse avant moi, je l’ai toujours aimer plus que moi-même. Alors qu’elle soit aujourd’hui fermement décidée à vivre sans moi, j’ai pour être tout à fait honnête, du mal à accepter qu’un autre homme que moi puisse la touchée, la caressée, qu’un autre homme que moi puisse être si prés de mes enfants et à loisirs les prendre dans ses bras, tout çà me procure un mal si intense quand permanence une drôle de douleur me brûle la poitrine. »
Madame Dague se dit rassurée de savoir que Monsieur Dague conduira ses enfants à Redon et non à Paris. Elle espère qu’il tiendra sa promesse de ne plus toucher à l’alcool, au moins en présence des enfants :
« Encore une fois, puisse qu’il le fois de nouveau, je ne bois pas d’alcool… Et mon épouse le sait pertinemment, et cela ne l’empêche pas pour autant de dire aux enfants que leur père ne bois pas devant eux mais qu’il bois derrière eux, pourquoi dire çà ? Alors que je suis un père responsable, un mari sérieux, qui ne conçois pas de vivre sans toute sa petite famille. Mais ce qui gêne peut-être ma femme, c’est la peur que nos trois enfants s’attachent trop à moi, et pas à elle. »

Au dire de Madame Dague, elle arrive parfaitement à gérer son budget depuis qu’elle vit seule. Son mari à toujours été soutenu financièrement pas sa mère et elle à été en désaccord avec celle-ci, estimant qu’il étant temps qu’il assument le quotidien avec l’argent qu’ils gagnaient :
« Que mon épouse arrive à gérer son budget, je suis pour être sincère, content pour elle, parce qu’avec trois enfants cela ne doit pas être facile tous les jours. Mais qu’elle vive toute seule ??? Ma femme dit que j’ai toujours été soutenu financièrement par ma mère, mais elle na jamais été contre, quand mes parents nous aidaient financièrement ou matériellement quand on en avait besoin. Et lorsque nous ne pouvions pas régler certaines factures, ma femme me disait, demande à tes parents. Les parents d’Elisabeth nous ont aidés qu’une seule fois, c’était la fois ou la mère de ma femme lui à prêter 2.500,00 francs pour qu’elle puisse payé ses impôt sur le revenus… Que ma femme lui à d’ailleurs rendu sous forme de cadeau de mariage, le nôtre ! En effet, à cette occasion, j’avais emmener ma futur femme chez ses parents afin qu’elle coiffe sa mère pour la cérémonie de notre mariage, et profitant de ce moment sa mère lui à dit qu’elle pouvait garder l’argent qui avait servi à payer ses impôts comme cadeau de mariage, et pour parler de notre mariage, c’est bien mes parents qui ont tout payé, les parents de ma femme non même pas achetés une dragée. »
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 21:48

SITUATION DU PERE, 38 ANS :


Monsieur Dague à quitté le cycle scolaire classique en classe de 3ème pour faire un CAP de service et de cuisine. Jusqu’en 1986 il à travaillé dans différents restaurants avant de faire pendant 16 mois son service militaire. Pendant 2/3 ans il à travaillé dans les magasins de meubles de sa mère. Il a fait ensuite du gardiennage. Dans la région de Redon il dit avoir fait de courts remplacements :
« je ne le dit pas, j’affirme avoir effectuer ces remplacements pourquoi, ne pas le demander à mon épouse ? »

Depuis le 06 septembre 2004 il dit travailler à l’aéroport de Roissy Charles de Gaulle comme agent de sûreté. Il à reçu une formation de quatre semaines et s’occupe aujourd’hui de la détection d’explosifs, d’armes et de stupéfiants. Ses horaires sont très variables, ayant un doute sur la réalité de son emploi nous lui demandons de nous montrer ses bulletins de salaires, ce qu’il refuse :
« C’est tout à fait vrais que j’ai refuser de montrer mes bulletins de salaires à Madame l’Enquêtrice Sociale, car ayant les coordonnées de mon employeur dessus, je ne voulais en aucun cas que ni ma femme, ni Anne, l’amie de ma femme et encore moins la famille d’Elisabeth puisse les contacter pour leur raconter je ne sais quoi sur moi. De plus, je les avais déjà fournis au Juge des Affaires Familiales. Pourquoi ne pas être entré en contact avec son greffe pour vérifier mes dires ? »

Le salaire de base de Monsieur Dague est de : 1.180,00 euros par mois.
Sa mère l’aide financièrement.
La pension alimentaire s’élève à : 250,00 euros par mois.
Il à récemment clôturé une dette de son épouse d’un montant empreinté de : 1.000,00 euros
Et il règle également des arriérés de loyer, EDF, Impôts, etc, etc…

Habitation, Monsieur Dague Pascal, habite selon lui chez ses parents dans Paris. Il s’agit d’un appartement du type 2 spacieux et très confortablement installé, mais il ne dispose d’aucun espace qui lui est réservé. Il dort sur le canapé. Il serait impossible d’y accueillir les enfants. Selon ses dires et ceux de sa famille il vient de louer un appartement de trois pièces à Redon qu’il vient de finir d’installer avec l’aide de ses parents. Il pense que les voyages à Paris pour lui et les trois enfants sont plus chers et surtout trop fatigants pour eux.

Entretien, Monsieur Dague Pascal s’est déplacé à Nantes pour un premier entretien. Nous l’avons ensuite revu à Paris. Il dit avoir grandi en fils unique à Paris. Ses parents ont divorcé lorsqu’il avait 7 ans. Il n’a jamais revu son père mais sait qu’il à un demi frère et une demi sœur. Son père est aujourd’hui décédé. Sa mère s’est remariée il y à une dizaine d’années. Après son service militaire il à travaillé avec sa mère dans leurs magasins de meubles pendant un certain temps. Aujourd’hui, elle est commerçante dans le prêt-à-porter féminin. Il a fait la connaissance de sa future épouse en 1987 mais ils n’ont vécu ensemble que trois ans plus tard. Selon Monsieur Dague, elle a reçu une éducation assez stricte et ses relations avec ses parents ont été plutôt houleuse, car ils n’étaient pas d’accord avec une union libre. Il leur a cependant demandé la main de leur fille :
« J’ai été, et ce, dès le premier jour très mal accueilli par ma futur belle famille, simplement, par le fait que je n’étais pas comme Elisabeth d’origine Portugaise. Alors que ma femme s’est toujours plus considérée comme Française que Portugaise, à l’inverse de tous les autres membres de ma belle famille. »

A la naissance d’Alexandre, il dit avoir été le plus heureux des pères. Ce dernier est présenté comme étant la continuité de la famille…
Monsieur Dague Pascal se dit très sentimental et émotif. Il nous montre les photos de sa famille, sa femme et ses enfants.
Monsieur Dague, souligne que ses enfants lui manquent beaucoup. Il ne comprend pas l’attitude de son épouse. Ils se sont mariés le 27 octobre 2001 à la mairie de Tremblay en France, en région parisienne, tout en baptisant leurs trois enfants et pour lui cela n’était pas pour se séparer quelques mois plus tard :
« Ma femme me disait souvent que j’étais trop sensible, alors que moi, et sur bien des points je lui disait qu’elle avait une pierre à la place du cœur, après tout ces événements je ne pense pas m’être beaucoup trompé à son sujet. Bien entendu que si je me suis marié avec Elisabeth, c’était pour la vie ! »

Selon notre interlocuteur, son épouse ne supportait pas qu’il boive un seul verre d’alcool. Pour lui, la raison en était que son beau père avait lui-même des problèmes d’alcool et de violence. Il affirme ne pas connaître d’excès. Il a eu une fois en 1987 une amende pour conduite en état d’ivresse. Il occulte totalement l’idée d’avoir été hospitalisé pour cette raison et avoir pu se montrer violent en état d’ébriété :
« Pour ce qui est de mon amende pour conduite en état d’ivresse, c’était le jour ou j’avais fêter la réussite de mon examen et en rentrant chez moi, je me suis fais arrêté par la police pour un contrôle de papier et d’alcoolteste comme d’autres personnes. »
En région parisienne il avait obtenu un poste de gardien d’immeuble avec un logement de service très spacieux. Son épouse voulait quitter le salon de coiffure dans lequel elle a longtemps travaillé. Elle voulait également rejoindre sa famille. Ils ont donc décidé de rejoindre la sœur de sa femme en Bretagne, à Sainte Marie prés de Redon, le 04 avril 2003.
On lui avait promis un poste dans un super U mais une fois sur place il s’est aperçu que le salaire n’était pas celui que l’on lui avait laissé espérer. Il a fait ensuite quelques petits emplois, à la Poste comme facteur, la cueillette des pommes, comme surveillant de magasin. Ensuite, il s’est occupé des courses, de la cuisine et de la conduite des enfants à l’école privée de Sainte Marie. Son épouse n’avait plus qu’à mettre les pieds sous la table. Ils ont également souvent gardé les enfants de la famille de sa femme :
« Je me souviens très bien, que ma femme a eu une explication très sérieuse avec sa sœur Jacqueline, ce qui m’avais d’ailleurs surpris au premier abord, puisse qu’elle ne disait jamais rien pour contre dire sa famille. Et quand plus de çà, leur conversation avait pour sujet la proposition de mon emploi, Elisabeth avait finit par sa fâcher avec sa sœur devant sa mauvaise foi a nier la vérité. Jacqueline disait à ma femme, qu’elle ne m’avait jamais trouvé d’emploi stable, heureusement que ma femme était là, quand elle me la proposé ce travaille… Et pour mon épouse, j’affirme bien qu’elle n’avait qu’à mettre les pieds sous la table, je lui appliquais même sa couleur pour ses cheveux. Pour mon épouse, j’aurais n’importe quoi, n’importe quoi pour qu’elle se sente bien. »

Sur place il n’a pas trouvé de travail en dehors de quelques CDD. Son épouse ne voulait pas qu’il redevienne serveur en raison des horaires. Notre interlocuteur pense que l’influence de la famille, de la sœur de sa femme et de son amie était néfaste pour leur couple :
« Toute la famille de mon épouse lui disait que je n’étais qu’un bon à rien, un déniant, qu’elle n’avait pas sa place auprès de moi. Quand sa sœur, Jacqueline, n’était au téléphone avec ma femme pour savoir tout de notre vie privée et pour lui raconter tout les ragots de Massérac, j’avais fini par la surnommée Radio Bretagne, c’est son amie, Anne, qui prenait le relais en venant à la maison discuter avec ma femme, et pour parler de quoi ? Des gens. »

En ce qui concerne les enfants, Monsieur Dague affirme qu’il n’a jamais montré de film pornographique à son fils, Julien. Il leur à acheté des films dvd. Il affirme également que la scène décrite par son épouse en août 2004 n’a jamais eu lieu. Ils avaient fait de courses ensemble et il a demandé qui voulait l’accompagner pour manger une glace. Il n’y a eu qu’Anaïs pour le suivre. Ensuite, quelqu’un l’a averti que son épouse était en pleurs :
« Ce que je réfute totalement c’est d’avoir porter la main sur mon épouse… Pour moi, c’est une tierce personne qui lui a un peu enfoncé les yeux avec ses doigts pour pouvoir faire établir un certificat médical, et d’aller par la suite à la Gendarmerie de Redon, pour porter plainte contre moi pour violence conjugale, je connais pas mal d’esprit assez tordu pour avoir pensés à ce genre de scénario. »
Il ajoute qu’on l’accuse également de se droguer, de vendre des stupéfiants et de faire du trafic d’armes, ce qui est ridicule, Monsieur Dague élude nos questions concernant le fait qu’il ait pointé une arme sur la tempe de sa femme. Il nie les faits :
« Je n’ai jamais mis le canon d’une arme sur la tempe de mon épouse, jamais ! Par contre, sa sœur Jacqueline, sous l’impulsion d’une colère lui a déjà planter une paire ciseaux en pleine tête, (ndlr). Et c’est bien Stéphane, le petit copain d’Anne, qui fumait du shite, pas moi. »

Pendant un certain temps Monsieur Dague, n’a pas eu de nouvelles de ses trois enfants. Ils s’est adressé à SOS FEMMES pour qu’ils transmettent son courrier et un portable afin qu’il puisse au moins leur parler un peu. Dans le Point Rencontre, UDAF 44, Monsieur Dague, trouve qu’il voit ses enfants dans un temps trop court, une heure de visite tout les quinze jours le samedi après midi. Cela se passe bien, mais il n’est pas satisfait du lieu… Monsieur Dague, avec ses trois enfants ont fêté le 10ème anniversaire d’Alexandre au Point Rencontre. Monsieur Dague, ne cache pas qu’il à encore des sentiments très fort pour son épouse. Il l’aime tout autant qu’il aime ses enfants mais sous une autre forme. Il projette de louer un appartement à Redon, pour pouvoir recevoir ses trois enfants et leur épargner des allers et retours. En outre les trajets sont très chers et son épouse refuse de le faire profiter de la carte de famille nombreuse.

Lors de notre deuxième entretien, Monsieur Dague nous montre spontanément les résultats d’une prise de sang qui indiquent qu’il ne consomme pas d’alcool…
En ce qui concerne son manque de pudeur, il reconnaît s’être exposé nu en été mais ceci avec son épouse sur leur terrasse, qui était entourée d’une haie :
« Je précise de nouveau que nous avons même fait l’amour mon épouse et moi-même sur la terrasse de notre maison à Sainte Marie, mais jamais devant nos trois enfants. »
Il nous confirme qu’il à loué un appartement à Redon, et semble confiant quand à l’avenir concernant ses droits de visite. Il à en effet déposé des friandises devant la porte de son épouse sans pour autant la déranger.

Monsieur Dague, ne comprend pas l’attitude de sa femme, selon lui, elle est influençable à 300% et sa famille essaie de le décrire comme dangereux et essaie de le séparer de sa femme et de ses enfants, c’est pourtant bien lui qui s’est occupé de ces derniers des années durant.
Monsieur Dague, se demande si l’attitude de sa femme ne provient pas également d’un problème médical dont elle souffre depuis longtemps et qu’elle ne soigne pas comme il faut ; Hyper-Hypothyroidie.
Il se sent Sali, trahi et humilié… Par toutes ces accusations.
Notre interlocuteur ajoute qu’il n’a jamais été accepté dans la famille de son épouse. Deux de ses frères et sœur ont épousé des personnes d’origine Portugaise. Une belle sœur, Sylvie, d’origine Française à été quittée par son frère, Michel, tout comme lui par son épouse. Les grands parents maternels ne l’ont jamais accepté. Il y à eu entre lui et sa femme de nombreuses disputes au sujet de sa famille. Elle lui à souvent dit, que veux tu que je fasse, c’est ma famille :
« Elisabeth, aurait pu tout au moins leur dire qu’elle était mariée avec moi et pas avec eux, et pensée une seconde à nos enfants. Depuis toute petite ma femme à toujours eu peur de sa famille, mais avec moi, elle à toujours eu du répondant. »
Monsieur Dague, nous fait également part que son épouse l’a fait rayer de la mutuelle qu’ils avaient prit ensembles, pour eux et leurs trois enfants, prétextant qu’ils étaient déjà divorcés. Il termine en nous répétant qu’il à trois magnifiques enfants qui sont un don du ciel.
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 21:54

RENSEIGNEMENTS RECUEILLIS :


Sur la mère, Madame Dague est décrite par son entourage comme une femme plutôt réservée, très discrète sur sa vie privée. Selon des personnes dignes de confiances elle ne s’est jamais plainte d’un comportement inapproprié de son mari. Sa propre famille la décrit comme une jeune femme honnête, sérieuse et gentille. Les quatre frères et sœurs ont aujourd’hui tous déménagée dans la même région. Seuls les grands parents maternels sont restés en région parisienne. On souligne que sa sœur, Jacqueline, l’a beaucoup influencée dans la décision de partir. On lui aurait fait miroiter une vie idyllique, que l’on pouvait vivre comme des rois sans travailler. Elle avait également un trajet très long entre son lieu de travail et son domicile lorsqu’ils vivaient à, Tremblay en France. Selon des témoins, le père de Madame Dague, ouvrier, d’origine Portugaise, a élevé ses enfants de manière très sévères et droite. La famille de Madame Dague, n’a jamais accepté le mariage avec Monsieur Dague. Son épouse ne s’est jamais plainte de quoi que ce soit et paraissait l’aimer !

Ce n’est qu’aujourd’hui, dit-on, qu’elle se rend compte qu’elle à été malheureuse… D’autres personnes se souviennent qu’elle à été très heureuse de se marier. On souligne la différence de milieu des deux époux. Madame Dague, a été très bien accepté dans sa belle famille et a souvent été gâtée sur le plan matériel. Son départ en août 2004, du domicile conjugal a été perçu comme prémédité. En effet, un moment avant, elle a paru détendue et elle avait discuté avec sa belle mère sur l’éventualité que l’on lui achète une voiture sans permis. De manière unanime on estime que Madame dague est une bonne mère de famille. Elle est très proche de ses enfants et entretient des relations du type fusionnel avec eux. Certains, pensent qu’elle est toujours collée à eux, considérant qu’ils sont à elle seule ! Dans le passé, les enfants ont souvent dormi dans le lit conjugal, selon certains, avant tout parce qu’ils avaient peur du noir tout comme leur mère. Alexandre, semble trop couvée par sa mère. Depuis leur séparation, on la sent mieux, on l’a dit moins angoissée. Elle a cessé de fumer et a prit du poids.

Sur le père, Monsieur Dague, est perçu comme un homme plutôt introverti, doux et naïf. Ayant du mal à se défendre et à s’extérioriser. Gentil et sympathique en temps normal. Le départ de son épouse l’a laissé psychologiquement très fragile. On dit que peu à peu il se ressaisi grâce à l’espoir de pouvoir retrouver ses enfants… Les parents de Monsieur Dague, ont divorcé lorsqu’il était âgé de 6/7 ans. Son père, qui avait fondé une nouvelle famille, refusait de le voir. Il n’a plus jamais rencontré son père avant que celui-ci décède.
Son beau père et sa mère l’ont élevé en tant que fils unique en le couvant de trop, nous dit-on. Il n’aimait pas trop l’école et était assez rêveur. La famille de son beau père l’a souvent pris en charge, et encore, aujourd’hui, il est trop sous l’aile de sa mère, trouve t-on. Pendant la vie commune du couple Dague, la mère de Monsieur Dague est souvent intervenue financièrement et matériellement pour soutenir le couple, au point de se priver elle-même, pour pouvoir leur venir en aide. Alors que la famille de Madame Dague, jamais. Lorsque le couple est parti en Bretagne, ni l’un ni l’autre n’avaient de travail, on pense que cette situation n’a fait que précipiter le couple vers la séparation.
En se qui concerne ses problème d’alcool, les avis sont très divisés. Cependant, au moins tant qu’il a vécu en région parisienne, cela est resté exceptionnel. Dans la famille de Madame Dague on estime que Monsieur Dague avait souvent trop bu et qu’alors il changeait de personnalité. On le dit aussi déconnecter de la réalité.

L’entourage du couple n’a jamais pu savoir qui voulait quitter la région parisienne. Les uns sont persuadés que Madame Dague en avait assez de son travail et qu’elle voulait retrouver sa sœur, Jacqueline, en Bretagne, les autres prétendent que Monsieur Dague voulait partir ayant eu des problèmes dans son travail. En tout cas, ils n’avaient averti la famille de leur projet que juste avant leur départ et sont partis sans être assurés d’un emploi, ni l’un ni l’autre. On estime qu’ils ont manqué tous les deux de maturité.
De manière unanime on estime que Monsieur Dague est encore très attaché à son épouse… Et lui prouve encore aujourd’hui, son amour pour elle.

En ce qui concerne ses relations avec ses enfants, on nous dit unanimement qu’il s’est toujours occupé d’eux. Que Monsieur Dague s’est énormément investi dans la vie de tous les jours et ceci pendant des années.

Au Point Rencontre UDAF 44, on nous dit que les visites se passent très bien entre les enfants et le père. Celui-ci paraît relativement fragile et a besoin d’être rassuré. Il n’a pas fait le deuil de son lien affectif avec son épouse. Il à fallu expliquer à Monsieur Dague qu’il n’a pas à s’enquérir sur la vie de sa femme auprès des enfants. Les relations avec les enfants sont fortement soutenues par des échanges de cadeaux. Alexandre, Julien et Anaïs ne montrent aucune anxiété ni appréhension lors des visites. Un élargissement du droit de visite ne paraît pas inquiétant.
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 21:55

POSITION DE LA MERE :


Madame Dague aborde notre entretien sur un mode dynamique. Elle se montre active dans l’échange. Elle fait preuve de clarté et de précision dans son récit. Elle s’attache à l’essentiel dans l’exposé qu’elle nous donne de son histoire de vie. Elle entretient aujourd’hui des relations investies avec l’ensemble des membres de sa famille. Départ de la région parisienne pour Redon, il y à deux ans en partie motivé par son désir de se rapprocher de ses frères et de sa sœur. Elle présente Monsieur Dague comme sa première relation affectif :
« Ce qui est faux. Il y à bien eu un certain, Manuel, d’origine Portugaise, avant moi, dans la vie amoureuse de ma femme. »

Elle à connu des fluctuations dans sa relation de couple avec Monsieur Dague décrivant des sentiments amoureux très forts entre son conjoint et elle. Mais elle laisse entendre qu’elle à connu une relation d’emprise, de violence de la part de son mari sous l’emprise de l’alcool. Elle donne des circonstances atténuantes à son époux. Elle évoque des périodes au cours de sa vie conjugale, pendant lesquelles elle à trouvé un état de bien être et ayant justifier son mariage.
Elle montre que Monsieur Dague s’est parfois trouvé en difficulté vis-à-vis de leurs enfants en fonction de sa dépendance ou non de l’alcool.

Madame Dague à éprouvé un sentiment d’impuissance face à l’évolution de l’attitude de son conjoint. Elle à quitté le domicile conjugal une première fois avec l’aide de son amie, Anne, pendant quelques jours pour tenter de mobiliser son époux vers une prise de conscience. Elle présente se décision, de son départ définitif du 07 août 2004, comme justifié par sa volonté de protection tant vis-à-vis des enfants que vis-à-vis d’elle-même. Depuis cette date, elle pense avoir instauré un processus de reconstruction personnelle. Elle a vécu quelques jours en famille puis pendant un mois chez SOS FEMMES avant de retourner s’installer à proximité de ses frères et de sa sœur. Elle trouve un étayage dans ce contexte, valorisation de ses relations avec son amie, Anne.
Madame Dague, met l’accent sur la restauration de l’équilibre de ses enfants, ces derniers ayant été auparavant fortement déstabilisés par le climat familial conflictuel. Elle présente leur fils aîné, Alexandre, comme particulièrement exposé a ce climat dans le passé. Elle indique que ce dernier à adopté des attitudes d’évitement pour se protéger de l’anxiété générer par les conduites paternelles. Elle justifie ses difficultés scolaires par des problèmes de concentration liés à la situation familiales ou par peur de l’intégralité physique de sa mère l’empêchant d’avoir une pleine disponibilité. Elle valorise l’équilibre actuel de l’enfant.
Elle pointe cependant ses propres inquiétudes liées à ses révélations d’attouchements sexuels de Monsieur Dague sur sa fille, Anaïs. Madame Dague à porté l’affaire en Justice (objet de non lieu).
Position de rétraction d’Alexandre après ces accusations, ce dernier justifiant ses allégations par son désir de se venger de son père qui l’aurait abandonné.

Soucieuse de la bonne évolution psychoaffective d’Alexandre, elle se montre interpellée par l’attirance de ce dernier pour tout ce qui à trait aux vêtements et jeux féminins, elle le perçoit en difficultés vis-à-vis des images masculines. Elle comprend ces difficultés comme l’indice de possibles problèmes d’identification au père dans son enfance. Elle perçoit aujourd’hui, une petite évolution chez Alexandre. Après refus de toute interaction avec les figures masculines dans le passé. Il est maintenant en mesure d’accéder à des relations avec des cousins et des oncles et accepte de jouer avec son frère :
« Ma femme jusqu’ici ne s’était jamais inquiète, outre mesure, que notre fils, Alexandre, se déguise en fille avec ses propres vêtements. Bien au contraire puisse qu’elle lui prêtait ses robes, ses chemises de nuit et ses chaussures pour qu’il puisse s’habillé en fille, elle en rigolait disant que s’était encore un enfant. Je n’ai jamais cautionner ce genre de jeu, et malgré mes remontrances, j’étais obliger de le laisser faire, au risque d’une nouvelle dispute avec ma femme. Croyez vous que cela me face vraiment plaisir que les enfants de Jacqueline, la sœur de mon épouse, traitent mon fils, Alexandre, de Pédale ! »

Madame Dague se montre partie prenante de l’organisation du droit de visite paternel au Point Rencontre. Elle est consciente que ces dispositions prennent un caractère transitoire. Elle apparaît prête à envisager des modalités autres en matière d’organisation du droit de visite tout en exprimant des inquiétudes au sujet de l’évolution de l’état psychique du père. Elle éprouve le besoin de garder un certain contrôle sur les relations père enfants. Madame dague, centre ses préoccupations sur ses enfants. Elle les situe comme une priorité dans son existence laissant de côté sa vie affective compte tenue de sa méfiance vis-à-vis des images masculines. Elle se trouve en recherche active d’emploi :
« Elisabeth, ma propre femme, s’envoie en l’air et ce, sans aucune retenue ni pudeur avec son amant, Fabrice, devant les yeux de nos enfants ! Et elle ose affirmée laissée sa vie affective de côté… Drôle de méfiance pour l’image masculine, comme elle dit si bien. »
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 21:59

POSITION DU PERE :


Monsieur Dague se mobilise dans notre intervention. Il s’exprime sans réticence, il s’ouvre sur sa souffrance face à sa situation familiale actuelle, décharge émotionnelle à plusieurs reprises…
Il manifeste la volonté de retrouver une place entière auprès de ses trois enfants et de son épouse. Il renvoie l’image d’un couple heureux et uni.
Il montre que la naissance de leurs trois enfants à été portée par un désir parental. Monsieur Dague, a le sentiment d’avoir sans cesse répondu aux attentes de sa femme. C’est ainsi qu’il justifie leur départ de la région Parisienne pour la région de Redon en avril 2003 en vue d’un rapprochement familial, les frères et la sœur de son épouse y résidant et celle-ci, à l’époque coiffeuse, connaissant des difficultés relationnelles avec son patron. Monsieur dague situe un changement d’attitude de sa femme à partir de cette date. Il la présente comme sous influence de sa sœur, Jacqueline, et de son amie, Anne.
Il dit avoir assisté impuissant à sa séparation conjugale. Il se présente comme victime de la situation. Il à été profondément déstabilisé par cette situation. Il récuse toute conduite autoritaire de sa part. Il nie tout problème d’alcool ainsi que tout acte de violence à l’encontre de son épouse. Depuis la séparation, Monsieur Dague n’a eu que de rares contacts avec ses trois enfants. Il montre une volonté maternelle de les tenir à bonne distance !

Il évoque ses deux dépôts de plainte contre lui en termes de déception et de trahison. Il récuse les très graves accusations dont il a fait l’objet…
Au travers de ces accusations, Monsieur Dague à le sentiment de découvrir sa femme sous un autre visage que celui qu’il à connu pendant dix huit ans, évocation d’une double personnalité et de l’influence exercée par les deux femmes présentes dans l’entourage, sa sœur Jacqueline, et de son amie, Anne. Monsieur Dague cherche des circonstances atténuantes à son épouse…

Il reste animé par de profonds sentiments amoureux à son égard. Il se montre prêt à une reprise de la vie commune, à distance de la sœur de sa femme et de son amie, sans se faire d’illusions sur cette éventualité, existence d’un nouvel homme partageant la vie de sa femme. Monsieur dague vit l’éloignement de ses trois enfants en termes de manque et de déchirure, souffrance de ne pas assister aux progrès et aux acquisitions de ses enfants. Il insiste sur la qualité des liens ayant préexisté à la séparation. Il se définit comme détenteur de règles et de cadre, position l’ayant parfois amené à adopter une attitude de rigueur auprès des enfants. Monsieur Dague s’est trouvé interpellé par les centres d’intérêts d’Alexandre, jeux avec des poupées, plaisir trouvé dans le fait de s’habiller en fille en empruntant les vêtements de sa mère.
Il à vu cette dernière cautionner ces comportements, bien que percevant un changement récent d’attitude de sa part et de na pas respecter une bonne distance générationnelle, enfants souvent invités dans le lit conjugal au point qu’il s’en est souvent trouvé exclu !
Monsieur Dague vit sa situation en terme d’injustice et d’amputation… Perte de la fonction paternelle. Il a réalisé le projet de s’installer à Redon, afin de se rapprocher de ses trois enfants et de leur éviter des trajets trop longs et fatigants entre les deux domiciles parentaux.
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 22:01

CONCLUSIONS ET PROPOSITIONS :


Les trois enfants Alexandre, Julien et Anaïs Dague ont évolué dans un système familial à forte charge conflictuelle. Toutes les personnes ayant fréquenté le couple Dague ont pu constater que les deux parents sont particulièrement attachés à leurs trois enfants. Monsieur Dague s’est investi durant des années auprès d’eux. Madame Dague ne s’est pratiquement jamais plainte d’un comportement inadapté de son mari. Il semblerait que le fait de partir en Bretagne, sans que ni l’un ni l’autre n’ait un emploi, a été une épreuve insurmontable pour le couple…
Il est probable que Monsieur Dague qui ne supporte pas l’alcool, même en petite quantité ait pu avoir un comportement excessif. Il est établi que l’intervention de la Gendarmerie a été nécessaire. Il est extrêmement difficile de vérifier l’exactitude des affirmations de l’entourage de Madame Dague tout comme celle de la famille de Monsieur Dague. Il semble que d’un côté on essaie de minimiser les faits, de l’autre on se focalise sur un comportement certes excessif, mais pas réellement dangereux. Ces faits se seraient déroulés avant tout entre adultes et n’étaient en aucun cas dirigés contre les enfants. Monsieur Dague, après un moment d’extrême abattement en raison du départ de son épouse, auquel il ne s’attendait nullement, à retrouver un travail et s’est investi, soutenu par sa famille, dans la location d’un appartement à Redon, pour pouvoir recevoir ses trois enfants. Il n’a jamais manqué de se rendre au Point Rencontre depuis qu’il a obtenu un jour de visite. Nous regrettons cependant un manque de prise de conscience de son problème qu’il à tendance à occulter ou a relativiser. Quand à Madame Dague, elle éprouve apparemment une crainte réelle devant d’éventuels agissements de son mari, mais il est probable qu’elle se trouve également sous l’influence de son entourage…

Cependant elle ne refuse pas un droit de visite à son mari. Ainsi nous pensons qu’il serait souhaitable d’instaurer un droit de visite progressif. Dans un premier temps Monsieur Dague pourrait recevoir ses trois enfants un dimanche tous les quinze jours par exemple un mois, dans un second temps le droit de visite pourrait être élargi au samedi midi parés l’école jusqu’au dimanche soir. Par la suite, un droit de visite classique pourrait être envisagé en divisant éventuellement les grandes vacances par deux fois deux semaines, en raison du jeune âge d’Anaïs, au moins pour l’été 2005. Nous pensons qu’il serait préférable que les grands parents paternels soient présents au moins les premières fois.

Fait à Nantes, le 07 Mars 2005.
Madame, …,
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 22:03

SEUL, CONTRE TOUS :


Je ne souhaite d’aucune façon que mon histoire ne soit vécue par une autre personne. Qu’aujourd’hui, comme demain :
Que mon histoire ne se répète, jamais…

L’amie, et toute la famille de ma femme se sont évertuées à amplifier, et à caricaturer bon nombre d’événements, et parfois même à en inventer. Tout en superposant un combat supplémentaire à notre instance de divorce, ce qui n’étais absolument pas nécessaire de faire. Par leur prise de position, ils ont pris nos trois enfants en otages. Et ce, dans un seul et unique but, exacerbé les sentiments, aiguisé la haine et alimenté les rancoeurs, ce qui implique tout l’entourage de ma femme. Unissant toutes leurs énergies et toutes leurs forces pour s’engager dans un véritable jeu de massacre, contre moi, au mépris de notre vie de couple, de notre vie de famille et de tout ce qu’il y a eu de si beau dans notre histoire d’amour. Tout, ou en partie n’est que le résultat d’un sac de nœud complexe, de conflits familiaux et d’impuissance totale face au manque de compréhension des uns et des autres. Je voudrais dénoncer l’Arme redoutable dont ma femme s’est servie, non seulement pour m’achever, mais aussi pour pouvoir m’empêcher d’être et de continuer à être, un Papa.

Mon épouse à volontairement ou involontairement, étant ou n’étant pas sous l’influence de son amie, Anne, et de toute sa famille, porter plainte contre moi pour agressions sexuel sur enfant de moins de quinze ans par ascendant. J’ai ressenti cette accusation d’une extrême violence. Ma femme s’est servie de nos enfants comme d’instruments pour m’attaquer, qui peut me dire qu’elle ne recommencera plus ?

Nos trois enfants sont les victimes silencieuses de cet acharnement à vouloir à tout prix, détruire notre petite famille. Ils peuvent être fière parce qu’ils y sont parvenus. Nos trois enfants souffrent énormément de cette situation qu’ils ne comprennent pas. Je me demande comment ma femme ne peut s’enquérir de telles conséquences.
Ce que je souhaite et ce que je réclame, c’est qu’à l’avenir, la Justice, puisse regarder de plus prés et avec beaucoup plus d’attention, l’histoire d’un père de famille qu’on accuse avec autant de conviction d’agressions sexuels sur son propre enfant. On ma fait payer et on continu à le faire, au prix fort, un crime que je n’ai pas commis. On me prive du bonheur de vivre paisiblement auprès de mes trois enfants, alors que je n’ai rien fait pour mériter çà. Que mon épouse puisse avoir autant de haine après avoir connu amour et tendresse pour m’abattre de cette façon là, est un comportement inhumain. Toute relation implique deux individus responsables, ce qui se passe entre nous deux, na pas à être projeté en avant tout en prenant nos trois enfants comme bouclier. Parce que justement, à propos de ces soit disant attouchements que j’aurais fait sur ma fille, Anaïs, mon fils, Alexandre, me confie aujourd’hui, qu’il à fait ces fausses déclarations contre moi parce qu’on lui à raconter et décrit avec précisions certains faits pour qu’il comprenne bien de quoi on lui parlait, et on lui à dit ; que son papa était très méchant avec sa mère, que son papa battait quotidienne sa maman, que son papa n’avait aucun respect pour elle, on lui à même souligné le fait que je là considérait comme un animal. On lui a aussi dit que je ne les aimais pas, lui, son petit frère et sa petite sœur. On lui a dit tellement de mauvaises choses sur son papa, que mon fils, et ce, malgré lui, à finit pas croire que tout ce qu’on avait pu lui dire était vrais. Mon fils, Alexandre, c’est senti obliger de prendre parti pour sa mère, surtout quand plus, on lui à laisser sous entendre que je les avaient tous les trois abandonnés.

Je souhaite qu’au travers de ce livre, mon fils, Alexandre, comprenne bien que je ne lui en veux pas du tout, On aurait jamais du le mêler aux histoires de grandes personnes, à sa place j’aurais sûrement fait comme lui, et ce n’est pas moi qui vais lui jeter la première pierre, c’est à mon épouse de la recevoir, pas à lui. Surtout qu’en plus il ne connaît même pas la définition du mot, Pédophilie.
C’est une personne proche de ma femme qui à sucgéré à mon fils, Alexandre, d’aller raconter toute cette histoire à la Gendarmerie, chose qu’il à faite en compagnie de mon épouse et ma femme profitant des déclarations de mon fils, portait plainte contre moi, pour agressions sexuels sur enfant de moins de quinze ans par ascendant. Ainsi, sa maman était venger de mon soit disant comportement envers elle.

Ma femme, décrite par un certain nombre de personne, dite de confiance mais qui ne sont autre que son amie, Anne, et toute sa famille, comme une jeune femme toute frêle et sans défense, comme une mère de famille modèle et entièrement dévouée à la cause de nos trois enfants, à tentée de couper les liens qui les unissaient avec mes parents, qui ont toujours été proches d’eux, contrairement aux parents de ma femme qui n’ont jamais, de prés ou de loin, montrer un signe d’affection envers nos enfants.
Après le départ de mon épouse de Sainte Marie, le samedi 07 août 2004, mes parents n’ont jamais pu revoir leurs petits enfants, et ce n’est qu’au mois de mars 2005, et ce, profitant de l’une de mes visite au Point Rencontre qu’ils ont pu les apercevoir derrière la fenêtre de la pièce ou nous, nous trouvions les enfants et moi, situé au 1er étage du Centre UDAF 44. Quand les enfants se sont rendus compte que là, en bas, ils y avaient mamie et papy, ils étaient fous de joie. Et j’ai bien vu ma mère qui ne pouvait cachée ses larmes…
Elisabeth, mon épouse avait bien insisté avec l’aide de son avocat auprès du Juge aux Affaires Familiales pour que mes parents ne puissent bénéficiés d’aucun droit de visite. Ma femme ne s’est manifestement jamais posée la question de savoir ce que pouvait ressentir nos trois enfants, en ne voyant plus leur mamie et papy.

Ma femme a tentée par touts les moyens de me présenter comme un mari violent et alcoolique. Comme un mauvais père qui ne s’est jamais occuper et intéresser à ses enfants, autoritaire avec des tendances pervers, ce qui à d’ailleurs permit à certain de soutenir la thèse qu’il n’y avait pas de fumée sans feu.
Une telle présentation des faits est vraiment dégelasse…
Je me suis soumis volontairement à diverses analyses et examens sanguins biologiques et toxicologiques pouvant établir l’absence totale de signes cliniques d’alcoolisation et de prises de stupéfiants. Pourtant, je peux vous affirmé que je suis comme certains enfants ; j’ai une peur bleue des piqûres. Mais pour prouvé que je ne suis pas un alcoolique ni un drogué, je l’ai fais. Avec une seule idée en tête, revoir mes trois enfants, pour eux je ferais n’importe quoi.
Même si, il convient d’user de prudence lors de l’attribution de droits de visite et d’hébergement à l’un des parents en cas de plainte pénale pour des infractions à caractères sexuel, il n’en demeure pas moins que de tel procédés ne sauraient avoir pour unique but, la privation de mes droits parentaux. Que ma femme le veuille ou non, je ne suis pas un monstre !

Mon épouse veut me faire passer aux yeux de tout le monde (proche ou non) pour quelqu’un que je ne suis pas. De plus, les amis gendarmes de Jacqueline, la sœur de ma femme, ont eux aussi voulu me faire passer pour une personne ayant de gros problème d’alcool, et pourquoi les gendarmes ont volontairement retardés la transmission de leur rapport d’interrogatoire me concernant au Palais de Justice ? Dans une lettre que ma femme ma écrite courant décembre 2004, mon épouse me confie qu’à sa très grande surprise les amis gendarmes de sa sœur, lui ont préparés une fête à son attention pour son anniversaire. Alors, que pendant ce temps et au regard de cette période de fêtes de fin d’année, aucun droit de visite particulier ne m’a été accordé pour que je puisse prendre mes enfants dans mes bras et les serrez très fort contre mon cœur.
Malgré que les accusations ayants motiver mon droit de visite résiduel c’était avéré, entièrement fausses. Voir mes trois enfants, en ce jour qui en temps normal, leur est entièrement consacré aurait été mon plus beau cadeau de Noël.
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 22:05

En portant plainte contre moi pour agressions sexuelles sur enfant de moins de quinze ans par ascendant, ma femme avait sûrement dans l’idée que je ne puisse jamais revoir, Alexandre, Julien et Anaïs… Pourquoi ? Pourquoi ? Elisabeth.
Je trouve ce genre de comportement inacceptable, surtout venant d’une femme se disant mère de famille, avant tout.

La flagrante obstruction de ma femme qui ne permettait quasiment pas et ne le permet toujours pas, aucun appel téléphonique des enfants, aucun courrier, pas une lettre, est vraiment choquante et scandaleuse, elle ne devrait pas être avalisée par la Justice.
Les rares fois que j’ai l’occasion de pouvoir entendre la voix de mes trois enfants, c'est-à-dire une fois tout les quinze jours parce que ma femme ne se tient uniquement qu’à l’ordonnance du Tribunal, mes enfants me parle sans être libre de leur parole (phrases retenues ou dictées) mais jamais spontanés.

Mon épouse ma informer récemment, avoir changer, d’être devenue une autre femme, je n’en doute pas une seconde, mais sûrement pas pour les mêmes raisons qu’elle, et je me demande à quel point, ses changements d’humeurs et sa double personnalité, peut-être dangereux pour la sécurité de nos trois enfants.
Il était devenu urgent que je retrouve des relations normales avec mes enfants, relations dont j’ai été injustement privé alors que je n’ai jamais faillis à mes devoirs de père de famille. Depuis que j’ai retrouve un droit de visite normal avec eux, cela nous permet de nous retrouvés de nouveaux, un peu comme avant… Nous parlons beaucoup, ensembles, en évitent souvent le sujet de notre situation, nous participons tous les quatre comme une équipe qui gagne à toutes les tâches d’une vrai vie de famille (sans maman).
Les enfants ont retrouvés après tout ce qu’ils ont pu entendre sur moi, la confiance qu’ils avaient, les enfants ont reprit leur sens naturel. Il n’y à aucune retenue et pas la moindre hésitation entre nous quatre, et dans leur comportement. Les personnes que je croise en compagnie de mes trois enfants constatent notre complicité et notre bonne entente. (c’est en fait, tout le contraire de ce qu’on à pu colporter sur mes rapports envers mes trois enfants).
J’ai conscience qu’il me faudra encore un certain temps, afin de leur enlever ce sentiment d’abandon qu’on a si bien su leur inculquer. D’une certaine manière, je pense que le temps qui passe joue en ma faveur. Les enfants s’ouvrent de plus en plus… Ils me confient leurs petits secrets et leurs petites envies. Mais ce qui me fais très mal, c’est qu’il me parle aussi d’avenir incertain. Je les rassure du mieux que je peux, mais ce n’est pas facile.

Les enfants n’ont plus confiance en leur mère, ils me disent qu’ils la craignent énormément, qu’ils en on peur ! Les enfants m’avoue qu’ils n’osent pas la contre dire car ils ont peur et appréhendent ses réactions. Ma femme s’étonne que je puisse m’inquiété pour la sécurité, le bien être et pour l’équilibre psychique de nos trois enfants. Alors que mon fils, Alexandre, me dit carrément qu’il en à la Pétoche !
J’aurais réellement et sincèrement pensée, et ce, en toute honnête, que mon épouse agirait avec beaucoup plus d’intelligence face à l’inquiétude de nos enfants, ce qui n’est vraiment pas le cas : C’est sans aucune pudeur que me femme se donne en spectacle devant nos enfants en faisant l’amour comme une actrice de film pornographique, avec son amant, Fabrice. (mes enfants me rapportent les gémissements, les positions, les mouvements).

Je me demande bien ce que peuvent penser les habitants du bourg de Massérac, la voyant se balader au grand jour avec son amant ? Mais là encore, les gens doivent avoir une autre version des faits, et on leur à sûrement raconté une autre histoire, que celle de la vérité.
Je voulais aussi ajouter quelques petits mots sur ces personnes soit disante digne de confiance et aux mœurs irréprochables… ???
Et par qui le témoignage de chacun à peser très lourd sur ma réputation de père de famille responsable, ainsi que sur mon droit de visite avec mes trois enfants :

Je me souviens d’un soir, ou Didier, le mari de Jacqueline, la sœur de ma femme, est venu chez nous, à Tremblay en France. Il était habiller en femme, en travesti plus précisément, pour se faire maquillé et coiffé par mon épouse, nos enfants, Alexandre, Julien et Anaïs, l’avaient regarder d’une drôle de façon, tout en se demandant pourquoi leur oncle se transformait en femme au lieu de resté, tout naturellement en homme ? Même si, pour une soirée ou simplement pour le fait de rigolé, il y à des choses qu’un adulte doit se retenir de faire devant la présence de jeunes enfants. Ma femme trouvait çà tout à fait normal et elle rigolait avec sa sœur et son beau frère.

A une époque nous avion héberger, Michel, l’un des frères de ma femme, parce qu’il s’était fait mettre à la porte par sa petite amie, Nadège, ils finiront par se réconciliés quelques temps, plus tard. Michel, avait un chiot qui faisait ses besoins partout dans notre appartement de Tremblay en France, mais croyez vous qu’il ramassait le caca et le pipi de son chien ? Pourquoi se donné cette peine, puisse qu’il avait à domicile sa bonne, en l’occurrence ma femme, qui était enceinte jusqu’au yeux de notre fille, Anaïs, pendant que ma femme ramassait et nettoyait ce que son chien avait fait, lui, tout naturellement restait assis sur le canapé et la regardait faire, et il rigolait. C’est moi, qui disais à ma femme, laisse, je vais le faire. Parfois, et sans raison apparente, il se promenait chez nous un slip sur la tête, devant nos enfants. Et au risque de me faire licencié, il se permettait de voler dans le parking de la résidence que je m’occupais en tant que gardien d’immeuble, les enjoliveurs des voitures des locataires, pour les mettrent sur son véhicule.
Combien de fois, j’ai pu reprocher les gestes obscènes qu’ils faisaient quand il avait trop bu ? D’ailleurs, mon épouse avait finit par me demander de ne plus lui acheté de Whisky parce qu’il buvait çà, comme du petit lait. Qu’il ne prenait même pas le temps d’en apprécier le goût et que de toute façon il buvait beaucoup trop ! Son autre sœur, Jacqueline, nous disait que Michel était devenu un alcoolique, qu’il finirait par avoir de gros problèmes de santé, et que jusqu’à maintenant il avait eu beaucoup de chance de ne jamais s’être fait arrêté par la police, ivre au volant de sa voiture.
Pour ma part, je n’ai jamais apprécier son comportement plus que douteux, quand il avait baissé le pantalon et le slip de mon fils, Alexandre, pour lui caresser les fesses… J’en avais la preuve sur cassette HI8 que les gendarmes de Redon m’ont confisqué lors de leur perquisition au pavillon de Sainte Marie.

Nous avions parfois honte, des agissements de Jacqueline, la sœur de ma femme, qui n’hésitait pas à voler des tasses, des soucoupes, des cuillères ou autres choses dans les cafés, restaurants. Elisabeth, lui demandait de se retenir de faire ce genre de chose avec nous. Combien de fois, Jacqueline a pu dire à ma femme, lorsqu’elle croisait un homme qui lui plaisait dans la rue, qu’elle se le taperait bien ! Ma femme lui répondait, tu oserais faire çà, toi ? Et Jaqueline, lui répondait qu’il n’y avait pas de mal, à se faire du bien.
Et sont comportement qui n’avait rien avoir avec une mère de famille, elle n’arrêtait de roté et de raconter des histoires de sexes, même devant nos trois enfants.

Anne, l’amie de ma femme, qui nous confiait sans autre mesure, quand cas de coup dure ou de gros problème, elle n’hésiterait pas une seule seconde à tué ses propre enfants !

Il nous avait même été rapporté par la sœur de mon épouse, Jacqueline, que si Nadège était revenue avec Michel, leur frère, après avoir rompue leur liaison, pendant quelques semaines c’était uniquement dans l’espoir de pouvoir avoir une liaison amoureuse, avec Manu, le frère aîné de ma femme.

Mon épouse que tout le monde décrit comme une mère de famille exemplaire et sans aucun reproche à elle aussi ses petits défauts.
Je me souviens qu’elle se mettait à péter devant nos enfants et que tout d’un coup sans savoir elle se mettait a rigolée comme une folle, et les enfants qui lui disaient :
« - Sa pue ! Maman. »
Ma femme leur répondait que c’était naturel, que ça sentait bon parce que c’était son odeur, à elle.
Elisabeth avait la sale habitude de laisser la porte des toilettes grande ouverte, même pour faire la grosse commission, et quand les enfants lui demandaient de fermé la porte parce que ça sentait très mauvais, elle se remettait à rigolée ???
Je ne sais combien de fois, ma femme à pu se décroté le nez devant nos trois enfants en regardant la télévision, et tout en leur montrant une crotte sur son doigt elle leur demandait s’ils ne voulaient pas un Michey ?
Ma femme dansait sur la chanson (choupetta) tout en s’avançant le bas ventre en avant et mettant son sexe sous le nez de nos enfants, tout en fessant des mouvements d’avant en arrière, rapide, sur le rythme de la musique.
Ce sont des comportements normaux de la part d’une mère de famille ?
Tout comme les fois ou elle se levait au beau milieu de nuit, pour me regardée dormir, une cigarette à la bouche…

Je me souviens aussi de choses bien plus graves encore, comme les changements d’humeurs de mon épouse vis-à-vis de nos enfants :
Une fois à Tremblay en France, ma femme n’arrivait plus à se faire écouté par les enfants, en une fraction de seconde elle s’est mise en colère et elle a attraper mon fils, Alexandre par le bras et la violent balancé sur le sol et contre le coin du mûr du séjour. Mon fils, s’est mit à hurler… Je l’ai relevé, et je lui ai mis de l’arnica sur le dos pour le soulager.
Avec le recul, je me dis que j’aurais du me rendre au commissariat de police pour tout au moins y faire une main courante pour mauvais traitement à enfant.
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 22:07

Une autre fois, à Sainte Marie, mon fils, Alexandre, avait décidé de ne pas prendre son thé sur la table de la cuisine mais de le prendre sans le salon face à la télévision pour regarder tranquillement ses dessins animés. Ma femme, il est vrai, l’avait appeler à plusieurs reprises sans qu’il ne répondent à ses appelles, alors elle s’est de nouveau mise en colère et c’est d’un pas bien assuré qu’elle lui a apporter son thé sans le salon, arriver a sa hauteur, elle s’est baisser et lui à tendu la tasse de thé qui était bouillante tout en lui disant sèchement :
« - Tiens… Tu me fais chier ! »
Sûrement choquer par les propos de sa mère, la tasse de thé lui à échapper des mains et elle s’est renversée sur sa jambe, le brûlant au 1er et au 2e degrés. C’est encore moi, qui lui ai appliqué des compresses d’eau froide pour empêcher que sa brûlure ne fasse des cloques. Puis, je l’ai transporté aux urgences de l’Hôpital de Redon. Là encore, j’ai manquer de tact, j’aurais du faire établir un certificat médical pour la brûlure d’Alexandre.

Elisabeth laissait souvent Julien et Anaïs se promenés tous nus à la maison comme dans le jardin, à Sainte Marie, et à la vue de tous… Malgré mes remontrances à ce sujet. Elle me disait qu’ils étaient encore petits, qu’ils aimaient être comme çà.
Je me souviens aussi d’une autre scène ou mon fils, Julien, qui ne devait pas avoir plus de trois ans, je le revoie encore tout nu, au beau milieu du séjour dans notre appartement, à Tremblay en France, accroupi et faisant ses besoins naturel, ma femme le regardait et elle trouvait que c’était comique.
Et des petites anecdotes comme çà, je pourrais en faire un roman, mais pour le moment ce n’est pas mon sujet principal. Mais à la différence de toutes ces personnes bien attentionnées, qui n’ont pas hésité à cracher leur venin sur mon dos en raconter un peu de tout et de n’importe quoi, moi, je livre ici, la vérité, ce livre n’est pas un règlement de compte, il est un passé bien réelle, un rappelle des faits, aux conséquences vital quand à l’avenir de mes trois enfants. Je savais ma femme extrêmement possessive avec nos enfants, mais je n’aurais jamais imaginer qu’elle aurait été aussi loin, dans le mensonge et la trahison pour en obtenir la garde, je ne me suis jamais permis d’utiliser les même armes qu’elle pour l’attaquer comme elle la fait, et pourtant, cela m’aurais bien servis pour mieux me défendre face à toutes ces accusations.

Mon fils, Alexandre, ma récemment demandé de lui acheté le Journal Intime d’Harry Potter afin qu’il puisse s’exprimé, se confié librement, et en toute confiance, sur le papier. Journal Intime, qui lui avait été promis part sa mère pour le Noël de l’année 2004, et qu’il na jamais eu. Malheureusement, je n’ai pas pu le trouvé, alors je lui es acheté un cahier d’école de ce qu’il y à de tout à fait ordinaire et je le lui ai donné. Ce qui suit a été écrit par mon fils, Alexandre :


* DIMANCHE 31 JUILLET 2005…

Bonjour papa chéri, c’est Alexandre. Comme tu ma dis que je pouvais me confié sur se cahier et bien je le fais. Parce que j’en ai marre de vivre sans toi ! Tu sais papa, moi je t’adore et je t’aime très fort. Et comme je sais que tu ne répètera pas mes secrets, je vais te dire, j’ai peur de maman, et surtout de ses réactions, car je ne peux pas parlé avec elle comme je parle avec toi. Toi, au moins tu m’écoute et tu partage mes idées toujours mes pensées. J’ai aussi très peur qu’elle m’engueule, parce que je ne suis pas d’accord avec elle. Aujourd’hui, je sais que maman n’arrête pas de mentir et que ça te fait beaucoup de peine. Tu sais papa, toute la famille de maman est contre toi et tout le monde dit des choses pas vraies sur toi. Je sais que tu na jamais fait ce que les autre racontent. Par exemple, être drogué tu ne la jamais été. Avoir des armes, je sais bien que tu ne les avais pas. Tout ce qu’ils disent sur toi papa, c’est faux, complètement faux. Je crois qu’ils sont tombés sur la tête. Et dire que tu as toujours été super gentil avec eux. Moi, je t’aime papa. J’ai envie de resté avec toi pour toujours. Toi, tu es mon vrai papa, je ne veux pas d’un autre papa… Je veux te garder pour moi. Je sais aussi que tu n’es pas un alcoolique, que tu ne bois pas. Que toi tu sais tenir une promesse. Tu sais papa, maman ne veut pas que je prenne mon téléphone portable, parce qu’elle ne veut pas que je te téléphone. Et puis tu sais, elle nous à même interdit à Julien, à Anaïs et à moi, de t’écrire. Maman à même jeter à la poubelle les enveloppes à ton adresse que tu nous avais envoyer pour que nous puissions t’écrire. Tu sais quand nous sommes parti en vacances début juillet avec toi, maman nous à dit, j’espère que votre père ne va pas vous faire garder par quelqu’un de sa famille pour aller travaillé ? Alors dis moi papa, pourquoi c’est tata Gorette qui nous garde quand maman travail ? Je ne comprends pas, c’est elle qui décide… Je te le dis papa, maman sait que nous t’aimons. Mais je crois que sa lui plait pas du tout ! Papa, s’il te plait, pense à nous, fais quelque chose pour nous. Je t’aime papa. Je t’aimerais toujours. Bisous, Alexandre.


* LUNDI 1er AOUT 2005…

Bonjour papa, c’est encore moi, Alexandre, je voulais te dire que maman te trompe avec le frère de notre voisin d’à côté, il s’appelle Fabrice. Je me demande ce que maman lui trouve ? Tu es plus beau que lui. Il vient très tard le soir à la maison, s’est quand maman nous a couché et puis il repart très tard dans la nuit, parfois, il fait presque jour. La nuit, quand ils sont dans la salle à manger, j’entends des bruits bizarres, sa ressembles à des bisous qui claque. Je le sais, parce que je fais semblent de dormir. Maman lui parle tout bas, et les bruits bizarres continus, sa n’arrête pas. Je t’aime papa. Quand j’ai dis à maman que je ne voulais pas qu’elle ait un nouveau petit copain, à mon avis elle na pas du comprendre. Pourtant quand elle nous la demander, nous lui avons tous les trois répondu que non ! Aide nous, papa. C’est dégelasse ce que fait maman avec Fabrice, nous on ne l’aime pas. C’est aussi dégelasse ce que les autres disent sur toi. C’est que des mensonges qu’ils disent sur mon père. Je te dis tout ça papa, perce que je sais que tu peux tout garder pour toi, que tu ne répète pas les secrets, tu n’es pas comme maman. Nous on peut comptés sur toi. Tu sais papa, maman à drôlement changer. Elle s’achète des vêtements et des chaussures, elle paye l’essence des autres avec les courses, et après maman na plus d’argent pour payer l’électricité de la maison à Massérac. Tata Jacqueline à dit à maman, je te préviens Elisabeth, si tu retournes avec lui, en parlant de toi, papa, et bien nous tu nous reverras plus ! Elle est méchante celle là. Tout le monde dit à maman ce qu’elle doit faire. Maman ne peut rien faire toute seule, ils lui disent de faire si, de faire sa et elle le fait. Tu sais papa, et bien maintenant, Fabrice, il mange tous les soirs à la maison avec nous à table. Il ramène de la nourriture de l’Hôpital. Et aussi Fabrice, il fait comme chez lui. Il va à droite, à gauche, il prend la télécommande de la télévision et il s’installe dans le canapé. Nous on ne peut rien faire. Alors je vais dans ma chambre pour être tranquille. Je vais encore te dire un secret papa, une nuit, Julien et Anaïs ont voulu rejoindre maman dans la salle à manger, mais Fabrice, comme toutes les nuits il était là, alors il leur à crier dessus en leur disant d’aller se coucher si non sa va barder ! Maman na rien dit. Pourtant, s’est pas notre papa, il n’a pas à nous commander. Notre papa c’est toi tout seul. Avec maman, ne s’est pas facile maintenant que tu n’ais plus avec nous. On ne l’aime pas ce mec. Et puis on s’ennuis à Massérac, on ne fait rien. Maman nous a dit, qu’il ne fallait croire que elle, pas toi. Mais j’ai beaucoup confiance en toi. Papa, fait moi plaisir, accepte moi dans ta maison pour toujours parce que je veux vivre avec toi. Je voudrais aussi que Julien et Anaïs vive avec nous chez toi. Tu veux bien papa ? Mais ne dis rien à maman. Le dernier jour que tata Gorette nous à garder et bien elle à crier sur Anaïs comme elle crie souvent sur maman et elle l’à frapper sur le front, parce qu’elle avait embêtée, Aurélie, et après, Anaïs à pleurer et bouder jusqu’au soir. Je t’aime papa, aide nous, Gros bisous. Tu sais, le plus important quand même, c’est que nous t’aimons tous les trois très fort. Alexandre.


* MARDI 2 AOUT 2005…

Je voulais te dire aussi papa, un grand merci, pour se beau voyage en Angleterre que tu nous à offert au mois de juillet (c’était trop court). Mais c’était super d’être ensemble, là bas, on s’est bien éclaté tous les quatre. On y retourne quand ? Ca change de Massérac. Il y en à marre d’aller chez tata Gorette ou chez tata Jacqueline, c’est toujours la même chose, j’ai voulu en parler avec maman, mais bon. Je t’aime papa. Ne m’oublie pas, bisous, Alexandre.


* MERCREDI 3 AOUT 2005…

Papa, je voulais te dire que je t’ai vu hier soir dans la nuit avec une photo de maman quand j’étais dans son ventre. Je peux même te dire que tu pleurais tout doucement sur canapé pour ne pas que l’on t’endente. Mais faut pas, papa, soit plus fort que les autres, ce pas logique. Il faudrait les torturés ceux là, moi, je t’aime papa, je ne veux pas que tu pleure. Tu sais, Fabrice, il a donné à maman un micro onde noirs, qui chauffe et qui fait four, le notre, je ne sais pas ou elle la mise. Tata Jacqueline, ferme toutes les portes à clefs quand on va chez elle, on ne doit touché à rien, et il faut que l’on jour dehors. Pourquoi, papa, quand c’est eux qui viennent à la maison, ils mettent le bordel et nous on se fait engueuler par maman, et on doit tout ranger. Une fois, sans le faire exprès, Julien à dit à Fabrice, la ferme ! Je te le dis mais ne le répète pas à maman. Tata Jacqueline nous à dit qu’on avait intérêt a écouté maman si non tonton Didier, viendrait à la maison pour nous donner la fessée. Les vacances passe trop vite avec toi, papa. C’était super aujourd’hui, dans les Marrais, même si, j’ai failli perdre une chaussure à cause de Julien, quand il ma poussé. Toute la famille de maman se moque de toi, pas maman. Sauf, qu’elle nous à dit que tu ne buvais pas d’alcool devant nous, mais derrière nous. Maman nous à dit que tu bois de l’alcool et les autres le disent aussi. Ils sont méchants, parce qu’ils inventent des histoires qui ne sont pas vraies, depuis que tu as dis à maman que tata Gorette et tata Jacqueline, arrêtent de me faire des réflexions, je n’en ai plus. Je voudrais que tu prennes une maison plus grande pour que nous habitions tous ensemble comme à Sainte Marie. Je veux vire avec toi ou avec toi et maman, mais sans les autres. Tout le monde ne veut pas que maman te parle. Bisous, papa. Alexandre.
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 22:09

Croyez vous que si je mettais réellement comporté d’une façon inappropriée, envers un seul de mes trois enfants, ou comme un barbare envers mon épouse, mon fils, Alexandre, m’aurait confié son petit cœur sur le papier.
Quoi qu’il en soit, les faits sont là, je n’ai jamais été accepté par la famille de mon épouse, jamais. Ce qui ne m’a pas empêcher d’être à chaque présent, quand les uns ou les autres ont eu besoin de moi. J’aurais tellement souhaité qu’Elisabeth, ma femme, ait eu ce courage de leur dire, c’est mon mari, c’est nos enfants, c’est ma famille, je vous demande de faire avec. Aujourd’hui, certaines images de moi, sorties volontairement de leur contexte, sont plus marqué que d’autres mais complètements fausses, et font vacillées les critiques à mon égard. Quoi que ma femme ait à me reprochée, j’ai toujours prit position pour elle, et ce, en tout lieu et en tout point, La simplicité toute simple peut elle être pardonner, je pense que oui.

Parce que les superlatifs sont usés jusqu’à la corde pour exprimé ce que peut représenté pour moi, toute ma petite famille, tout comme je suis prêts à pardonné l’infidélité de mon épouse, comme toutes ses fausses déclarations et accusations fait contre moi. Je mets ici en avant, toutes concessions et toutes conditions nécessaires à une vraie réconciliation.
Oui, j’ai le courage et d’avantage d’amour pour lui prouver qu’on ne peut pas détruire toute une famille avec trois enfants en bas âge, même en étant influençable et faible de caractère, on ne peut se laisser orienter et manipuler à ce point, sans se rendre compte, que quelque chose ne vas pas. Quand vas-tu ouvrir les yeux, Elisabeth ?

J’ai encore l’espoir d’une réelle confiance entre mon épouse et moi, parce que ma femme ne ma jamais dit, les yeux dans les yeux ; je ne t’aime plus. De notre amour est né une tel puissance de sentiments, c’est une régularité qui na d’égale qu’avec le temps qui passe, et ce temps, passe trop vite. Alors si une seule fois dans sa vie, ma femme pouvait m’écouté, c’est maintenant. Préparons ensembles et en famille des souvenirs pour l’avenir de nos enfants et pour leur enfants.

Je me demande s’il peut existé, une loi pacifiée du divorce qui serait née d’une séparation entre deux époux (pour une fois intelligent), parce qu’au-delà du divorce, nous sommes appelés à poursuivre notre rôle de parents auprès de nos enfants. Vendredi 26 Août 2005, je suis toujours en instance de divorce, mais j’espère et je le souhaite au nom de mes trois enfants, de ne pas aller jusqu’au bout. Parce que pour moi, cette procédure de divorce, ressemble plus à une machine qui détruit tout sur son passage, et ce, sans état d’âme, qu’elle ne sert à autre chose.

Dimanche 28 août 2005, je viens d’apprendre que ma fille, Anaïs, vient de se cassée la clavicule, en jouant avec son frère, Julien, dans le jardin, chez leur mère. Ma femme ma dit au téléphone, qu’elle ne pouvait pas être partout. Je la comprends, car sûrement trop occupée à faire des choses avec son amant, qu’elle ne peut bien évidemment pas prêté autant d’attention aux enfants et à lui en même temps. Et moi, je ne peux même pas être auprès de ma fille…
Mardi 30 août 2005, il c’est passé 48h00 depuis l’accident de ma fille, et ma femme ne ma donner aucune nouvelle depuis. J’ai laissé trois messages sur le portable de mon fils, Alexandre, restés sans réponses. Encore une fois, une mère, se disant être une mère de famille avant tout, et qui réagit comme çà, c’est inhumain et incompatible avec son rôle de mère.

Mon épouse ne mérite ni le piédestal sur lequel on la met ni la boue dans laquelle elle devrait être. Mais c’est une tendance que je considère comme bien réelle, car au-delà d’un certain aspect ( du côté humain ), cela donnerait à présenter des scènes du passé que je ne peux décrire sans être vraiment écoeuré et dégoûté de par ses actions du présent.
J’espère tout au moins, qu’un jour, elle s’intéressera de nouveau, au monde intérieur des pensées, des émotions, des désirs, et des souvenirs que peuvent avoir nos trois enfants. Ma femme trouve t elle une part d’inconscience dans les bras de son amant au point de ne plus s’occupé de nos enfants ?
Quoi qu’il en soit, aujourd’hui, je me retrouve mis à l’écart de la vie de mes trois enfants, amputé d’une partie de moi-même parce que ma femme en à décidé.


JE SUIS SEUL, SI SEUL, CONTRE TOUS…
*je ne suis pas un monstre

Pascal.
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