LES LARMES DU COEUR
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LES LARMES DU COEUR

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Pascal
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MessageSujet: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 23:03

Je voudrais que cette histoire, mon histoire, ne se répète jamais...


Je n’ai jamais bénéficié d’une quelconque présomption d’innocence…
Tout comme a aucun moment on ne m’a accordé le bénéfice du doute. J’étais l’homme, le mari, le père : Donc, forcément coupable !

Laissons tombés les masques.


C'est suite aux dernières menaces de mort que j'ai reçu le lundi 12 septembre 2005, que j'ai décidé d'écrire le prolongement de mon histoire de vie. Afin que celle-ci ne se reproduise jamais.

Que ma propre vie soit réellement en danger, ne m'inquiète pas plus que çà. Mais en revanche, je suis en droit d'en déduire que la vie de mes trois enfants, l'est aussi… Et ça, je ne peux ni l'admettre, ni le concevoir. S'en prendre à eux, serait beaucoup plus facile que de s'en prendre directement à moi. C'est pourquoi, je demande à ces personnes qui ont le courage de me menacé de mort, tout en prenant bien le soin de resté cacher, à bonne distance, sans doute, parce qu'ils sont francs comme des ânes qui reculs, de ne s'en prendre uniquement qu'à moi, et à moi seul.
Ce n'est aucunement la faute de mes trois enfants, si dévoilé certaines vérités qui ne sont pas bonnes à entendre, entache la réputation ainsi que la crédibilité plus que douteuse de certains.
Il fallait y penser à deux fois, avant de détruire avec une telle haine et sans la moindre compréhension, toute une famille entière, qui ne leur avait rien demandé. Il fallait aussi réfléchir aux conséquences et aux inévitables retombés, qu'un tel acte pouvait engendré.

Je ne suis pas un monstre… Laissons tombés les masques.


A, Alexandre, Julien et Anaïs, mes trois petits Anges...
Qui sont ce que j'ai de plus cher au monde.

Mille baisers et mille gros câlins, mes Amours.
Je vous aime gros comme çà !
Votre Papa, (le vrai).



Mes Parents ont été et le sont toujours, d'un secours inestimable, à tout niveau, m'aidant de toutes les façons et en touts points. Me couvrant d'attentions pour me détourner de mon triste sort, qui les affecte inévitablement. Mais leur plus beau cadeau, c'est leur confiance...
A aucun moment, mes Parents mon tourné le dos. Et çà, je ne pourrais jamais l'oublié. Jamais. Merci, à tous les deux.
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 23:05

Au delà de pouvoir exprimer ma douleur de père de famille, accusé injustement. Au delà de pouvoir exprimer ouvertement, ce que représente l'absence de mes trois enfants ; je veux, et je le souhaite en mon nom, en leur nom, et au nom de tout les enfants du monde, vivant ce même cauchemar, d'être obligé d'être séparé de leur papa, qu'ils aiment autant que leur maman, que l'on puisse avoir une plus grande prise de conscience, de ce que sont les accusations mensongères d'agressions sexuels, sur ses propres enfants. Ces accusations mensongères sont une arme redoutable et véritablement destructrice. Ils sont une arme de soupçon, qui ma montré du doigt, alors que je n'ai jamais rien fait contre mes trois amours. Ils sont une arme que l'on se sert par lâcheté, mais si facilement employée pour détourner et utiliser une Justice irresponsable, qui semble ne pas vouloir réagir à ce grave fléau de notre vie quotidienne, de notre Société.
Je garde dans mon coeur une trace indélébile de ces accusations monstrueuse, qui ont détruits pour toujours une partie de moi.
Personne, non personne, ne peut ressentir ce que je ressens.
Je voudrais de nouveau avoir la force, pour pouvoir vous donner un aperçu de ce que peuvent être, les conséquences direct et indirect, de ces accusations mensongères d'agressions sexuels sur enfants de moins de quinze ans par ascendant. De ce que peuvent être les conséquences d'une accusatrice, d'une garce, pour que je ne puisse jamais revoir et profiter pleinement de l'épanouissement de mes trois enfants. De ce que peuvent être les conséquences de la lenteur et parfois du laxisme de certains et de certaines personnes de notre institution : JUSTICE.

Ces conséquences sont effroyables pour ceux qui les subissent, moi, et notamment mes trois enfants, innocents et victimes d'un acharnement.
Toutes ses accusations sont gratuites, et les conséquences judiciaires et sociales sont pour la quasi totalités ; la destruction toute aussi gratuite de votre vie. Une destruction à laquelle contribue par bien des façons une Justice inadaptée, et pourtant, si partiale à ce schéma des accusations mensongères d'agressions sexuels.
Ces mères... ???
Qui n'en sont plus vraiment... Ne risquent vraiment pas grand chose en portant de telles accusations. Je me demande bien, quand nos hommes politiques daigneront t ilss agir contre ce genre de procédé ?
Afin de punir sévèrement toutes ses femmes qui se frottent les mains, parce qu'elles gagnent à tous les coups.
Si seulement, les politiques actuels, si réformateurs, assumaient toutes leurs responsabilités, s'ils adaptaient les procédures, et si surtout, ils modifiaient les peines encourues, l'Etat, pourrait se vanter d'avoir des résultats probants pour la sécurité familiale, infantile et paternelle.
Les accusations d’agressions sexuelles sur les enfants en bas âge, devront-elles encore demeurer l’Arme absolue pour éliminer un père et se venger d’un mari lors des procédures de divorce ?
Notre Justice, (en espérant qu’elle ne soit plus à deux vitesses), doit aussi s’adapter aux évolutions de notre Société. Notre Justice, doit fortement sanctionner ces mères, COUPABLES : d’utilisées cette Arme du soupçon !
Ces mères... ??? Prendraient alors vraiment conscience, des vrais risques qu'elles encourraient. Face à de tel comportement, il n'y à aucune excuse à avoir. Aucune.

Je pense chaque jour, inlassablement à mes trois enfants. Ils sont présents à chaque instant, autour de moi, partout dans ma vie. Ma femme, Elisabeth, se rend-t-elle compte du mal qu'elle nous à faits et continue à nous faire subir, à nos trois enfants, et à moi ?
Simplement, parce qu'elle à toujours été manipuler, orienter, influencer par sa famille, et son amie, Anne. Aujourd'hui, je suis bien décidé à me battre réellement, pour mes trois enfants, que j'aime, que je n'abandonnerais, jamais. Mais aussi, pour mon honneur de papa, et ce, malgré les turpitudes organisées par tous les proches de mon épouse. C'est l'immense grandeur de mon amour paternel qui fera ma force. Mais en attendant, personne, ne pourra réparé les dégâts, causés par ces accusations mensongères. Personne.

Ecrire, ce n'est pas seulement tracer des lettres et des mots, il s'agit de bien autre chose, et de bien plus important que de faire glisser un crayon sur une feuille de papier, en tous cas, pour moi, il s'agit avant tout, d'évacuer ce trop plein d'Intox, en instaurant la Vérité, parce qu'encore une fois, je n'ai absolument rien à gagner à vouloir travestir la Vérité, sur des faits bien réelles, sur des événements que j'ai vécus, sur une histoire, notre histoire.

Bizarrement, je tire un certain enseignement de cette fracture de ma vie ; j'aurais dû me méfier de toutes ces belles paroles de ma femme, qui m'ont séduits dès la première seconde. Une femme qui ose laisser son coeur s'ouvrir comme une fleur sous la caresse d'un soleil d'hiver, ne pouvait vraisemblablement pas être aussi sincère que mes propres sentiments. Voulait-elle, simplement sortir au plus vite, d'un carcan familial trop pesant, trop étouffant ? Moi, je croyais dur comme fer, que notre histoire d'amour, durerait toujours et serait pour l'éternité un exemple pour toutes les mamans et touts les papas du monde.
Je ne sais toujours pas, ce qui s'est vraiment passé entre nous, pour en arriver là, ou nous en sommes, je le dis et l'affirme bien haut, même si cela dérange certaines personnes (toujours les mêmes d'ailleurs), cette situation ne nous ressemble pas. Mais entre rêve et réalité, une infime frontière nous sépare d'un amour absolu mais vaincu.

Je ne suis pas un monstre, Elisabeth.
Je suis le père de tes enfants, de nos enfants.
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 23:07

IMAGINER UNE SECONDE :

Vous rentrez un soir à la maison, croyant retrouver toute votre petite famille. Votre femme et vos enfants ne sont plus là, les heures passent, ils ne rentreront jamais.
L'angoisse et le doute vous remplit. La peur vous gagne. Vous venez de tout perdre (suite à une dispute que vous avez eue avec votre épouse, quelques heures plutôt ? Et pour le simple motif ; d'avoir prit sa défense), mais vous ne le savez pas encore. Ceci, est le schéma du début de ce cauchemar que je vie depuis plus de 32 mois.

Laissons tombés les masques.
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 23:09

RAPPEL DES FAITS :

Suite au départ précipité et définitif d'Elisabeth, ma femme, le samedi 7 août 2004, mon épouse, son amie Anne, et toute sa famille, se sont évertuées à amplifier et à caricaturer bon nombre d'événements, et parfois même à en inventer. Tout en superposant un combat supplémentaire à notre instance de divorce, ce qui n'étais absolument pas nécessaire de faire. Et ce, dans un seul et unique but ; exacerbé les sentiments, aiguisé la haine et alimenté les rancoeurs. Unissant toutes leur énergies et toutes leur forces pour s'engager dans un véritable jeu de massacre, contre moi, au mépris du regard de nos trois enfants ; je n'ai même pas eu le temps de déposé une main courante pour abandon du domicile conjugal, car juste avant de le faire, j'ai été arrêté comme un véritable criminel par les Gendarmes de Redon. Arriver menotter et sous bonne escorte, à la Gendarmerie, commencera pour moi, une garde à vue de 48 heures et la machine judiciaire s'est mise en marche comme un rouleau compresseur, qui en très peu de temps à détruit ma vie, et celle de toute ma petite famille. Après, presque 18 ans de vie commune. Ma femme, et tout ses proches, ont tentés par touts les moyens de me présenter comme un mari violent, drogué, et alcoolique. Comme un père qui ne s'est jamais occuper et intéresser à ses enfants (aujourd'hui, si l'on s'en tient à ce que dise ces même acteurs, ils laissent prétendre le contraire, surtout, ma femme), autoritaire, avec des tendances pervers, et laissant supposés par certaines dépositions, faites spontanément devant les Gendarmes de Redon, que j'étais aussi un trafiquant d'armes et de stupéfiants. Je passe sur les accusations de tentative de meurtre, de menace de mort, de folie, de viol avec arme sur mon épouse, etc...
Ce qui a d'ailleurs permit à d'autres personnes, de soutenir la thèse, qu'il n'y avait pas de fumée sans feu. Ce n’était déjà pas si mal, autant d'accusations gratuites contre un seul homme, mais le pire restait à venir.

Etre une femme, une mère de famille avant tout... ??? Et se servir d'une accusation aussi horrible que d'agressions sexuels sur enfant de moins de quinze ans par ascendant, pour empêcher un père de famille, à qui se rôle lui tenait très à coeur, de voir ses propres enfants est un acte abominable, pour ne pas dire :
DEGUEULASSE !

Cependant, ce phénomène de mode, enfle de mois en mois et ce procédé plus que scandaleux, fonctionne, à l'égard de Juges de plus en plus frileux, qui n'hésite pas à ouvrir leur parapluie en prenant certaines mesures, mesures toujours à l'encontre des pères. Juste une question par dessus mon épaule ; pourquoi, fait-on d'avantage confiance à une mère et si peu à un père de famille qui n'a d’aucune manière faillit à ses devoirs, sinon, jamais ?
Par la suite, tout le monde a fait obstruction à l'exercice de mes droits parentaux. Tout le monde a fait barrage pour que je ne puisse plus du tout communiquer avec mes trois enfants, et ce, malgré l'envoie de ma part (par Chrono Poste) d’un téléphone portable afin de pouvoir entrée en communication avec mes enfants, à l'Association SOS Femmes, à Nantes, ou j'apprenais par la procédure de demande en divorce pour faute que mon épouse avait faite, qu'elle y était domiciliée. Alors que je n'ai jamais conçu ma vie, sans eux. Je suis resté sans aucune nouvelle de mes trois enfants pendant plus de deux mois et demi, et croyez moi, c’est bien pire qu’une torture physique.

Ce n'est qu'à partir du samedi 27 novembre 2004 que j'ai pu à nouveau revoir mes trois enfants, (une heure de visite, tout les quinze jours, pendant plusieurs mois, au Point Rencontre UDAF 44, à Nantes). Tout, ou en partie, n'est que le résultat d'un sac de noeud complexe, de conflits familiaux, d'hypocrisie, de jalousie et d'impuissance totale au manque de sincérité et de maturité des uns et des autres. D'ailleurs, Madame, ..., chargée de l'Enquête Sociale et ayant pour objet l'Exercice des Droits Parentaux, ordonnée le 11 octobre 2004 par le Juge aux Affaires Familiales du Tribunal de Nantes, mandatée le samedi 20 novembre 2004, concluait son rapport comme suit ; il est probable que Madame Dague Elisabeth, se trouve sous l'influence de son entourage...

Il m'a fallu des mois pour comprendre ce qui m'arrivait, que tout cela était bien réel, que ma propre femme, la mère de mes trois enfants, m'avait à ce point, trahit, salis et humilié.
Quoi qu'il en soit, je pense que toute vie, quelle qu'elle soit, possède un cursus avec ses périodes d'exaltations et des périodes sans relief, tout comme mon histoire ne méritait pas d'aller aussi loin avec des choses aussi graves. Qui n'a pas vu des familles se déchirer à la suite de révélations contestées par certains proches, agrémentées d'erreurs d'interprétations ou tout simplement de mensonges (la preuve en est, que je suis bien placé pour le savoir, et cette place n'est pas faite pour me plaire). Il est difficile pour certaines personnes d'évoquer certains faits et événements, sans être tenté de les arranger, de les falsifier, ou de les taire.
Les proches et toute la famille de mon épouse sont très fort dans ce domaine, vous pouvez leur faire confiance les yeux fermés. Ne leur parler jamais d’amour, ils sont incapables de comprendre la signification de ce mot. Ils n’ont jamais su ce que voulaient réellement dire : aimer et d’être fidèle à son conjoint.


Que ce que j'ai vécu, et enduré dans le silence, l'isolement et l'amertume, simplement parce que çà ne fait pas très sérieux un homme qui pleure en public ; n'arrive plus jamais. Personne ne devrait pouvoir se statuer au dessus de la loi, pas même une femme.

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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 23:10

AUJOURD’HUI :

Dans mon nouveau (chez moi) à Redon, j'ai consacré une pièce entière à mes trois enfants, ou je regroupe les quelques souvenirs qu'il me reste d'eux, leurs photos, les cadeaux que je leur ai achetés pour leurs anniversaires et leurs Noël.
De telle sorte qu'ils soient toujours présents avec moi, que je ne puisse faire un pas, sans avoir une pensée pour eux. Tous les soirs avant de me coucher en regardant une photo vieillissante de mes trois enfants, je leur souhaite une bonne nuit avec des rêves tout en couleurs. Chaque jour, je me bats sans relâche contre moi-même, pour ne pas baisser les bras. Et dans l'attente de pouvoir les retrouver en toute Liberté.
Je continue à les aimer, encore, encore, et encore, comme je les ai toujours aimés. Mais comment pourrais-je compenser les moments définitivement perdus que nous n'aurons pas vécus ensemble ?

Il était devenu urgent que je retrouve des relations normales avec mes trois petits Anges, relations dont j'ai et ma femme le sait très bien, été injustement privé. Et comme si tout cela ne suffisait pas, Elisabeth, na même pas le respect d'attendre que nous soyons officiellement divorcer, pour s'afficher partout avec Fabrice, son amant, accepter par toute sa famille mais rejeter par nos trois enfants, (ils refuses cette liaison extraconjugale, mais ma femme les oblige à se soumettre à cet inconnu).
Aujourd'hui ; quand je voie mes trois enfants (avec un droit de garde, normal), j'essaye de dissimuler mon émotion pour qu'ils ne puissent pas trop ressentir la douleur de notre séparation. Je compense tant bien que mal, leurs désirs, leurs envies, par des moments d'une telle intensité, que ma propre vie ne dépend plus que d'eux.
En toute sincérité, je n'imaginais pas que l'on puisse répandre autant de mal et faire autant de dégâts avec autant d'en train et le sourire aux lèvres. Que l'on puisse être traqué implacablement, avec autant de mauvaise foi et tout autant de cupidité.

Pourrais-je un jour, m'extraire des griffes de ces personnes plus proches de bêtes sanguinaires, que d'êtres humains ?
Et pourtant ; c'est dans le dénuement le plus total, que je leur tourne le dos, comme si je ne savais pas, qu'à la moindre occasion, ils en profiteront pour me poignarder, mais toujours dans le dos. Comme je les comprends, on ne change pas du jour au lendemain, ses habitudes.
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 23:13

Parents, Amis, Gendarmes, Juges et Avocats.
Tous, sans exception, n'arrêtent pas de me dire, qu'un homme ne doit ni penser ni se battre comme je le fais, pour sauvé sa petite famille, au risque d'être prit pour un dingue aux yeux de la Justice. Pourtant, toutes et tous, sont pour la plupart d'entre eux, mariés et sont comme moi, mère ou père de famille. A les entendrent parler, tout le monde me comprend, mais personne ne perçoit la même conception d'une famille comme je la ressens et l'assume.
C'est à croire, que je suis le seul homme sur terre à s'enquérir d'une trop grande valeur familiale, qui n'existe plus de nos jours. On me répète sans cesse qu'un homme ne doit jamais avouer qu'il souffre ou qu'il n'accepte pas le déchirement d'une séparation, aussi brutale que la mienne. Même si, j'ai si mal à en crever…
Devrais-je pour autant, rester stoïque, me drapant d'amour propre, après avoir subis tant d'humiliations ? Après avoir été accusé des pires atrocités ? Après avoir été traité comme un véritable criminel ? Après en avoir bavé comme un chien.
Devrais-je accepter le fait qu'en plus de tout çà, ma femme, partage l'essentiel de toutes nos convictions familiales avec Fabrice, son amant, alors que nous ne sommes même pas divorcer ?
Je me pose forcément la question : Que feraient toutes ces personnes, si un jour toute leur vie basculait dans le vide comme la mienne et de la même façons, que feraient toutes ces personnes face à ma situation ? Je ne leur souhaite pas ce que j'ai vécu, mais je voudrais pouvoir observer rien qu'une seconde le comportement de toutes ces personnes, ayants tout perdu. Je suis vraiment curieux de savoir de quelle manière, toutes ces personnes réagiraient et en parleraient.

Pourquoi, serrais-je obligé de jouer l'indifférence, puisque c'est tout le contraire que je ressens ? Je me repasse dans ma tête, les souvenirs des bons moments partagés en famille, les fêtes à n'en plus finir, la force du lien qui nous unissaient, d'hier, et les scènes de cauchemars d'aujourd'hui, je me planque pour chialer comme un môme pour ne pas gêner mon entourage, je supplie ma femme (qui bien évidemment, ne m'entend pas), de nous donner notre chance. Pourquoi, pourquoi faire souffrir d'avantage nos trois enfants, alors qu'ils nous ont apportés la joie d'être à notre tour Parents, et le bonheur en abondance ?

Je me réveille toujours trois ou quatre fois par nuit, en sursaut, ce n'est qu'à coup de somnifères et de consultations chez le Psy que je trouve un sommeil un peu plus paisible, mais je craque régulièrement dès que mon esprit s'ouvre au regard de mes trois enfants. Je ne compte plus ces occasions qui surviennent à tout moment de la journée ou de la nuit ; une lame de fond me traverse de part en part, provoquant l’hémorragie d'un coeur tombé dans l'abandon.

Si j'aborde cette seconde partie de mon histoire de vie, sous un angle différent de la première, c'est que je souhaite sincèrement, qu’à travers ce livre, je puisse parler d'Elisabeth et de moi, dans ce qu'il y à d'essentiel et d'invisible, et pourtant de si palpable entre nous deux. Parce que ma femme, na pas toujours été ce qu'elle veut bien paraître, aujourd'hui.
Je sais très bien qu'on là pousser à faire et à dire certaines choses, qu'elle n'aurait jamais faites toute seule. Je l'aime, autant que je la hais pour ce qu'elle ma fait subir et continue à me faire subir. Je voudrais dire au monde entier, que même après être passer par où je suis passé. Après avoir encaisser bon nombre de coups que je n'ai jamais voulu rendre, parce que cela n'est pas dans ma nature. Mais aussi, parce que ma femme, la mère de nos trois enfants, est ce que j’ai de plus pure et de plus doux dans ma vie. Si vous l’aviez connue, vous comprendriez peut-être mieux, la façon don je parle de mon épouse. Je serais bien incapable de trouver autre chose que de l'amour, pour convaincre celle qui ne veut pas l'être.
J'accorderais à ma femme, et ce, quoi qu'il m'en coûte, n'importe quelle circonstance atténuante, pour sauver notre petite famille. Oui, je l'espère encore, je l'espère toujours…

Je suis prêts à oublier, et même à pardonner, ce que n'importe quelle personne censée, ne ferais sûrement pas. Je sais que ma femme croit que je veux la faire passer pour une salope, (c’est ce qu’elle dit et répand tout autour d’elle), et lui donner tout les torts. Ce n'est ni mes intentions, ni ma façons de penser et encore moins ma façon d’aimer. Je n'ai jamais rien fait contre elle, j'aurais pu le faire sur les conseils de mes Avocats, mais là encore, je me suis opposé, parce que je n'ai jamais voulu lui faire de mal. Ce que je regrette vraiment, c’est qu’elle n’est jamais comprit le message que j’ai toujours voulu lui faire passer, et plus je suis sincère et entier, envers ma femme, et moins elle me croit, je vie réellement la séparation d'avec mon épouse comme un véritable deuil. Je suis devenu un peu comme ces animaux sauvages, blessé par la vie, écorché par les sentiments, et qui se cache pour se laisser mourir.

Si mes mots cachent souvent des sommes de souffrances, de doutes et d'inquiétudes, c'est le silence prolongé et répété, et les sous entendus mielleux d'Elisabeth, qui donne force et orientation à l'image, qu'elle veut bien faire interpréter à l'échec de notre vie de couple. Alors que notre amour, pouvait déplacer des montagnes.

Certains événements d'une vie comme la naissance de nos trois enfants, sont extraordinaires, merveilleux ou tout simplement magiques. Ils nous font rêver, ils nous font vibrer comme le premier jour ou nous devenons Mari et Femme... Ils nous transportent au delà de toutes espérances. D'autres, le sont beaucoup moins, et ont l'étrange faculté de pouvoir craché à plein poumons ; l'amour que cultive la haine. Ils possèdent ce pouvoir de transformer toute une vie en un véritable cauchemar perpétuelle. Certains faits, comme certaines paroles, resterons à jamais gravés dans ma mémoire, tout comme je ne pourrais jamais oublié, que la vraie nature de l'espèce humaine, n'est pas de vous tendre la main.

L'état amoureux dans lequel je suis depuis tant d'années, na pas prit une ride. Il est dirigé vers une seule et unique personne ; toi, ma femme, Elisabeth.

Ce que je ressens pour mon épouse, c'est un sentiment extrêmement profond et de si pure, qu'il en devient complexe, voir insupportable à vivre. Il mêle des composantes érotique, émotionnelle et comportementale très difficile, sinon impossible à séparer les unes des autres. J'ai tout essayé pour l’oublier, mais je n'y suis jamais parvenu. Cette femme, la mère de mes trois enfants, qui utilise sans se soucier des conséquences de ses actes, toutes sortent de vacheries et de subtilités malicieuses pour me détruire complètement, je l'ai dans la peau, je l'ai dans le coeur.
L'émotion toute simple et seule, ne suffit pas à savoir autour de quel premier fil s'est tisser ce sentiment d'aimer, qui me fait autant souffrir et par la même occasion sourire les gens. Je ne fais pourtant rien, pour maintenir en éveille cet état amoureux que je définirais comme une dépendance de n'importe quel drogue, mais celui-ci, s'est installé de lui même et bien décidé à ne plus me quitter. Cette émotion, est suivie du désir du fantôme de ma femme, parce qu'elle s'associe à ce plaisir, déclencheur de ce processus de conquête permanente qui me hante, laissant planer une étrange atmosphère au dessus de ma tête. Croyez moi, il n'est pas si facile de dire ; je t'aime...
A condition de ne jamais tricher avec les sentiments, et de respecter ce que l'autre représente de si précieux pour vous. A condition de ne jamais sous estimer l'importance du fait, que vous ne pourrez jamais vraiment connaître votre douce moitié. Qu'on ne s'y trompe pas, cette quête permanente de l'autre, de cet état amoureux, n'exclut ni l'amour fou, ni les coups de foudre.
Pour ma part, je pense que la sublimation amoureuse d'une femme, d'un homme, et ce, dans n'importe quel contexte, est en partie sélectionné par l'évolution des sens et de se que chacun d'entre eux, éprouve sur le moment, et non sur la durer. J'ai toujours aimé ma femme, de façon fusionnelle. J'ai toujours aimer ma femme, un peu plus chaque jour et d'avantage encore, et lorsque je voyais pétiller ses yeux ; je ne savais plus ou me mettre.

Le paradoxe de notre amour, ce sentiment étrange auquel j'ai cru si fort, au point de lui faire confiance et de fondé ma propre petite famille, composée de trois magnifiques petits Anges, et pour lequel j'ai vécu passionnément, auprès de mon épouse durant presque 18 ans, et qui partage encore quelques fois, toutes mes plus belles et tendres pensées, lorsque je voie mes trois enfants, m'effraie et me donne la chair de poule.
J'interprète sûrement à ma manière, mais ce qui ne change en rien à la réalité des faits, la véritable identité qui se cache souvent derrière la sincérité de ces mots, de ces phrases, que l'on prononce lorsque l'on fait semblant d'aimer. Je suis bien celui que l'on à jeter comme un klinex, après usage !
Depuis, il m'arrive de pénétré accidentellement dans cet univers parallèle que représentait le bonheur de toute ma petite famille, et dans ces moments là, je me dis, avec force et conviction, que ma femme à inévitablement manquer de courage et de persévérance, elle aurait dû, parce qu'elle le pouvait, se retenir d'écouter et d'appliquer ce que sa soeur, Jacqueline, son amie, Anne, et toute sa famille lui ont conseiller de faire, et don la manière me dégoûte. Ma femme, regrettera-t-elle un jour, d'avoir tout foutu en l'air, tout en jetant aux oubliettes nos longues années de vie commune ?
J'ignore sincèrement, si je serais capable à nouveau d'aimer une femme comme j'aime mon épouse.
Aurais-je vraiment confiance en elle ? Comment serais-je sûr de connaître ce qu'elle éprouvera et ressentira pour moi ? Aurais-je la force d'oublier, d'oublier la violence destructrice avec laquelle l'amour, s'est servi contre moi, pour n'être plus digne d'être un père de famille, s'investissant quotidiennement auprès de ses trois enfants, pour n'être plus digne d'être un mari, aimant et attentionné ?
En admettant que je puisse sans me voilé le visage, passé avec succès toutes ces étapes qui me paraissent dans l'instant, inconcevable, comment pourrais-je me permettre de faire l'amour, avec une autre femme que mon épouse, sans me sentir coupable, sans avoir les sentiments d'humilié et de trompé, mon épouse ? J'ai bien conscience qu’Elisabeth ne s'en prive pas, puisqu'elle en a le courage et cette terrible envie de le faire, avec Fabrice, son amant, moi, pas.

Pouvez vous comprendre, pouvez ressentir ma façon d'aimer ? Je ne veux pas vous donner l'impression d'être assis, sur la branche d'un arbre que l'on scie, mais je crois que je mourrais avec ce traumatisme récurrent.
Mes craintes, mes doutes, mes peurs, font désormais partis de ma vie quotidienne. Je n'ai plus les mêmes désirs, je n'ai plus les mêmes envies, qu'avant. Tout, ou en partie, m'indiffère totalement, et il m'arrive de temps en temps de rejeter le contact humain. Vous pourriez appelez mon histoire, providence ou destin, mais je n'ai aucune réponse sur ce qui pourrait faire changer, le court des choses et le court du temps, afin que notre histoire, puisse reprendre sa direction initiale. Ce que je sais, pour l'avoir subis à tort, c'est que la Justice et les personnes chargées de la faire appliquer, ne mon fait aucun cadeau, aucun. J'ai été pourchassés jusqu'à l'écoeurement, et j'ai récemment demander à mon épouse, si elle pouvait encore se regarder dans une glace, elle ma répondu d'un air désinvolte, que oui, et qu'elle se trouvait très belle !
Malgré mes soupçons, c'est à ce moment là, que j'ai découvert le double visage de l'amour, que j'ai vraiment découvert la double personnalité de mon épouse, j'ai enfin, ouvert les yeux... Mais la lumière s'est éteinte.

J'avoue attendre avec beaucoup d'impatience, un coup de théâtre, qui remettrait en cause et au grand jour, ce que tout le monde pensait avoir comprit, ce que tout le monde pensait être vrais. Car mise à part mes Parents et mes Avocats, je peux compter sur les doigts d'une seule main, les personnes qui m'ont cru. Parce que prit au piège d'un plan diaboliquement mis au point par tout les proches de ma femme, je pensais réellement que je passerais un certain nombre d'années en Prison. L'enquête policière qui tournait à la tragédie, dirigé par de fausses accusations, les rumeurs qui m'accablaient et les témoignages monstrueux de ma belle famille qui chapotait le tout, on faits, que j'étais le coupable idéal, même si tous, savait que j'étais innocent.
Mais je ne suis pas un simple d'esprit à la beauté du diable, et je n'ai pas eu les mêmes goûts que ces Prostituées du Moyen Age, de ces Bouffons ou des Sans Culottes, portants le costumes à rayures comme une malédiction.

Je n'ai jamais volontairement formulé clairement mes doutes, tellement il me paraissait improbable qu'Elisabeth (endoctriner, diriger, influencer), puisse faire ce qu'elle a fait, tout en sacrifiant sûr l'hôtel de la honte, ce que nous avions de plus cher au monde (toutes nos valeurs familiales). Ma femme, s'est admirablement servi de moi pour arriver à ses fins, elle à su m'endormir pour mieux me manipuler comme toute sa famille là toujours fait avec elle, et nos sentiments ont pris une ampleur imprévue et dramatique, ou tous les coups sont permis (l'élève, est au même niveau que ses maîtres). Je peux lui faire confiance pour user de toutes ses ressources de son temps et de son tempérament de glace, pour essayer de m'effacer du coeur de nos trois enfants.
Même si les larmes menacent mes yeux, même si parfois j'ai l'espoir en berne et les rêves en cavales. Je souhaite que vous sachiez qu'il fût un temps, qui n'est d'ailleurs pas si loin que çà, ou nous étions ma femme et moi, jeunes, beaux et follement amoureux, l'un de l'autre.
Complice, jusqu'au bout des ailes de nos vies, un seul regard suffisait pour nous comprendre. Nous n'avions pas besoin de se parler pour savoir ce que l'autre désirait, on le savait. Nous étions toujours prêts et fermement décidé à partager, à échanger, à se donner le meilleur de nous mêmes. Que dire d'autre, que quoi que nous fessions, on se complémentait tout naturellement.

Elisabeth et moi, (c’est de l’amour à l’état pur, aussi pur que cette eau qui coule le long de nos montagnes afin de nourrir, afin de donner la force nécessaire à nos enfants, pour grandir en toute harmonie auprès de leur deux Parents).
Elisabeth et moi, nous ne formions qu'une seule et unique personne. Mais notre sulfureuse et torride histoire d'amour, dérangeait déjà, ces mêmes personnes qui, pratiquement 18 ans plus tard, se réjouiraient avec des caractères trempés d'hypocrisie de l'avoir détruite.
Nous deux, c'est une histoire d'amour inoubliable, comme je voudrais qu’il en existe par milliers.

Nous deux, c'est une quête au bout de l'enfer !
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Pascal
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 23:17

FLASH BACK :

Je lui en veux tellement de rappeler à mon corps, voué à l'abstinence que le désir existe encore, que cette envie se réveille dès que sa voix résonne... Ou dès que son visage m'apparaît.
Les nuits blanches, les petits matins de déprime, les ordonnances à rallonges, la dépression qui me ronge de l'intérieur. Tout est de sa faute.
Allongé sur mon lit, je plonge la tête dans l'oreiller, paupières soudées. Implorant je ne sais qui, je ne sais quoi, de venir à mon secours.
Je dérive, je divague.
Elle ose de sa voix, elle me dit ; « - je t'aime ! »
Ma femme s'obstine, je soupire. Je n'ai pourtant pas l'impression d'exagérer ou d'inventer ce que je dis. Mais je pari qu'elle se tient aux côtés de Fabrice, son amant. J'imagine ses mains enveloppent les petits seins parfaits de ma femme, et caressant son corps doux comme le miel. J'imagine ses lèvres sur son cou, sur son ventre. La chaleur du regard de mon épouse, rivé au sien, abattant toutes ses barrières, celles inculquées par sa soit disante bonne éducation, mais cette dernière justement, lui aurait-elle interdit de coucher dès le premier soir ? L'inciterait-elle à désirer un mariage en blanc ?

Si pour une fois, ma femme pouvait m'écouté comme elle à su écouté, tout ceux qui l'on pousser à faire et à dire (l'irréparable). Elle se ressaisirait et stopperait cette relation avec son amant, elle réussirait à faire taire ceux qui lui disent de ne pas me parler, ma femme, se jetterait sur le téléphone pour me dire :
« - Pascal, c'est moi, Elisabeth. Je te propose d'oublié le passer, de repartir de zéro et sur de nouvelles bases. Bâtissons notre avenir sur la durer... Sauvons sans plus attendre notre petite famille ».
Je serais l’homme le plus heureux du monde, imaginez vous, que nous, nous retrouvions ma femme et moi, auprès de nos trois enfants, auprès de notre petite famille, ce serait vraiment le plus beau et le plus merveilleux cadeau que la vie puisse nous faire. Mais sa main, reste prisonnière de celle de son amant.

Je pensais sincèrement, que nos trois enfants, étaient le fruit (mur) de notre amour, la preuve vivante de notre pouvoir d'aimer.
Je pensais réellement, que nos trois enfants, étaient le prolongement de notre amour, et l'unique raison de construire, de structurer leur environnement social et familial. Et tout ceci, afin de développer leur avenir dans les meilleures conditions possibles. Tout comme j'étais persuader, que l'image charnelle de ma femme, représenterait pour tous les trois, le symbole d'un amour impérissable.

Quand à moi, qui suis le père, le seul, le vrai papa de nos trois enfants, je suis heureux de savoir que malgré la présence quotidienne de Fabrice, l'amant de ma femme, dans leur maison à Massérac.
Nos trois enfants possèderont pour l'éternité ; par la transmission des gênes paternels, propriété la plus intime et inaliénable, dépositaire de mes particularités physiques, de mes traits, de mon potentiel intellectuel, de mon caractère et de tout ce qui est le plus authentique de moi. Est-ce pour autant une revanche sur l'infidélité ? Je crois bien que non.
Mais ce que je sais par contre, c'est que le déroulement de toute notre histoire, est une épreuve qui n'épargnera, personne. Et çà, je le regrette amèrement. Parce que nos enfants, n'ont pas demandés à venir au monde. Parce que enfants, ne méritent pas çà. Je pense que pour une fois, ma femme sera d'accord avec moi. Du moins, je l'espère.

Au-delà de l’aspect juridique et sous humain, la complexité et l’horreur de notre histoire, n’est pas fait pour être partager avec le regard de nos trois enfants, et parce qu’avec l’esprit conflictuel de notre procédure de divorce, auquel des règles précises s’imposaient pour nos torts (de l’un et de l’autre), tout en mettant de côtés, toutes les fausses accusations contre moi, n’ont pas été respectées, et bien plus que çà encore, ces règles ont été volontairement occultées, alors qu’elles auraient pourtant bien permit d’accéder à l’apaisement de certains esprits, chauffer à blanc. Poussant mon épouse en première ligne et la mettant dans une position d’attaque contre moi, ce qui est loin de venir de sa propre initiative.
De plus, ses agissements, ses comportements, sont vraiment très loin de sa personnalité. Je rajouterais même, que l’importance de nos débats, tel un huit clos se devait de devenir l’acte exceptionnel, à notre droit à notre réconciliation, mais personne nous à aider ou orienter dans ce sens, bien au contraire, ce droit nous a été refusé, ce droit nous a été volé.
La teneur de mes propos, serait la meilleure cure contre l’arbitraire de certains Juges, l’incompétence et le parasitisme de certains auxiliaires de Justice et encore, l’irresponsabilité de certains divorçant (tel que nous), irresponsabilité à dissuader. Je souhaite que l’on face en sorte de ne pas avoir le droit de divorcé, lorsqu’un couple à un ou des enfants en bas âge. L’exemple que je donne, n’est pas plus stupide, que cette loi qui interdit le divorce et qui impose le maintien à la vie commune d’un homme marié avec une femme handicapé, et dans ce cas, je pense que le Législateur ferait œuvre courageuse en responsabilisant de ce fait, les deux époux, comme par ailleurs, en leur infligeant la menace d’une publicité de leurs comportements et errements.
Ma rédaction est peut-être fort confuse, quand au nombre de couple auquel il faudrait quel s’applique, mais elle à le mérite de protéger clairement le quotidien de nos enfants.
Si j’en crois la responsabilité, d’une femme, d’un homme, lorsque tout deux décident de se mariés et de fonder leur propre famille, les enfants qui naissent de leur union, ne sont ni des jouets, ni des objets qu’on manipule à sa guise et sans la moindre précaution. De plus, nos enfants, n’appartiennent ni plus ni moins, à l’un ou à l’autre des deux parents. Un enfant, c’est une vie à part entière. Un enfant, c’est un futur que personne na le droit de détruire. A chaque problème sa solution, et le divorce n’en est pas une, surtout, dans de telles conditions, qui sont les nôtres. Je souhaite vraiment que toute ma rédaction ou du moins en parti, face l’objet d’une validation en Conseil d’Etat. L’incohérence de toutes ces procédures de divorce, et peu importe à qui est la faute, sont toutes essentiellement faites dans un but précis ; la rupture définitive du lien conjugal et familial.

On en oublie trop souvent la souffrance et le droit de nos enfants, on ne leur donne jamais la parole, et pourtant, s’ils pouvaient exprimer librement et sans contrainte leur pensées, je pense sincèrement qu’ils nous donneraient des leçons d’humanité qu’on ne serait pas prés d’oubliés. Et contrairement à sa tradition de critique constructive, l’état des mœurs du public et l’état des mœurs judiciaire actuelles, sont incapables de ressentir le moindre ressentiment sur l’innocence et la fragilité de nos enfants.
Tout au plus, partagent-ils quelques notions d’amendements cosmétiques, afin de se donner le bon rôle, mais prennent-ils vraiment conscience de la porter de leurs prises de décisions, dans lesquelles nos enfants n’ont qu’un seul droit, celui de subir en silence.

J’affirme, que le Législateur doit cesser de démissionner devant le problème social (majeur), que pose n’importe quelle procédure de divorce, que ce soit par son exploitation morale ou familiale.
A-t-on seulement réfléchi deux secondes, à toutes les conséquences éventuelles que représentent l’image d’un divorce, sur la vie et l’avenir de nos enfants ? Pour ma part, j’y pense tout les jours, et cela me fais très mal de constater que mon épouse (aveugler par son entourage), ne puisse remarquer ce que je voie dans les yeux et dans le comportement de nos trois enfants. Parce que pour ma femme, tout est normal.
Alors que pour moi, beaucoup de choses ne vont pas, tout comme le prolongement du fondement principal de notre responsabilité, qui suscitait sur le bien être psychologique et affectif de nos trois enfants.

Où sont vraiment passées toutes nos convictions familiales que je partageais en priorité et avec autant d’intérêt avec mon épouse ? Ou est passé ce sens extraordinaire, qui donnait à notre vie de famille un air de magie, de bonheur et qui renvoyait une image de nous cinq, que beaucoup de gens nous enviaient ? Pourquoi faut il que ma femme réagisse comme certains parents qui divorcent… Pousser par sa famille, à dire et à faire des choses, (comme prendre un amant ! Alors que nous ne sommes même pas divorcer, et pourquoi infliger sa présence a nos enfants, alors qu’ils ne l’acceptent pas et ne l’aime pas).
Je pense que même ceci est un abus de pouvoir, d’un adulte sur un ou des enfants, parce qu’on les obligent à accepter ce qu’ils ne désir pas. Pour moi, ce genre de situation rentre bien dans le cadre des maltraitances sur les enfants. En effet, la maltraitance ce n’est pas seulement la violence physique, les blessures, les brûlures, les fractures. C’est aussi le rejet pour eux, de ce qu’on veut leur faire faire de force ou gober sous n’importe quel contexte, et ce, d’office, car n’ayant pas la Liberté de leur choix, ils sont obligés et contraints de suivre les ordres qu’on leur donnent, et là encore, on ne leur donne pas le droit à la parole. Alors que le seul désir de nos trois enfants, est que leur papa et leur maman reviennent ensemble, pour que eux mêmes se retrouvent en famille, avec leurs deux parents. Ce n’est pas moi qui le dis, ce sont nos trois enfants qui m’ont confiés leurs petits secrets. Parce que je leur laisse, quand ils sont avec moi, la liberté de s’exprimer comme bon leur semble, et je les écoute attentivement. Chose qui leur est totalement impossible de faire actuellement quand tout les trois se retrouvent chez leur maman. Nos trois enfants, ont finit par en avoir peur, et craignent la moindre de ses réactions, surtout quand ils tentent de lui parler de moi. Bien entendu, ma femme me soutient le contraire. Pourtant, quand je les ramènent en fin de week end, les enfants sont en pleurs, ils ne veulent pas restés avec leur mère, tout les trois ne veulent plus vivre avec elle mais avec moi, d’ailleurs, nos trois enfants, le lui ont dits à plusieurs reprises… Et même répété devant leur tante, Jacqueline. Ma femme leur répond :
« - Eh bien, vous réagissez comme çà avec moi, après tout ce que j’ai fais pour vous ! ».
Mon fils, Alexandre lui répond :
« - Mise à part te trouver un mec, tu na rien fais pour nous… Votre histoire de divorce, c’est complètement nul. N’importe comment tu n’es qu’une merde ! ». Quand ce n’est pas ma fille qui la traite de connasse.
De nouveau, je précise que ce n’est pas moi qui le dis. De plus, cela fait déjà trois fois que mon fils, Alexandre, se sauve (avec son baluchon), par la fenêtre de sa chambre du pavillon de sa mère. Quand à mon fils, Julien, et à ma fille, Anaïs, ils lui en font voir de toutes les couleurs a leur mère, comme en jetant de la peinture dans la sale de bain (du sol au plafond) et me réclame en pleurant, et ma femme leur demande d’arrêté de pleurer, qu’ils le verront bientôt, leur papa. Bien sûr, ma femme se garde bien de me le dire… Je ne peux pas admettre que l’amant de ma femme, se permette de prendre parti prix, et qu’il se mette à crier et à frapper nos enfants. Que mon épouse, change le ton de ses paroles envers nos enfants quand il le faut, afin de faire régner un tant soit peu l’ordre et le respect, qu’ils lui doivent, c’est tout à fait normal, car c’est leur mère, par contre, son amant na absolument rien à leur dire et encore moins le droit de lever la main sur eux. Je trouve que cette situation est dangereuse, tant au climat dans lequel vive nos trois enfants, que dans l’environnement douteux dans lequel ils évoluent. Je pourrais m’expliquer sur ce dernier point, mais je préfère me taire, car, de nouveau, ce sont nos trois enfants qui sont en première ligne et ce que je pourrais dire à ce sujet, les mettraient sûrement dans une position délicate.

Je ne veux en aucun cas, pointer ma femme du doigt, ou la décrire comme une mère incapable d’élever nos enfants, mais pas comme çà.
Je souhaite qu’elle ait une plus grande prise de conscience. Tout comme je souhaite par l’intermédiaire de ce livre, demander à ma femme, qu’elle m’aide vraiment à atténuer notre conflit (qui ne serre strictement à rien), et qui est monté à un tel degré d’indifférence, que le bien et le mal s’associe. Ou le dialogue, est inexistant.
Alors que mon objectif principal sous-jacent à toutes les recommandations que nous puissions avoir de part et d’autre, est d’amorcer un changement pour un climat plus doux, pour que justement nous entretenions une relation, dites normale.
Je veux avant toute chose, préserver nos trois enfants, et peut-être même, aller vers un mode de prise de décisions qui en surprendraient plus d’un !
A l’heure où j’écris ce livre, nous sommes entrés dans une zone de guerre, parce que notre procédure de divorce n’est pas humaine.
Beaucoup trop de gens ce sont initiés d’eux-mêmes dans notre histoire, (tout comme dans notre vie de couple, et dans notre vie de famille), en y apportant humiliation, coups bas et autres multiples mensonges, le résultat est ; que nos trois enfants vont et viennent entre deux parents qui se déchirent, pourquoi ?
Je critique ouvertement mais sans avoir vraiment de préjuger sur la terminologie corrosive qui y est employée, à tout détruire, et ne laissant derrière nous qu’une empreinte amère de notre union, pourquoi ?
Je veux dire à ma femme, que cette procédure de divorce est une période de transition difficile, pour nos trois enfants, et qu’il peut y avoir de très graves effets à court terme comme à long terme.

Elisabeth, je t’assure que je n’invente rien, tout comme je n’ai rien à gagner à te raconter des histoires à dormir debout. Tu sais, les enfants du divorce sont ceux qui souffrent le plus à l’âge adulte. Ils ressentent le plus cruellement l’impact du divorce lorsqu’ils recherchent leur propre amour, dans leur intimité et dans leur engagement. (je suis bien placé pour en parler, tu peux me croire…)
Le souvenir de l’échec de leurs parents à demeurer mariés nuies énormément à leur aspiration, leur causent beaucoup de chagrin et les mènent souvent au désespoir. Je ne veux pas de ce genre de chose pour nos trois enfants, parce qu’enfin de compte, notre conflit est la source majeure de dommages irréparables pour eux. Je t’en prie, Elisabeth, ne laisse personne cautionner ce genre d’attitude. S’il te plaît, ouvre les yeux, aide moi, à changer les choses, aide moi, pour l’amour de nos trois enfants, aide moi.
J’en appel sérieusement à la toute puissance de la raison, pour que nous puissions sereinement et en toute objectivité, entamer le plus tôt possible, ce dialogue que je te réclame depuis si longtemps, et que tu me refuse depuis trop longtemps. Je souhaite savoir, je voudrais comprendre, le rôle de tes agissements dans ta prise de position, ainsi que dans ta décision. Connaître, tes pensées à la logique (qui es tienne pour le moment), de toutes ces conséquences dramatiques liées à notre séparation.
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 23:18

Elisabeth, je t’en supplie ; laissons tombés les masques.

Je voudrais tellement que nous puissions parler tous les deux, en tête à tête, sans personne pour t’observer !
Parler de tout ce qui s’est passer jusqu’ici, et ce, depuis le début de notre histoire. Sans pour autant que nous, nous enflammions ou que nous rentrions à nouveau dans de nouveaux conflits. Elisabeth, parlons une bonne foie pour toute. Ce que je te demande mon amour, ce n’est pas essentiellement dans le but de te reconquérir comme tu le prétends, mais je voudrais tellement que tu comprenne que pour nous deux ; la communication est vitale.
Elisabeth, avons nous réellement besoin de nous déchirer ? Est-ce nécessaire de se jeter au visage ce que l’autre n’accepte pas ? Trouvons ensembles, cette rare senteur capable de faire palpiter les cœurs, et non de les faire saigner. Fessons la paix !
Tu sais mon amour, il faut quand même souffler de temps en temps sur les braises, sinon, le feu risque de s’éteindre. Ne renonce pas à ta famille.

J’ignore de quoi sera fait demain, mais une chose est sûr, j’aurais toujours besoin de mes trois enfants prés de moi, et si ma femme le désir aussi fort que moi ? Alors, oui, je l’avoue, j’ai aussi besoin d’elle…
Et dans ce dernier cas, je souhaite vraiment que nous puissions reprendre confiance l’un envers l’autre, sans se pauser de question. Tout en laissant de côté, conflit, reproche, et tout ce qui pourrait entraver notre éventuelle réconciliation. Parce qu’au plus profond de moi, je sais, que si mon épouse et moi-même, avions prit le soins de parler nous n’en serions pas là.
Je ne peux laisser nos regards se détachés pour prendre une autre direction, que celle que nous avons toujours suivie avec autant de conviction. J’ai toujours connu ma femme en difficulté à exprimer une quelconque émotion, qu’il s’agisse de la vie courante ou de notre vie de couple. C’est pourquoi, j’ajouterais pour terminer ce chapitre, (que je n’ai pas à juger qui que ce soit), mais je le dis, le plus naturellement du monde :
Je t’aime Elisabeth, je t’aime.
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 23:19

PROLONGEMENT DU TEMPS :

*Dimanche 28 Août 2005…

C’est à 18h43, que ma femme ma téléphoner pour m’annoncer que ma fille, Anaïs, avait eu un petit accident, et qu’elle venait de se cassée la clavicule en jouant avec son frère, Julien, dans le jardin de sa maison à Massérac. Hors, cette affirmation est fausse, car cet accident aurait pu être éviter si mes enfants avaient été sous la surveillance d’au moins un adulte, d’ailleurs, ma femme ma répondu à ce sujet, qu’elle ne pouvait pas être partout. Mais en faite, Anaïs et Julien jouaient tous les deux (et sans la moindre surveillance) au fond du jardin de la nouvelle maison de son frère, Michel, qui à récemment déménager de (Bain S/Oust à Guenrouët), pourquoi continuer à me mentir…
De plus, ma fille, c’est cassée la clavicule vers 10h00 le matin de ce dimanche 28 août 2005, et ma femme ne ma prévenu qu’à 18h43. C’est Fabrice, l’amant de ma femme qui a conduit ma fille, Anaïs et mon épouse aux urgences du Centre Hospitalier de Redon, mes deux fils, Alexandre et Julien sont restés chez le frère de ma femme à Guenrouët.
J’ai terminer ma conversation téléphonique avec Elisabeth en lui demandant de me tenir au courant sur l’état de santé de ma fille, ma femme ma dit de ne pas m’inquiété, qu’elle ne manquerait pas de me tenir au courant sur l’évolution de la fracture de ma fille. Je l’ai cru, encore une fois. J’ai vraiment cru, que ma femme ne manquerait pas à ses paroles.


*Certificat médical descriptif des lésions :

Je soussigné,…, interne de garde du service des Urgences au C.H de Redon, certifie avoir examiné ; Anaïs Dague.
Née le 31 Mai 2001, demeurant,…, 44290 – Massérac.
Qui déclare avoir été victime d’une chute… ??? Le 28 août 2005.
Je certifie avoir constaté les lésions suivantes ;
Fracture 1/3 moyen de la clavicule droite. Il en résulte une incapacité totale de travail (ITT) de trente jours, sous réserve de complication. En cas d’incapacité permanente partielle, celle-ci devra être appréciée ultérieurement par expertise.
Certificat délivré à la demande de Monsieur Pascal Dague, et remis en mains propre ce jour, le 22 Septembre 2005.
J’ai bien conscience que cet accident aurait très bien pu arrivé lorsque les enfants étaient avec moi, (sous ma surveillance et donc, sous ma responsabilité), tout comme ils auraient du l’être avec ma femme. Pour moi, cet accident vient en coordination avec ma pensée, mais don je ne voulais pas croire la solvabilité du fait, qu’Elisabeth, mon épouse, délaisse nos trois enfants au seul profit de Fabrice, son amant. Fait se rapportant sur bien des confidences que mes trois enfants ne manque pas de me confiés.
A cela vient s’ajouter, lors de mon droit de visite (les week ends, les petites et grandes vacances), les enfants n’ont pratiquement aucun, sinon pas du tout de vêtements de rechange, (pas un slip, pas une chaussette), et l’apparence négligé, (vêtements tâchés, troués, pas à leur taille). Et c’est sans parler des puces et des poux qu’ils véhiculent sur eux. Je suis leur papa et je pense avoir les mêmes droits que ma femme, sur ce qui concerne le bien être de nos trois enfants, je vais vous dire une bonne chose, de les voir dans l’état dans lequel ils sont quand je les récupères à l’école, me retourne le sang, et cela me blesse énormément.
D’ailleurs, avant de faire quoi que ce soit, nous filons directement à l’appartement de Redon, et là, mes enfants se changes en mettant les vêtements que je leur achètes pour être mieux dans leur peau, et souvent j’ai droit à des petits commentaires du genre :
« - Tu voie papa, çà c’est pas à moi, c’est à mon cousin F… Tu sais papa, maman nous à dit qu’elle n’avait pas assez d’argent pour nous achetés de nouveaux vêtements, mais elle en à pour en achetés à l’autre Connard, (là, mes enfants parle de Fabrice, l’amant de ma femme), dernièrement maman lui à acheté une veste et une cravate pour aller au mariage de sa sœur, et pendant tout ce temps, nous, ont est restés chez l’autre tête trouée, (là, mes enfants parle de Nadège, la petite amie de Michel, le petit frère d’Elisabeth) ».
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 23:21

*Lundi 29 Août 2005…

J’ai téléphoné trois fois sur le portable de mon fils, Alexandre, pour avoir des nouvelles de ma fille, Anaïs, à savoir tout particulièrement si elle avait quand même passée une bonne nuit ? Si elle n’avait pas trop mal… Les trois fois, je suis tombé sur la messagerie, sur laquelle bien entendu j’ai laissé des messages. J’ai aussi envoyer, toujours sur le portable de mon fils, Alexandre, (parce qu’à cette époque, je n’avais toujours aucun autre moyen de communiquer avec ma femme, si je peux dire çà, comme çà ?), cinq sms, qui sont restés eux aussi sans réponses.
Alors, j’ai pris la peine d’écrire un petit mot de réconfort pour ma fille, avec des photos de nous, que je suis aller porter en pleine nuit dans la boîte aux lettres de mon épouse, à Massérac, mais Fabrice, son amant, avait deviner que je passerais, puisqu’il avait garer son véhicule en avant de façon à ce que le capot de sa voiture m’empêche de pouvoir atteindre la boîte aux lettres. Mais je suis tout de même parvenu à déposer mon courrier.


*Mardi 30 Août 2005…

J’ai laissé de nouveau plusieurs messages et, trois sms sur le portable de mon fils, Alexandre, dans l’espoir que ma femme me donne des nouvelles de ma fille, Anaïs.
Mais rien, toujours aucune réponse… Pourtant, Elisabeth, savait très bien que je m’inquiétait énormément pour ma fille, et la savoir blessée sans que je ne puisse être présent auprès d’elle, me rendait d’avantage coupable de la laissée dans un état d’abandon.
Alors, j’ai décidé d’écrire un petit mot à l’attention de ma femme en lui demandant d’avoir la gentillesse de me donner des nouvelles de notre fille, que je suis aller de nouveau porter directement dans la boîte aux lettres de mon épouse, à Massérac. A ma grande surprise, Fabrice, l’amant de ma femme, m’avait écrit lui aussi un petit mot en gros caractères qu’il avait directement scotché sur la porte d’entrée de la maison de ma femme de peur que je ne puisse le lire : les photos et les lettres, stop ! Fabrice.
Alors, j’ai pris la peine de rajouter sur sa feuille : tu devrait avoir honte ! Et je suis parti, (sans savoir que ma femme et son amant passeraient cette nuit-là, dans la chambre, et plus précisément dans le lit de Jennifer, la demi sœur de Nadège, l’amie de Michel à Guenrouët). Et pour cause…


*Mercredi 31 Août 2005…

C’est dans la matinée de ce jour, que mon fils, Alexandre, ma femme, accompagner de Fabrice, son amant, se sont rendu à Nantes, dans les bureaux de son Avocate, et elle à demander à mon fils, s’il voulait toujours me voir (lors des visites dites ; normales ?), ou s’il préférait (comme mon épouse le désirait), que nous recommencions à nous voir dans les locaux du Centre UDAF 44, à Nantes. Mon fils lui a répondu qu’il préférait me voir normalement. Pour les autres questions que l’Avocate de ma femme à pauser à mon fils, c’est un peu flous et obstruer sur le fait, que pour que je puisse tiré un trait et oublié définitivement ma famille, il faudrait que je me trouve une autre femme !
Quoi qu’il en soit, Elisabeth, aurait répondu à une question de son Avocate par :
« - Dorénavant, j’essaierait de faire passer mes enfants avant Fabrice… »
A la fin de leur entretient avec son Avocate, ils sont touts les trois allez manger au Mac Donals, (alors que l’amant de ma femme, déteste çà). Fabrice, à même acheter une panoplie de Tarzan à mon fils. Alexandre me répétera un peu plus tard :
« - Franchement papa, que veux tu que je face avec ce truc là ? ».


*Jeudi 1er Septembre 2005…

Etant toujours sans nouvelle de ma fille, Anaïs, depuis son accident, j’ai décidé vers 19h00, de me rendre au domicile de mon épouse afin de la voir, et de profiter aussi de quelques minutes avec Alexandre et Julien.
Mais dès mon arriver, ma femme est sortie de chez elle comme une furie, en me pointant bien en évidence son doigt vers la sortie du lotissement ou est situé la location de sa maison, tout en me dissant :
« - Casse-toi ! Casse-toi ! Tu na rien à foutre chez moi… »
Je lui est répondu que je n’étais pas venu pour pénétré chez elle, mais pour prendre des nouvelles de ma fille, Anaïs, parce que j’étais inquiet et que je n’avais aucune nouvelle depuis son accident (quatre jours). Malgré sa colère et qui n’étais aucunement fondé. J’avais bien remarqué que ma femme était tout de même mal à l’aise, elle finira d’ailleurs, par m’avouer que nos trois enfants n’étaient pas avec elle à Massérac, mais de nouveau en garde chez son frère, Michel, à Guenrouët, que justement elle attendait l’arrivée d’une personne ? Pour qu’elle puisse s’y rendre ?

Ce n’est que beaucoup plus tard, que j’apprendrais qu’à ma très grande surprise je l’aurais traité de salope ! C’est faux, bien évidemment. Par contre, ce qui est vrais, c’est que je lui est dis dans le feu de l’action ! Parce notre conversation à encore une fois dérapé, c’est que puisse qu’elle avait tellement envie de se faire électrocuté, qu’elle n’avait qu’à faire ce qu’elle voulait avec son cul ! Tout en lui précisant qu’elle devrait avoir honte, de se comporter de manière vulgaire avec son amant, Fabrice, devant nos trois enfants. Dire quelle me fais tout un cinéma pour me tenir à distance de nos enfants, et quelle les fait garder alors que je ne demande qu’une chose ; les avoirs prés de moi et pouvoir vivre tranquillement, normalement avec eux. Quelle le garde son amant, puisqu’elle là voulu, qu’elle le console, le supporte, moi, je garde nos trois enfants, et tout le monde sera content.


*Vendredi 2 Septembre 2005…

Ce jour, j’ai récupéré mes trois enfants à l’école de Massérac, à 16h30. De nouveau ils n’avaient aucun rechange, mal habillés, etc, etc… Je pense aujourd’hui, que ma femme le fait volontairement pour m’ennuyer. Si sa l’amuse…
Comme d’habitude, nous sommes allez à l’appartement de Redon, ou mes enfants se sont changés. Ensuite, nous avons fait une immense promenade en voiture à travers la campagne, le soleil ne s’était pas encore coucher, le faisait bon, le temps était doux. Nous avons chanter quelques chansons, puis les enfants mon récités leur dernier poème qu’ils avaient apprit en classe.
A un moment donner, mon fils, Alexandre ma dit :
« - Tu sais papa, sur la banquette arrière de ta voiture, il y à encore une place, et je sais à qui elle est cette place, c’est la place à maman ».
J’ai répondu à mon fils, que j’étais d’accord avec lui, que s’était bien la place de leur maman…

Ensuite, nous avons dîné au restaurant et tout au long du repas, mes enfants m’ont bien évidemment parler de se qui se passait chez leur maman à Massérac, de se qui se disait chez leur tantes et oncles. Autant vous dire, que j’en ai pris pour mon grade. J’ai même appris ce soir là, que Fabrice, l’amant de ma femme, s’achetait (pour lui seul), des barres au chocolat, (des Kinders), et qui les planquaient pour que mes enfants n’en manges pas. Mais Alexandre ma confié, qu’il avait trouver sa planque et qu’il se servait discrètement pour ensuite allez les mangés avec son petit frère et sa petite sœur dans sa chambre.
Et que Nadège, la petite amie de Michel, le petit frère de ma femme, avait prit entre ses mains une barre à mine, et qu’elle leur avaient dit, (à mes trois enfants), je l’attend de pied ferme, votre père ! Est-ce des comportements normaux, face à de jeunes enfants ? Et l’amant de ma femme, qui en rajoute, en disant à mes enfants :
« - Je n’ai pas peur de votre père, il na qu’à venir... »
Mais s’est il réellement à quoi il s’expose, en m’invitant comme çà, à venir, (le voir), pour lui parler ? Surtout quand plus de çà, sa phrase fessait suite à ce que mon fils, Julien, lui a dit, après avoir reçu, de sa part, une claque derrière la tête :
« - Je vais le dire à mon père que tu nous frappe, tu en profite parce que nous sommes encore petits et moins fort que toi, mais avec mon père, sa va être une autre musique ».

Là encore, mes enfants m’ont dit et répétés à plusieurs reprises, qu’ils ne voulaient plus vivre avec leur mère, qu’ils voulaient vivres et restés pour toujours avec moi. Que leur maman était une menteuse, qu’elle leur faisait des promesses qu’elle ne tenait jamais. Qu’elle se faisait passée pour une personne quelle n’avait jamais été. Qu’elle ne s’occupait plus d’eux comme avant. Mes enfants finissaient par parler de leur mère, avec des petits noms d’oiseaux, j’ai dû leur dire que quoi que leur maman dise ou face envers leur papa, elle resterait leur maman, et qu’on ne traitait pas sa maman comme çà, même si, ont n’était pas d’accord avec elle. Je comprenais bien ce qu’ils pouvaient ressentir, mais je ne pouvais pas leur dire de continuer à insulter leur mère, même si je sais très bien, qu’ils le fessaient pour me prouver leur mécontentement.
Par la suite, et de nouveau mes trois enfants m’ont demander avec leur petits mots et petites phrases de leur âge, à les aider pour ne plus retourner à Massérac, chez leur maman et ou se trouve également, (le pédé sans couilles), qui est le nouveau surnom que mes enfants ont trouvés pour parler de Fabrice, l’amant de ma femme, qu’ils en avaient marre de le voir à poil dans la sale de bain. Marre de l’entendre dire tous les matins :
« - Mais où est le soleil ? ». Pendant qu’il leur frictionne les cheveux dans tout les sens.
Puis nous avons parlé de leur mamie et papy Jean-Pierre, (mes parents), qu’ils leur manquaient et qu’ils aimeraient bien les revoirs à Paris.
A la fin du repas, j’en avais gros sûr le cœur et je ne savais plus trop quoi penser, de cette situation mainte fois décrite par mes trois enfants, et qui me fait toujours aussi mal, à entendre.
Je ne me sentais plus capable de laisser faire tout çà, de laisser mes enfants supporter ce qu’ils vivaient au quotidien ; pour ma fille, Anaïs, bosse et hématomes sur le front, en plus de çà, sa tante, Gorette, la frappe, quand ma fille ne l’écoute pas. Pour Julien, qui n’acceptant pas du tout la présence de Fabrice, l’amant de ma femme, lui dit : « - La ferme, toi ! ».
Alexandre, qui me confie que tout les trois ne peuvent plus rien faire chez eux, parce qu’en plus de les commander, l’amant de ma femme, s’accapare non seulement les petits câlins de leur maman, mais aussi leur place sur le canapé, la télécommande de la télé, etc, etc… Ce qui fait que pour être tranquille, mon fils, Alexandre, s’enferme dans sa chambre, des heures durant. Ce n’est pas une vie pour mes trois enfants.
Ce soir là, j’ai donc décidé de faire une surprise aux enfants, et cette surprise était d’allez tout les quatre, rendre visite à mes parents à Paris. Je savais à l’avance que leur mamie serait folle de joie de voir ses petits enfants, et je ne vous parle même pas de la réaction de leur papy.
Avant de partir à Paris, nous sommes passés par l’appartement de Redon pour y prendre des affaires de rechanges. Et puis j’avais aussi envie d’écrire une lettre à ma femme, histoire de lui ouvrir les yeux, sur ce qu’elle continue de ne pas voir.
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 23:23

J’insiste bien sur le fait que ma lettre, n’avait pas pour but de lui faire du mal, d’ailleurs, quel intérêt avais-je à y gagner ? Lui faire peur, oui, et ce, dans le sens qu’elle puisse comprendre ce que je pouvais endurer, subir, tout en restant impuissant alors qu’on m’écorchait à vif, je souhaitais réellement qu’elle puisse ressentir ce que je ressentais, tout en étant obliger et forcer d’être éloigner de nos trois enfants, sans que je ne puisse à aucun moment les voir, les touchés ni même les embrassés. Bien entendu, ma lettre a été perçue d’une autre manière.


*La lettre.

ELISABETH

Je t’ai demandé au moins mille fois, si ce n’est plus… De me parler, d’ouvrir un dialogue concret, entre toi et moi. Mais tu as toujours refusé, pourquoi ? Pourquoi, Elisabeth ? C’était si difficile que çà ?
Si tu avais tout simplement accepté de me parler, au lieu d’écouter tout le monde, et n’en faire qu’à ta tête, nous n’en serions pas là ! Je voudrais que tu saches que j’ai toujours, toujours été sincère et entier envers toi, et tu veux savoir pourquoi ? C’est tout simple ; nos trois enfants et toi, vous êtes ce que j’ai de plus cher au monde, et je n’ai jamais, jamais conçu ma vie sans vous, voilà pourquoi. Même si, je suis cocu maintenant, mes sentiments pour toi, restes intacts.
Etre cocu, c’est se sentir humilié, salis et trahie, au plus profond de sa chair, et qu’est ce que sa peut faire mal, mais mal, tu peux me croire sur parole, Elisabeth. Mais c’est tout de même moins dégueulasse que d’être accuser d’agression sexuel sur sa propre fille. (ou as-tu été cherchée que je t’avais mis le canon d’une arme sur la tempe ?ndlr).
Je t’ai aimé, Elisabeth, tellement aimer à la folie, et ce qui pourrait paraître surprenant aujourd’hui, c’est que malgré tous ces événements, et tout ce qui c’est passé, et bien, sa na même pas ébranler un seul de mes sentiments pour toi. Pas un seul.
J’aurais souhaité que nous puissions nous remettre en question, sans pour autant confondre ce qui relève de la demande et ce qui relève du reproche. J’aurais souhaité que nous rétablissions cet équilibre qui nous a tellement fait défaut dans notre couple, et ce, bien souvent à cause d’autres personnes. J’aurais souhaité construire un vrai mode de communication et en toute objectivité. Mais à partir du moment ou c’est l’escalade, ou les reproches sont constants, ou le dialogue est impossible et notre situation génératrice de trop de souffrances, (pour les enfants, pour moi), et bien sans ai trop. Tout l’édifice s’écroule comme un château de cartes dont on a retiré un élément fondateur, et cet élément n’est autre que la confiance.
Cela fait un an et vingt six jours que je ne suis plus que l’ombre de moi-même, même si, çà fait rigoler certaines personnes de ton entourage. Moi, ce que je sais, c’est que je fais de mon mieux pour paraître bien, tout comme il faut devant les enfants, mais je ne supporte plus de tricher avec eux. Alors, à partir du moment, ou les enfants me dise qu’ils ont peur de toi, de tes réactions, quand ils ne sont pas d’accord avec toi. A partir du moment, ou les enfants me confie, que tu ne t’intéresse plus à eux et que tu ne t’occupes plus d’eux, comme avant de détruire notre famille, et bien je pense, qu’il était temps, même si je suis conscient que ce n’est pas la meilleure des solutions, de partir avec eux, parce qu’ils veulent vivre avec moi, et plus avec toi.
Tu sais, Alexandre, ma dit carrément et en ces termes :
« - J’ai la pétoche de maman ! ».
Et je ne te parle même pas de leur tante Gorette et de Jacqueline. Les enfants t’aiment, puisqu’il me l’on dit, je n’ai aucune raison de ne pas les croire, et après tout, tu es quand même leur mère. Mais pour être tout à fait hônnette avec toi, ils n’acceptent pas ta liaison avec ton amant, Fabrice, et ce n’est pas moi qui vais leur donner torts.
Alors, pour toutes ces choses et pour bien d’autres raisons, je fais ce que les enfants me demande. Tout en étant encore une fois, conscient, que c’est moi, l’adulte. Ne t’inquiète pas, je te donnerais des nouvelles des enfants, mais à la même cadence que toi, tu m’en donne. Quand je pense qu’Anaïs s’est cassée la clavicule dimanche dernier, et que cinq jours après, tu ne ma même pas donner un coup de téléphone, ou écrit un petit mot pour me rassuré sur son état, et tu te dis mère de famille avant tout !
Crois tu vraiment que c’est un comportement normal d’une mère ? Et dire que j’ai cru, en toutes tes belles paroles… Tu fais exactement tout le contraire. Jamais je n’aurais imaginé que tu puisses faire ce que tu fais. Je t’aime, mais je suis écoeuré.

(et en plus ton amant me nargue sur la route, en me faisant des appelles de phares comme pour me dire : TA FEMME EST AVEC MOI !).

Mon épouse dira plus tard à ma mère lors d’une conversation téléphonique, que j’avais pris la mouche pour rien, que son amant avait fait çà, juste pour plaisanter. Ce rend t-elle vraiment compte de ce qu’elle dit ?
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 23:24

*Samedi 3 Septembre 2005…

Nous sommes arrivés à Paris, au petit matin, nous avons déjeuné avec mes parents, qui loin de se douter de notre venu, débordaient de joie et quelle fût leur surprise de nous voir, alors qu’ils ne s’y attendaient pas du tout. Leur mamie laissait s’échapper quelques larmes, leur papy avait du mal à cacher son émotion, et mes trois enfants se balançaient à leur cou, tout en ayant les joues rebondies de bonheur. Je ne pourrais vous d’écrire précisément ce que j’ai pu ressentir à ce moment là, mais j’ai vu mes enfants revivre, j’ai vu mes enfants sécurisés par la présence de mes parents, loin, très loin de Massérac.

Cette journée c’est dérouler de la façon suivante, et croyez moi, pas un seul de mes enfants ne voulait dormir, malgré la fatigue du trajet, (Redon – Paris).
Après avoir déjeuner, nous sommes allez au parc ou il y à plusieurs jeux de pleine air, puis nous avons fait du shoping dans les magasins, à midi, nous avons mangés au restaurants, ensuite nous sommes rentrés chez mes parents pour nous reposés un peu. Vers 16h00, nous avons prit un immense goûter, (chocolat chaud et divers gâteaux). Et nous sommes repartis au parc, ou nous avons chanter à tu tête, rigoler de façon à nous faire comme le dise mes enfants, (pété le ventre), on à aussi prit des photos de cette superbe journée.
Pour le dîner leur papy leur avait été acheté des pizzas que mes enfants lui avaient demandé, et des glaces. Nous avons passés une magnifique soirée, (en famille), à faire des dessins, à nous écrire des petits mots d’amour, et à nous faire d’énormes câlins, (don mes enfants manquaient et don je manquais). Mais pas à un seul instant, mes enfants ont réclamé leur mère, quand au rare moment ou ils en parlaient, c’était pour la dénigrer, alors je détournais systématiquement la conversation.

*Dimanche 4 Septembre 2005…

J’avais passé la nuit à regarder s’écouler les heures sans que je ne puisse m’endormir, j’avais pensé et repenser à tout ce que mes trois enfants pouvaient vivre et supporter, j’avais retourner dans ma tête tout ce qu’ils avaient pu me dire, et ce qu’ils ressentaient au fond de leur cœur, je le ressentais aussi profondément.
Nous avons prit notre petit déjeuner vers 10h00 ce matin là, c’est mon fils aîné, Alexandre, qui a commencé à me redire :
« - Tu pense à nous trois, papa… Nous voulons vivre avec toi, garde nous avec toi pour toujours, papa. Nous ne voulons pas que tu nous ramène chez maman à Massérac, partons n’importe ou, du moment que l’on reste ensemble ».
Julien et Anaïs m’ont dit plus ou moins la même chose, je les avais tout les deux dans mes bras et ils pleuraient. Alexandre, avait les yeux rouge et un sourire qui ne lui appartenait pas. Tous les trois attendaient que je leur réponde, mais je n’ai pas eu la force de leur dire ce qu’ils ne voulaient pas entendre. C’est leur mamie qui leur à répondu par :
« - Votre papa ne peut pas faire çà, parce que qu’il risque d’avoir de gros problème, non seulement avec votre maman, mais aussi avec la Justice, et on peut même par la suite lui interdire de vous voir ».
Les enfants m’ont fait la tête jusqu’au repas du midi, mais cela ne les à pas empêcher de m’écrire de nouveau ; Nous t’aimons très fort, papa.
Aide nous !
Nous sommes partis de chez mes parents, vers 14h00, pour nous retourner en Bretagne. Mais voilà.

Sur la route, à un point que je ne pourrais pas nommer, il y avait un carrefour, en prenant à droite nous retournions en direction de Massérac, ce qui revenait à dire que de nouveau je ne pourrais pas protéger, et respecter mes engagements envers mes enfants, mais je savais qu’en prenant à gauche, mes trois enfants et moi, nous retrouvions la Liberté !
C’est un choix que j’ai fais en mon âme et conscience (en un centième de seconde), sans vraiment me rendre compte et sans vraiment savoir les risques que je prenais (aux yeux de la Justice) ; J’ai pris à GAUCHE.
Direction la Belgique…
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 23:25

Je vous passe les détails du trajet Paris – Belgique, mais ce que je peux vous dire, c’est que s’était aussi merveilleux, aussi magique que notre départ en vacances, Redon – Angleterre. J’ai pu non seulement lire dans les yeux de mes enfants, mais aussi sur leur visage, une joie, un bonheur, un soulagement, qui me remettais du bôme au cœur. Nous avons chanter, nous nous sommes raconter des histoires, et puis surtout, mes enfants m’ont répété je ne sais combien de fois, que j’avais fais le bon choix en prenant à gauche, et non à droite.
Sur la route j’ai téléphoner à mon ex belle sœur Sylvie, l’ex femme de Michel, le petit frère d’Elisabeth, pour qu’elle puisse prévenir mes parents que les enfants et moi, nous ne retournions pas en Bretagne, je ne lui es jamais dis ou nous nous rendions. Je voulais simplement qu’elle rassure mes parents, qu’elle leur dise que je leur donnerais des nouvelles quand je le pourrais. Sylvie, fût au début très surprise quand je lui es dis que je partais avec les enfants, parce que je ne pouvais pas continuer à les laissés évoluer dans une situation qu’ils n’avaient pas à vivre et encore moins à subir, je me souviens qu’elle ma dit et en ces termes :
« - Ne fais pas de connerie, Pascal, sa n’en vaut pas la peine, (ils) n’attendent que çà pour t’enterrer d’avantage. Tu sais bien que c’est une famille de pourrit, tu peux me faire confiance, (ils) ne vont pas te rater ». C’est fou comme elle avait vu juste…

Notre arriver en Belgique fût prit par mes enfants comme une délivrance, comme un soutient de ma part qu’ils attendaient depuis bien longtemps. Je ne vous cache pas, que je partage encore leurs sentiments. J’ai loué un emplacement dans un camping (les Skassis), à trois mètres d’une rivière, ou nous avons planté notre tente, que j’avais laissée dans le coffre de ma voiture depuis notre retour d’Angleterre.
J’ai bien sûr envoyer deux premiers sms à ma femme qu’elle niera avoir reçu, pour la rassurer et pour qu’elle ne s’inquiète pas, que j’étais partis quelque part avec nos enfants, et que par définition nous ne serions pas à 19h00 à la gare de Redon, afin qu’elle puisse récupérer nos trois enfants.
Notre séjour en Belgique c’est passer de la manière suivante ; lever tous les matins à 9h00, petit déjeuner, douche, changement de vêtement, ensuite je leur faisais l’école jusqu’à 12h30 (mathématique, orthographe, autodictée, etc, etc…), j’ai appris à mon fils, Alexandre, les tables de multiplications par sept, par huit, et par neuf qu’il à finit par savoir par cœur, et dans tout les sens, aujourd’hui, il n’en connaît plus aucune. J’ai appris à mon fils, Julien, à faire des additions et des soustractions, qu’il ne sait plus faire aujourd’hui. J’ai appris à ma fille, Anaïs, à écrire correctement son prénom, et elle commençait à savoir lire les lettres de l’alphabet, aujourd’hui, elle écrit son prénom en inversant les lettres. Ensuite, nous allions faire les courses au supermarché, je poussais le caddy et mes enfants choisissaient ce qu’ils voulaient mangés. En ce qui concerne nos après midis, promenade autour du camping, découverte du site magnifique au nous étions, connaissance des gens de la région, baignade dans la rivière, concours de grimaces, petites courses entre nous quatre, d’ailleurs, je m’étonne encore de n’avoir gagner aucune course. Juste après avoir prit le goûter vers 17h00, je leur refaisais une petite révision des leçons du matin, vers 18h30, mes enfants prenaient leur douche, nous dînions en principe vers 19h30, ensuite ils se mettaient tous les trois en pyjama, puis nous regardions un dessin animé sur l’appareil dvd portable que j’avais offert à Alexandre, et à 22h00 extinction des feux. Mais en règle générale, nous nous endormions bien avant. J’avais droit à de gros bisous d’amour. Mes trois enfants et moi, nous revivions (enfin), sans que personne ne puisse nous séparer.
Là encore, à aucun moment les enfants n’ont réclamer leur maman. Là encore, ils m’ont parler d’elle et de son amant avec des nom d’oiseaux. Là encore, ils m’ont parler de Massérac, de leur tantes, de leur oncles, de ce qu’ils ne supportaient plus et de ce qu’ils ne voulaient plus jamais vivre. Mais de nouveau, je suis forcer de croire, avec une certaine conviction qui fait extrêmement mal, que le bonheur n’est pas fait pour être vécu (par trois enfants, et un papa, se retrouvant et voulant rester dans un écrin d’espoir, de vie dites, normale et heureuse).
Tout au long de notre séjour en Belgique, j’ai envoyer huit sms à ma femme, elle soutiendra ne jamais en avoir reçu, sauf un seul, dans lequel je l’aurais soit disant narguer, je peu pourtant le certifié sur l’honneur, que j’ai bien écrit et envoyer ces huit sms et ce, devant nos trois enfants. Dans certains, je disais même à ma femme, que si elle avait prit la peine de bien vouloir dialoguer avec moi, rien de tout çà ne serait arrivé.

Je me souviens d’un soir ou après avoir dîner, mes trois enfants s’interrogeaient sur leur origine, sur le mystère de leur naissance. Moi, je savais que chacune de leur naissance était une histoire extraordinaire, digne d’un compte de fée. Mais vu les circonstances et surtout dans la situation dans laquelle nous étions, je me suis réellement demander si mes trois enfants allaient vraiment me croire ?
Quoi qu’il en soit, ce soir-là, je me suis tout de même décidé à répondre à leur curiosité et je leur ai tout simplement dit la vérité, qu’ils avaient été conçu grâce à l’amour de leur maman et de leur papa, qu’ils avaient été achevé que neuf mois plus tard. Et que pendant tout se temps, ils avaient vécu dans un vrai petit paradis, tout rond et tout feutré, dans un univers tout doux, tout tiède aux lueurs orangées, qu’ils y avaient vécu comme de véritable petits poisons dans l’eau.
Bien que malheureusement, je n’ai pu assisté qu’à la naissance de mon fils, Alexandre, car pour la naissance de mon autre fils, Julien, je m’occupais d’Alexandre à la maison, et quand ma fille, Anaïs est née, j’étais à mon poste de travail. Mais pour chacun d’entre eux, ce fût pour moi, un des moments de ma vie, que je ne pourrais jamais oublié, jamais.
A leur question de savoir comment ils étaient sortis du ventre de leur maman ? Je leur ai répondu sans chercher d’explication compliquer, qu’ils avaient chacun à leur tour franchi un petit tunnel qui s’est ouvert tout doucement sur leur passage. Mes enfants m’ont regardés avec des yeux grands ouverts, leur sourire était une récompense qui m’allait droit au cœur.
Ils donnèrent tous les trois à cette merveilleuse révélation (tenue jusqu’ici secrète), l’importance qu’elle méritait. Ils m’ont tous les trois prit dans leur bras et serrez très fort contre eux, j’ai eux droit à d’énormes câlins, et à des je t’aime… Papa. Garde nous avec toi pour toujours.
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 23:26

Tout au long de notre séjour en Belgique, j’ai pu entrer quatre fois en communication avec mes parents, et ils ont finit par me convaincre que la Justice finirait par savoir la vérité sur tout ce qui c’était passé et dit jusqu’ici, qu’on ne pouvait pas mentir indéfiniment aux gens sans qu’ils ne s’en rende compte. Ma femme aussi, est entrée en contact avec ma mère. Ma mère là bien évidemment rassurer comme je l’avais fait par sms.
C’est avec l’aide de mon père que je suis revenu en France avec les enfants, le jeudi 8 septembre 2005, les enfants voulaient embrassés leur mamie, alors nous avons fait un petit crochet sur Paris, nous avons même passés la nuit chez mes parents. Ma femme était au courant, puisse que ma mère la tenait au courant de tout ce qui se passait afin qu’elle ne s’inquiète pas. Moi, je ne voulais pas rendre les enfants à ma femme comme çà, et surtout pas n’importe ou. Je voulais rendre mes enfants, et ce, afin d’éviter tout problème dans les locaux de la Gendarmerie de Guéméné-Penfao, même mon avocate de Paris est entrée en contact avec les Gendarmes de Guéméné pour leur dire que je ramènerais mes enfants à leur mère… ??? Dans leur locaux, dès le lendemain.
Mais ce que j’ignorais à ce moment là, c’est que non seulement les Gendarmes de Guéméné avaient déjà lancés un mandat d’arrêt internationale contre moi, et que ma femme avait porté plainte contre moi, pour enlèvement d’enfants !


*Vendredi 9 Septembre 2005…

Avant de me présenté à la Gendarmerie de Guéméné-Penfao avec mes trois enfants, il à fallut que leur explique longuement que j’étais obliger (encore une fois), de les ramener à leur mère, même si cela n’était pas mon désir, et me faisais encore moins plaisir.
Ma femme se trouvait dans un bureau de la Gendarmerie accompagner de Gorette, la femme de son plus grand frère, (et l’on pouvait d’ailleurs entendre cette dernière, crier du péront ou nous étions). Moi, je me trouvais avec les enfants et accompagné de mon père, devant deux Gendarmes. Mes enfants pleuraient, ils me tenaient par le cou et ne voulaient pas me lâchés. Devant les deux Gendarmes, mes enfants ont dit et répétés plusieurs fois qu’ils ne voulaient pas que je les laisse entre les mains de leur mère, qu’ils ne voulaient pas repartir avec elle, qu’ils voulaient restés et vivre pour toujours avec moi. L’un des Gendarmes c’est effacé, sûrement pour retrouver mon épouse ?
Le second Gendarme, avait les larmes aux yeux en voyant l’insistance de mes trois enfants à ne pas vouloir retourner avec leur mère, ce Gendarme confira à mon père, que la petite grosse (Gorette), était vraiment chiante, et que quand elles ce sont présentées à eux, ils avaient eu du mal à savoir qui était la femme de monsieur Dague, tellement la petite grosse gueulait. Je suis reparti de la Gendarmerie en voyant mes trois enfants mes tendre les bras, tout en versant toutes les larmes de mon corps.
De loin, j’ai vu mes enfants repartir avec leur mère, ma femme tenait Anaïs, dans ses bras, Alexandre et Julien suivaient derrière elle, la tête rivée au trottoir, suivi de leur tante, Gorette. Il était convenu avec les Gendarmes que je devais revenir à la Gendarmerie de Guéméné-Penfao, le lundi 12 septembre 2005, à 14h30, pour y faire une déposition et ainsi expliquer mon geste. Pendant tout le week-end, j’ai reçu bon nombre d’appels anonymes, des injures, et autres paroles parfois inaudibles. Mais depuis le temps que j’en recevais, je m’y étais habitué.
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 23:32

*Lundi 12 Septembre 2005…

13h15… Je m’apprêtais à partir de l’appartement de Redon pour me rendre à la Gendarmerie de Guéméné-Penfao lorsque mon téléphone portable c’est mis à sonné, j’ai bien évidemment répondu, et une voix camouflée ma dit :
« - Salut toi, c’est moi qui suis avec ta femme ! C’est aussi moi qui la baise, ta femme ! Tu vas crever, toi… On va t’égorger ! Tu sais quelle est bonne ta femme ! Humm, tu ne va pas faire de vieux os, toi ».
Ensuite, il y a eu des rires, et comme d’habitude la personne à l’autre bout du fil à raccrocher. Des appelles téléphoniques comme celui-ci, j’en reçois quotidiennement, parfois il arrive même que mes trois enfants soient avec moi, c’est vous dire l’intelligence de ces personnes.

14h20… Je me suis présenté à la Gendarmerie de Guéméné-Penfao comme prévu, j’étais et heureusement que je l’étais, accompagné de mes parents. Parce qu’à peine arriver, on ma signifier ma garde à vue (une nouvelle garde à vue), et un nouvel interrogatoire (plus doux celui-ci).
Ma mère à tout de suite prévenu mon avocat de Paris, qui de son côté est immédiatement entrer de nouveau en contact avec les Gendarmes, ces derniers lui ont répondu que c’était la procédure.
J’ai dû vider le contenu de toutes mes poches, mais on ma laisser mon paquet de cigarettes, mon briquet, en me disant que je pouvait fumer si je le désirais, à aucun moment on ne ma mis les mains dans le dos pour me menottés (comme la première fois).
Par contre, j’ai dû raconter une nouvelle fois toute mon histoire, et mon histoire reste une plaie qui ne peut se refermée. Mon histoire, restera une fracture ouverte à tout jamais.

De mémoire, je suis rester plus de quatre heures face à un (OPJ) officier de police judiciaire, marié, et père de famille, tout comme moi. Malgré (la procédure), j’ai bien ressenti dans la façon de s’exprimer que cet homme, ce Gendarme, (restait humain, pas comme les premiers, lors de mon arrestation du lundi 9 août 2004). J’ai même eu l’impression, qu’au lieu de me réprimander, il me faisait vraiment la morale, je pense sincèrement qu’il avait sans doute comprit tout le sens de mon histoire.
Comme je l’ai toujours dis, je n’ai absolument rien à cacher, je reste honnête et fidèle dans mes propos comme je l’ai toujours été, si je dis çà, c’est parce que je veux avouer un mensonge, ouvertement, je veux rester sincère et entier, je ne veux pas changer par rapport à une opposition d’avis, je m’explique ; ce Gendarme, pour qui je garde un très grand respect (pas pour d’autres !), dû à son métier, à ce qu’il représente et surtout dans la façon de me faire comprendre certaines choses, ce Gendarme qui à su ne prendre aucun parti prix, que ce soit pour mon épouse ou pour moi-même, et bien je lui es menti (une seule fois), mais menti quand même, et je le regrette. Parce que je savais à l’avance qu’il ne serait pas d’accord avec moi. Je lui es menti, au moment ou il ma poser cette question :
« - Est-ce que vous regrettez votre geste en étant parti avec vos enfants ? »
Je lui es répondu que oui, que sur le moment j’avais sans doute manquez de maturité et pas assez réfléchie…
Alors que pour moi, ce petit séjour de quatre jours avec mes trois enfants en Belgique, correspondaient exactement à plus d’un an d’absence total de tendresse et de complicité partager entre nous quatre. Allait-t-il pouvoir le comprendre ? L’homme peut-être, mais sûrement pas la fonction qu’il exerçait. Voilà pourquoi je lui es menti.
Par la suite, ce même Gendarme à lever le mandat d’arrêt internationale don je faisais l’objet. Puis il à téléphoner à Monsieur,…, Vice Procureur de la République à Saint Nazaire, et il ma remis une convocation en Justice.
Dix minutes plus tard, je sortais de la Gendarmerie de Guéméné-Penfao, libre de mes mouvements.
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 23:35

COUR D’APPEL DE RENNES :

parquet du procureur de la république


*CONVOCATION EN JUSTICE
(article 390-1 du code de procédure pénale)

Nous soussigné Gendarme,…, Officier de Police Judiciaire, en résidence à Guéméné-Penfao, nous trouvant à Guéméné-Penfao rapportons les opérations suivantes ;
Agissant sur instruction données à nous le 12 septembre 2005 par Monsieur,…, Vice Procureur de la République à St. Nazaire.
Notifions à Monsieur Dague Pascal,
Né le 16 janvier 1967, à,…, (France).
Demeurant,…, 35600 – Redon.

Qu’il doit comparaître à l’audience qui se tiendra le Vendredi 24 Mars 2006, à 14h00. A l’adresse suivante ;
Tribunal Correctionnel,
77, Rue Albert de Mun, St. Nazaire.

Pour y être jugé sur les faits suivants ;
D’avoir à Redon, en tout cas sur le territoire national et sur le territoire du Royaume de Belgique et depuis temps n’emportant pas prescription, du dimanche 4 septembre 2005 au vendredi 9 septembre 2005, refusé de représenter Dague Alexandre, Dague Julien, Dague Anaïs, enfants mineurs, à,…, épouse Dague Elisabeth leur mère, qui avait le droit de les réclamer en application d’une décision judiciaire, en l’espèce une ordonnance de mise en étant en date du 22 mars 2005 rendue par Madame,…, Juge de la mise en l’état au Tribunal de Grande Instance de Nantes (44).
Prévu par article 227-5 du code pénal.
Réprimé par article 227-5, article 227-29 du code pénal.

(l’intéressé est avisé que la présente convocation vaut citation à prévenu)

L’intéressé est également informé qu’il peut se faire assister par un Avocat de son choix, même dans le cadre de l’aide Juridictionnelle à laquelle il peut éventuellement prétendre selon le niveau de ses ressources. A défaut et dans tous cas, il peut demander la désignation d’un Avocat commis d’office en s’adressant dans les meilleurs délais, à l’ordre des Avocats à St. Nazaire, ou tout renseignement complémentaire lui sera apporté.
Il est avisé qu’il doit comparaître à l’audience en possession des justificatifs de ses revenus ainsi que de ses avis d’imposition ou de non imposition (ou les communiquer à l’Avocat qui le représente).
L’intéressé a signé avec nous et nous lui avons remis copie de la présente convocation.

Fait à Guéméné-Penfao,
le 12 septembre 2005.


*Observation.

Je suis tout à fait d’accord et ma pensée va dans le sens de ce que la commission des questions sociales, de la santé et de la famille préconise, tout en (obligeant !) certaines réserves, en matière d’enlèvement d’enfant. Car, si un certain nombre de mesures ont fait de (l’enlèvement d’un ou plusieurs mineurs de moins de 16 ans), un crime, et puni comme tel, pourquoi serrait-on poursuivi et condamner ?
(je prends mon histoire comme exemple), quand ce geste (mon geste) est fait avec le seul sentiment de sécurisé mes enfants, tant psychologiquement que physiquement, et parce que face aux dysfonctionnements de notre Justice, il n’est plus question de se plaindre (simplement, parce que vous n’êtes que le père de vos enfants), auprès des instances judiciaires et d’attendre sagement dans son coin les bras croisés que l’on veuille bien prendre en compte votre cas (alors que mon cas, justement, était à traité de toute urgence, alors que mon cas, était la sécurité de mes trois enfants).

Pourtant, à aucun moment on à prit en compte la réelle souffrance de mes enfants d’être séparés arbitrairement de leur papa, bien au contraire, on à même essayé de les manipuler pour leur retiré toute l’affection qu’ils avaient pour moi, alors qu’ils continuaient et continue toujours à crier leur amour pour leur papa. Personne, na eu le courage de répondre aux appelles aux secours de mes enfants, même pas leur mère… ???
Serait-elle jalouse de l’attachement de mes trois enfants ? Je me pause vraiment la question. Elle qui ne défend d’aucune manière l’idée d’une véritable co-parentalité, surtout dans le cadre de notre procédure de divorce (plus que conflictuel).
Pourquoi s’obstiner à ne pas vouloir conserver des moments très important dans la vie de nos trois enfants ? Des relations équitables avec chacun de leurs deux parents ? Pourquoi…
Alors, si partir avec eux, afin de pouvoir les mettrent hors de danger, veut dire que je les ai enlevés, et bien vous pouvez faire de moi ce que vous voudrez. Je vous offre ma tête !
Mais tant que je n’aurais qu’un souffle de vie, je me battrais pour eux. Je me battrais envers et contre tous.
De nos jours, qui ne peut pas savoir que tout enfant à le droit d’entretenir des relations personnelles et régulières avec son papa et sa maman ?
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 23:36

*Tentative de Médiation.

Fait qui ma été rapporté et que mon épouse ni tout en bloc. Entre la mi-septembre 2005 et le début du mois d’octobre 2005, l’Avocate de ma femme (serait entrer en contact avec mon Avocate), pour lui dire ce qui suit :
« - J’en ai ra-le-bol de ce dossier, tout les jours je reçois des appelles téléphoniques, des faxes et des lettres de la part de Madame Dague Elisabeth, me disant ceci ou cela sur son époux. Je ne suis pas une assistante sociale, moi. Je vais lui conseiller (la Médiation), qu’ils se débrouilles un peu tout les deux ».

Bien que ma femme me soutienne toujours le contraire, courant octobre 2005, j’ai reçu un courrier de l’Association Atlantique Espace Rencontre Famille.


Saint Herblain,
le 10 octobre 2005.

Monsieur,
J’ai reçu ce jour Madame Dague Elisabeth, pour une demande de Médiation Familiale.

A la suite de cet entretien individuel, je vous propose de vous recevoir dans les mêmes conditions. Au cours de cet entretien, je vous informerais, comme je l’ai fait pour Madame, du travail qui peut être entrepris en Médiation Familiale, de ses possibilités et de ses limites.
Ceci afin que la décision d’entreprendre ou non cette Médiation repose sur une information objective.
Je vous prie de bien vouloir prendre contact au,…, pour convenir d’un rendez-vous.
Dans l’attente de vous rencontrer, je vous prie d’agréer, Monsieur, l’expression de mes salutations distinguées.

Madame,…,
Médiatrice Familiale.


Mon premier entretien avec Madame,…, c’est très bien passer. Elle ma expliquer en quoi consistait la Médiation. Mais elle ma aussi préciser à deux ou trois reprises, que malheureusement, mon épouse était trop attachée à sa famille, pour tenter quoi que ce soit pour sauver son couple avec ses enfants, et que notre futur entretien s’annonçait difficile.

Je voudrais avant de continuer sur le même sujet, dire et préciser, que cette séance de Médiation, je l’avais déjà proposer à mon épouse depuis le début de notre séparation, mais elle me là toujours refuser. Pourtant je me souviens très bien lui avoir dit :
« - Tu sais Elisabeth, ce sont des gens qui sont former pour et don c’est le métier, non pas de résoudre nos problèmes mais d’en écouté au moins en partie la raison, et peut-être qu’avec un peu de temps, toi et moi, nous réussirons à apaiser ce climat bien trop tendu et nous laisserons, j’en suis sûr, la place à un vrai dialogue constructif ».

Notre second entretien à l’Association Atlantique Espace Rencontre Famille, avec Madame,…, pour notre séance de Médiation (a trois), à eu lieu le jeudi 3 novembre 2005.
Ma femme est arriver accompagnée de son amant, Fabrice, dans une Peugeot 206 grise, appartenant à Franck, le meilleur ami de l’amant d’Elisabeth, et ils se sont garés à quatre emplacements d’où mon véhicule était stationner.
Bien évidemment, notre entretien à tourner cour, et Madame,…, la Médiatrice Familiale, nous à dit que les séances de médiations ne nous serviraient à rien, car notre problème était bien trop conflictuel, et qu’ils fallaient que nous nous entretenions avec nos Avocats.
Madame,…, a dit à mon épouse en parlant de son amant, qu’elle mettait la charrue avant les bœufs, que ce qu’elle faisait ne se faisait pas. Qu’elle avait vraiment tort de se comporter de cette manière, surtout par rapport à nos trois enfants. Nos enfants devaient passés pour l’un comme pour l’autre en priorité. Madame,…, se devait de lui faire rappeler la loi, et que jusqu’au prononcé définitif de notre divorce, elle me devait ; devoir de fidélité et de secours (tout comme moi, d’ailleurs). Moi aussi, je le lui avais dit par téléphone, mais ma femme m’avait répondu :
« - Et mon cul ! Alors… ».
Quand à moi, Madame,…, ma reprocher d’avoir toujours autant de sentiments pour mon épouse, elle ma dit ne jamais avoir rencontrer quelqu’un qui pouvait aimer une autre personne autant que moi, que je devrais peut-être me faire soigner à ce sujet, mais est-ce que l’amour est un mal que l’on peut soigner, sans qu’il vous laisse des séquelles indélébiles ? Que ma femme, ne me conviendrait peut-être plus dans la vie d’aujourd’hui, parce qu’elle avait peut-être changer et n’était peut-être plus la même femme que j’avais connu. Pendant tout notre entretien, Elisabeth, voulait se faire passée pour une victime, elle le lui à même dit, verbalement. Alors que moi, je cherchais du mieux que je pouvais, une solution pour que nous puissions faire la paix. A deux reprises ma femme a fait mine de se lever de son fauteuil et prendre son blouson pour partir, simplement parce qu’elle n’était pas du même avis que Madame,…, la Médiatrice Familiale.

Quoi qu’il en soit, cette tentative de Médiation, na été qu’une perte de temps pour tout le monde. Ma femme qui dit à qui veut bien l’entendre, (sûrement pour se donner une bonne conscience, et pour de nouveau se faire passer pour une femme qui na rien à se reprocher), qu’elle voudrait que tout se passe autrement, ne fais et continue à ne faire que l’inverse de ce qu’elle dit. Certaines de ses réactions sont vraiment étonnantes, parfois agaçantes ou franchement bizarres. Mais ce qui m’inquiète le plus dans tout çà, c’est qu’elle se persuade elle-même que tout est bien, que tout est normale. Madame,…, nous à pourtant bien dit que si nous continuons dans ce sens, nous risquions fortement de nous retrouvés tout les deux devant un Juge, et que celui-ci n’hésiterait pas à placer nos enfants à la DASS ou dans une famille d’accueille, afin de mettre nos enfants à l’abri de notre procédure de divorce (à haute densité conflictuel).

J’aimerais pouvoir lui poser clairement certaines limites qu’elle ne devrait pas franchir, afin qu’elle puisse éprouver un temps soit peu mon degré de patience et de saturation. Elle ment (à nos trois enfants, tout comme à moi), avec un tel aplomb, que tout cela en devient déconcertant. De notre histoire, elle s’en arrange toujours à sa manière et je devrais me taire pour ne gêner personne, mais entre ses affabulations et ses énormités, ma femme en oublie l’importance des faits et de toutes ses conséquences psychoaffectives de nos trois enfants.
Par la suite, j’ai fait part de l’échec de notre séance de Médiation à mon Avocate, qui na pas été véritablement surprise du résultat.
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 23:37

*Samedi 15 Octobre 2005…

C’est précisément à cette date, que ma femme ma communiquer et ce, pour la première fois, depuis son départ de notre domicile le samedi 7 août 2004, son numéro de téléphone portable afin que les enfants puissent, s’ils le désiraient communiquer avec elle. Ce jour, les enfants et moi, étions au cinéma, nous étions venus voir le nouveau film de Zorro. Je peux même préciser qu’il était exactement 18h25 lorsque ma femme ma laisser son numéro de téléphone portable sur ma messagerie.


*Courant Novembre 2005…

Ce n’est pas tant de savoir que ma femme (serait ?) enceinte, de Fabrice, son amant, qui m’inquiète le plus. Malgré que là encore, mon épouse ni tout en bloc. Même si mes trois enfants me disent qu’en ce moment leur maman déboutonne toujours le haut de son pantalon pour ne pas avoir mal au ventre, et que son ventre grossi un peu… Que la semaine dernière ils avaient été chez le Docteur ensemble, et que dans les pièces voisines à la leur, il y avait des Dames qui passaient des écographies :
« - Tu sais papa, comme pour nous, avec du gel sur le ventre ». Me confirma mon fils, Alexandre.
Je voudrais savoir pourquoi elle dit aux enfants qu’elle doit se faire opéré d’un kist aux ovaires si ce n’est pas vrai ? Ma femme leur a même dit qu’à la veille de son opération elle devait boire (quelque chose) pour aider le Docteur lors de son intervention chirurgicale. Ne ce serait-elle pas fait avorter ??? Où était-il trop tard ??? L’avenir me le dira.
Ce qui m’interpelle, beaucoup plus c’est que Julien et Anaïs montre tout les deux des signes flagrant de ipso facto, c'est-à-dire qu’ils éprouvent tous les deux une peur d’être frappé, à chaque mouvement un peu trop vif de la part de n’importe qui se trouvant prés d’eux les conduits à mettre leurs deux bras en position de protection de leur visage. Je ne veux rien insinué mais cela me choque. Tout comme le comportement de l’amant de ma femme, parce que de nouveau ma fille, Anaïs m’avait réclamer :
« - Puisque tu veux aller rejoindre ton père je t’y emmène ! ».
Prenant ma fille sous son bras, fessant un petit tour en voiture, lui dire qu’il s’était trompé de chemin, et qu’il ne se rappelait plus ou son papa habitait. Que de retour dans la maison de ma femme, mon épouse, étant dans touts ses états lui demande de ne plus lui faire ce coup là. Ou, mon fils, Alexandre, qui se confie à sa mamie les yeux remplis de larmes :
« - Tu sais mamie, maman ne comprends rien, et moi, je préfère mourir que de continuer à vivre dans cette situation. J’aimerais tellement que papa et maman revienne ensemble. C’est pas la place de Fabrice que d’être à côté de maman, c’est la place à papa ».
Ou encore ma femme qui certifie à mon autre fils, Julien, que c’est tout à fait normal qu’elle face l’amour avec son amant ! Et mon fils lui répond, ce n’est pourtant pas notre papa…
Les signes de tristesse de mes trois enfants, leur attitude de crainte, leur comportement parfois agressif même entre eux, leur langage qui change en propos grossiers et leur aspect souvent négligé, tout comme la connaissance détaillée du comportement sexuel inapproprié à l’âge (de 7 ans, pour Julien), tout comme la fois ou j’ai trouvé dans le cartable de mon fils, Alexandre, un livre sur la pratique sexuelle des hommes et des femmes accompagné de photos (un homme tout nu portant sur ses épaules un enfant tout nu, et autres contenus explicite), se livre décrivait les positions de la femme et de l’homme dans leur rapport sexuel, je ne trouve pas que ce genre de livre soit en rapport avec l’âge de mon fils, Alexandre. Toutes ces choses me mettent dans un état d’alerte perpétuelle que mon épouse ne voie pas, ou fait semblant de ne pas voir. Le plus difficile pour moi, c’est que je ne peux même pas lui en parler, parce que toute sa famille continue à lui conseiller de ne pas rentrer en communication avec moi. Se rend t-elle compte à quel point notre situation dégénère et que, quelque part, nos enfants en prennent vraiment conscience, quel vont en être vraiment des séquelles pour nos trois enfants ?
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 23:38

*Noël 2005…

Je suis très heureux et ma joie est aussi grande que celle de mes trois enfants. Car cette année, les enfants et moi, nous avons pu passés le réveillon de Noël ensemble. Cette soirée a eu lieu (en famille) chez mon oncle Gérard à Paris. Autant vous dire que mes trois enfants ont été reçus comme des Rois, ils ont été gâtés en tout. Quand je dis çà, comprenez en chocolats, en vêtements, en jeux et jouets tout aussi divers que variés. Mais pas un seul de mes enfants n’a voulu téléphoner à leur mère pour lui souhaité un bon Noël, pourtant je peux vous certifié que j’ai demander aux enfants de lui téléphoner.
Ce n’est que le lendemain, qu’ils ont parlé au téléphone avec leur mère, mais il a fallut que je me fâche un peu pour qu’ils l’appellent. Je l’ai dit à ma femme, mais je ne pense pas qu’elle m’est cru.
Bien au contraire, car les enfants ne m’ont jamais téléphoner pour me souhaité la (nouvelle année), et encore moins pour me souhaité mon anniversaire du 16 janvier dernier. Mais qu’importe du moment que je reste dans le cœur de mes enfants… Mon fils, Alexandre, c’est débrouillé tout seul pour m’envoyer une carte postale à partir de son nouveau téléphone portable, je l’ai reçu le 17 janvier 2006 :
« - Bonne anniversaire, papa ».
Ce qui ma énormément touché et j’ai ressenti un immense plaisir. Vous savez, je vais vous avouer quelque chose que je n’ai dit qu’à très peu de personne, je communique depuis plusieurs mois (secrètement) avec mes enfants, je ne dirait pas ou ni comment pour des raisons évidentes. Bien sûr que ma femme ne le savait pas, maintenant elle le sait. D’ailleurs, c’est de cette manière que j’ai pu avoir une photo de l’amant de ma femme entre mes mains. Je n’ai pas obtenu le portrait de l’amant de ma femme en fouillant comme il a été dit, dans les affaires de ma fille, Anaïs. Bien souvent les gens parlent sans savoir, c’est plus fort qu’eux.
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 23:39

CONCLUSIONS EN REPLIQUE ET RECONVENTIONNELLES :


*audience de mise en état du 10 janvier 2006
N°RG : 04/04617

A Madame le Président prés la 5ème chambre C,
du Tribunal de Grande Instance de Nantes.


POUR :

Monsieur Pascal Dague,

Ayant pour Avocat constitué, Maître Franck RIOUFOL, Avocat au Barreau de Nantes.

Ayant pour Avocat plaidant, Maître Laure Tric, Avocat au Barreau de Paris.


CONTRE :

Madame Elisabeth,…, épouse Dague.

Ayant pour Avocat constitué, Maître,…, Avocat au Barreau de Nantes.


*Plaise au Tribunal.

Par acte d’huissier signifié le 28 octobre 2004, Madame,…, épouse Dague a délivré à l’encontre de Monsieur Pascal Dague, une assignation en divorce pour faute sur le fondement de l’article 242 du Code Civil (ancien).
C’est dans ces conditions que l’affaire revient aujourd’hui par devant le Tribunal de céans.


*Faits et procédure.

Monsieur Pascal Dague et Madame Elisabeth,…, ont contracté mariage devant l’Officier d’Etat civil de la Mairie de Tremblay en France, le 27 octobre 2001.
De cette union sont issu trois enfants :
Anaïs Dague.
Julien Dague.
Alexandre Dague.

Le 7 août 2004, Madame Elisabeth Dague quittait le domicile conjugal situé à Sainte Marie de Redon (35600), avec les trois enfants du couple, sans en avertir son époux, et sans en avoir été autorisé par l’autorité judiciaire.
Elle portait plainte le lendemain à l’encontre de son mari, qui était interpellé par les services de Gendarmeries puis relâché.
Madame Elisabeth Dague déménageait du domicile conjugal toutes ses affaires ainsi que celles des enfants, alors que Monsieur Pascal Dague se trouvait en garde à vue à la Gendarmerie de Redon.
Le 23 août 2004, Madame Elisabeth Dague, déposait une requête en divorce pour faute à l’encontre de son époux, Monsieur Pascal Dague.
Elle ne communiquait pas sa nouvelle adresse et ne donnait aucun signe de vie à son époux. Il n’avait aucune nouvelle des enfants ni par téléphone ni par courrier.
Le 11 octobre 2004, Madame le Juge aux Affaires Familiales prés du Tribunal de Grande Instance de Nantes rendait une ordonnance de non conciliation rédigée en ces termes pour ce qui concerne le droit de visite et d’hébergement sur les trois enfants mineurs du couple ;
Disons que l’autorité parentale sur les enfants est exercée en commun par les deux parents. Fixons la résidence habituelle des enfants chez la mère. Compte tenu d’une plainte pénale déposée par Madame Elisabeth Dague pour des faits d’agressions sexuelles sur mineurs de moins de quinze ans par ascendant et jusqu’à plus ample informé sur ce point, disons que le droit de visite du père s’exercera au point de rencontre de l’UDAF 44,…, 44100 – Nantes, à charge pour la mère de conduire et de reprendre les enfants aux heures fixées par les intervenants du point rencontre, DEUX FOIS PAR MOIS, SANS SORTIE, entre 15 heures et 16 heures, et ce, jusqu’à nouvelle décision.

De plus, une enquête sociale et une expertise psychiatrique sur les membres de la famille étaient ordonnées. Par acte d’huissier en date du 28 octobre 2004, Madame Elisabeth,…, épouse Dague assignait Monsieur Pascal Dague en divorce pour faute.
Par conclusions d’incident du 14 décembre 2004, et rectificatives du 25 février 2005, Monsieur Pascal Dague saisissait le Juge de la mise en état aux fins d’élargir le droit de visite et d’hébergement accordé dans le cadre de l’ordonnance de non conciliation. L’enquête sociale et les rapports d’expertise psychologique étaient en effet favorables au père qui voyait les plaintes pénales déposées par son épouse classées sans suites.
Par ordonnance du 22 mars 2005, le Juge de la mise en état accordait un droit de visite de Monsieur Pascal Dague sur ses enfants de la manière suivante ;
les 1er, 3ème, et 5e dimanches du mois, de 9 heures 30 à 19 heures, pendant un mois, en présence des grands-parents paternels.
Jusqu’aux grandes vacances 2005 ;
les 1er, 3ème et 5e week-end du mois, du samedi sortie des classes, au dimanche 19 heures.
Durant les grandes vacances ;
les deux premières semaines de juillet et les deux premières semaines d’août.
Après les vacances d’été ;
les 1er, 3ème et 5ème fins de semaine de chaque mois du vendredi ou samedi à la sortie des classes au dimanche 19 heures.
La première moitié des petites et grandes vacances scolaires de plus de cinq jours les années impaires.
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 23:41

La deuxième moitié des petites et grandes vacances scolaires de plus de cinq jours les années paires.
C’est dans ces conditions qu’il est demandé au Tribunal de céans de débouter Madame Elisabeth Dague de toutes ses demandes, fins et conclusions, et de prononcer le divorce aux torts exclusifs de celle-ci.

D’autres part, Monsieur Pascal Dague sollicite que lui soit attribuée la garde de ses deux fils, Alexandre et Julien.


*Discussion.

(sur le prononcé du divorce et l’attribution des torts).
Sur l’absence de torts du mari.

Le Tribunal de céans ne pourra que débouter Madame Elisabeth Dague de sa demande en divorce aux torts exclusifs de Monsieur Pascal Dague.
En effet, Madame Elisabeth Dague fonde son assignation en divorce pour faute sur les griefs énoncé dans la requête initiale à savoir ;

- l’exigence et l’autorité de Monsieur Pascal Dague envers son épouse.
- la multiplication des scènes de ménage, violences verbales, et de propos blessants envers son épouse.
- le problème d’alcool de Monsieur Pascal Dague.
- une agression physique au cours de laquelle Monsieur Pascal Dague aurait frappé son épouse.

Cependant, le Tribunal ne pourra que rejeter la demande de Madame Elisabeth Dague, la preuve des faits reprochés n’étant nullement rapportée.
En effet, en premier lieu, il convient de rappeler que toutes les plaintes pénales dirigées à l’encontre de Monsieur Pascal Dague pour des faits d’attouchements sexuels sur les enfants ou violences ont été classées sans suites.
En second lieu, les allégations concernant l’alcoolisme habituel de Monsieur Pascal Dague sont parfaitement fausses. Monsieur Pascal Dague n’a d’ailleurs pas hésité à se soumettre à toutes les analyses sanguines susceptibles de démontrer qu’il ne consomme aucune drogue ni alcool.

Les attestations produites aux débats par Madame Elisabeth Dague doivent être examinées avec les plus grandes réserves. Elles émanent presque exclusivement de la famille de Madame, qui n’a jamais pu supporter Monsieur.
En effet, elles sont de pure complaisance, notamment celles de Madame,…, qui est la meilleure amie de Madame Elisabeth Dague.
Les attestations versées aux débats par Monsieur Pascal Dague sont d’ailleurs un élément supplémentaire permettant de douter légitimement de la véracité des attestations produites par la demanderesse.
En conséquence, il est demandé au Tribunal de céans de débouter purement et simplement Madame Elisabeth Dague de sa demande aux torts exclusifs de Monsieur Pascal Dague.


(sur la demande reconventionnelle du prononcé du divorce aux torts exclusifs de Madame Elisabeth Dague).

Il est demandé au Tribunal de céans de prononcer le divorce des époux,…, Dague, aux torts exclusifs de l’épouse, Madame Elisabeth Dague.
En effet, celle-ci a adopté une attitude rendant intolérable les liens du mariage. Madame Elisabeth Dague avait un comportement irascible et violent. Monsieur Pascal Dague a pourtant tout tenté pour sauver son couple. De plus, Madame Elisabeth Dague n’a pas manqué d’installer son nouveau compagnon à son domicile alors que l’ordonnance de non conciliation n’avait pas encore été prononcée. Elle a en réalité quitté son mari pour un autre homme avec lequel elle vit depuis.
Ces comportements constituent autant de fautes rendant intolérable le maintien de la vie commune des époux. En conséquence, il est demandé au Tribunal de céans de prononcer le divorce des époux Dague aux torts exclusifs de l’épouse, Madame Elisabeth,…, épouse Dague.


*Sur les effets du divorce entre époux.


(sur la date d’effet du divorce entre les parties).

Conformément aux dispositions de l’article 262-1 du Code Civil (ancien), il y a lieu de reporter à la date du 28 octobre 2004, jour de l’assignation, les effets du divorce à intervenir dans les rapports entre époux.


(sur l’usage du nom du conjoint par l’épouse).

Monsieur Pascal Dague ne s’oppose pas à l’usage par Madame Elisabeth,…, épouse Dague de son nom d’épouse.


(sur les conséquences patrimoniales du divorce).
Sur la liquidation du régime matrimonial.

Les époux,…, - Dague ne sont propriétaires d’aucun bien immobilier en commun. Le domicile conjugal, bien de location situé à Sainte Marie de Redon (35600), a été restitué et n’est plus occupé ni par Madame, ni par Monsieur. Les biens mobiliers du couple, que l’on peut évaluer à la somme forfaitaire de 1.500 euros, ont été par la force des choses partagés à l’amiable entre les époux, lorsque Madame Elisabeth Dague a quitté le domicile conjugal, en emportant une partie du mobilier du couple.
Cependant, de nombreuse dettes du couple ayant été réglées exclusivement par Monsieur Pascal Dague (impôts, taxes, arriérés de loyers), il convient d’ordonner la liquidation du régime matrimonial et des intérêts pécuniaires des époux, et commettre pour ce faire Monsieur le Président de la Chambre Départementale des Huissiers.


(sur la prestation compensatoire).

Les époux percevant sensiblement les mêmes revenus, et exerçant tous deux une activité professionnelle, il ne sera alloué de prestation compensatoire à aucun d’entre eux. En effet, Monsieur Pascal Dague, a débuté un emploi de responsable de magasin de Prêt-à-porter. Il devrait percevoir un salaire mensuel d’environ 1.000 euros nets.
Madame Elisabeth Dague, coiffeuse, perçoit un revenu équivalent. Il n’y à donc pas lieu à condamner l’un des époux à verser une quelconque somme à titre de prestation compensatoire à l’autre.
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 23:42

*Sur les effets du divorce pour les enfants.

Monsieur Pascal Dague entend solliciter la garde de ses deux fils, Alexandre et Julien.
Depuis quelques mois, Monsieur Dague a fixé sa résidence à Redon (35600). Ce déménagement lui a permis de se rapprocher du nouveau domicile de ses enfants, et de leur éviter ainsi les allers-retours. Monsieur Pascal Dague entend demander que lui soit confiée la garde de ses deux fils. Les enfants sont demandeurs d’une telle mesure.
C’est eux qui souhaitent vivre chez leur père. S’agissant de deux garçons âgés de 7 ans et 11 ans, il est naturel qu’ils veuillent demeurer auprès de leur père. Il est en effet constant que des petits garçons de 7 ans et plus ont souvent besoin de la présence paternelle pour se forger en tant qu’homme. Tel est le cas en l’espèce.

D’autre part, Madame Elisabeth Dague ne laisse jamais les enfants téléphoner à leur père et ne répond pas aux appels de celui-ci. Elle a d’ailleurs confisqué le portable que Monsieur Dague avait acheté pour son fils, Alexandre. En outre, elle ne donne pas de nouvelles des enfants à leur père. C’est ainsi que Monsieur Dague a appris complètement par hasard que sa fille, Anaïs, avait eu la clavicule cassée.
De même, il est rappelé que Madame Elisabeth Dague vit depuis de nombreux mois avec son amant au domicile avec les enfants. Ceux-ci n’apprécient d’ailleurs guère le nouveau compagnon de leur mère et se sentent délaissés par leur maman. Ils ont à plusieurs reprises tenues des propos assez choquants sur l’attitude que leur mère pouvait avoir devant eux avec son amant.
Monsieur Pascal Dague est très inquiet pour le devenir de ses enfants qui ne sont pas heureux auprès de leur mère et qui souhaitent vivre avec leur père.
*Concernant Alexandre et Julien.

Aussi, il est demandé au Tribunal de céans de fixer la résidence des enfants Alexandre et Julien au domicile de leur père et de fixer un droit de visite et d’hébergement au profit de leur mère comme suit, à défaut de meilleur accord entre les parents ;

- les 1er, 3ème et éventuellement 5ème fins de semaine, du vendredi soir 18 heures, à charge pour la mère de déposer les enfants à l’école le samedi matin si le règlement intérieur l’impose, au dimanche soir 17 heures.
- Pendant la première moitié des petites et des grandes vacances scolaires les années paires et la deuxième moitié les années impaires.

Il est également demandé au Tribunal de préciser que le rang (1ère, 3ème, 5ème) des fins de semaine considérées est déterminé par le rang du samedi dans le mois. De plus, les fins de semaines considérées incluront les jours fériés les précédant et/ou les suivant.
La mère devra venir chercher ou faire chercher les enfants au domicile de Monsieur Pascal Dague et l’y reconduire ou faire reconduire à l’issue. Enfin, pour l’entretien et l’éducation d’Alexandre et Julien, Madame Elisabeth Dague versera au père une pension mensuelle d’un montant de 160 euros, soit 80 euros par enfants.
Monsieur Pascal Dague demande également que ces pensions alimentaires soient dues jusqu’à la fin des études secondaires ou universitaires, si ces études sont poursuivies au-delà de la majorité, ou si l’enfants n’a pas de travail, ou au moins un travail rémunéré à 50% du SMIC, et s’ils sont toujours à la charge effective de l’autre parent.
En ce cas, il devra être justifié de la situation de l’enfants au moins une fois par an au début de l’année scolaire (par fourniture des certificats de scolarité, bulletins de salaire, etc …).


*Concernant Anaïs.

Anaïs, qui est plus petite, a encore besoin de la présence maternelle et pourra voir son père selon un droit de visite classique les 2ème et 4ème fins de semaine de chaque mois, à charge pour le père d’aller chercher l’enfant au domicile de la mère et de l’y ramener. Ainsi, la fratrie sera réunie chaque week-end chez l’un ou l’autre des parents, ainsi que pendant toutes les vacances scolaires.
En outre, Monsieur Pascal Dague pourrait verser à Madame Elisabeth Dague une pension alimentaire d’un montant de 80 euros au titre de l’entretien et l’éducation de sa fille, dans les mêmes conditions que la mère.


*Sur l’enquête sociale et l’audition des enfants.

Pour le cas ou le Tribunal l’estimerait nécessaire, il pourrait ordonner une nouvelle enquête sociale et psychologique ou psychiatrique, ce qui permettrait de confirmer la volonté des enfants de vivre avec leur père.
*Sur la demande de dommage et intérêts.

Madame Elisabeth Dague a quitté le 7 août 2004 le domicile conjugal du jour au lendemain en emmenant les enfants sans laisser d’adresse. Monsieur Pascal Dague est resté plus de deux mois sans avoir aucune nouvelle de ses enfants. Il faut imaginer le désarroi de cet homme qui rentre chez lui à l’issue d’une garde à vue (procédure ayant abouti à un classement sans suite) et trouve la maison vide.
Pendant plus de deux mois, il n’a même pas pu téléphoner à ses enfants. Il ne savait d’ailleurs pas ou ils demeuraient.
Pis encore, Madame Elisabeth Dague a déposé plainte pour violences sur sa personne et atteinte sexuelle sur l’un de ses enfants, à l’encontre de Monsieur Pascal Dague, le même jour, et a déménagé ses affaires pendant la durée de la garde à vue de son mari. Cette plainte a été classée sans suite, tout comme celle qui a été déposée quelques mois plus tard. Madame Elisabeth Dague a d’ailleurs indiqué qu’elle savait que les prétendues révélations de l’enfant étaient fausses.
Elle souhaitait en définitive rompre avec son mari. Elle l’a fait d’une manière sordide, mêlant les enfants au conflit parental.
Comme il a été indiqué ;
- Madame Elisabeth Dague les a emmenés à la Gendarmerie pour déposer contre leur père.
- Elle leur a fait fuir la maison.
- Elle leur a interdit de communiquer avec leur père pendant plus de deux mois et multiplie les refus de laisser les enfants appeler ou écrire à leur père alors qu’elle les a privés de lui subitement.
- Elle les a obligés, en maintenant la plainte qu’elle savait fausse, à le voir ultérieurement dans un lieu neutre.

Cette attitude est inadmissible et la Justice ne saurait cautionner un tel comportement. Madame Elisabeth Dague ne s’est pas fait autoriser par un Juge à quitter le domicile conjugal. Elle est partie dans les conditions précitées qui méritent d’être sanctionnées.

Elle sera condamnée à verser à Monsieur Pascal Dague la somme de 10.000 euros au titre de l’article 1382 du Code Civil.


*Sur la demande au titre de l’article 700 du NCPC.

La présente action entraîne pour le requérant des frais irrépétibles, non compris dans les dépens, qu’il serait inéquitable de laisser à sa charge.
Il est demandé en conséquence au Tribunal de condamner Madame Elisabeth,…, épouse Dague à payer à Monsieur Pascal Dague, la somme de 3.000 euros au titre de l’article 700 du Nouveau Code de Procédure Civile.
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 23:43

PAR CES MOTIFS :

*Il est demandé à Madame le Juge aux Affaires Familiales de ;

- Prononcer le divorce d’entre les époux DAGUE - …, aux torts exclusifs de Madame Elisabeth,…, épouse Dague.
- Fixer au la date des effets du divorce entre époux au 28 octobre 2004.
- Ordonner la liquidation et le partage des intérêts patrimoniaux des époux.
- Commettre Monsieur le Président de la Chambre des Notaires avec faculté de délégation pour procéder à la liquidation du régime matrimonial : commettre l’un de Messieurs les Juges pour surveiller les opérations de liquidations.
- Dire que Messieurs les Notaire et Juge ainsi commis seront, en cas d’empêchement ou de refus, remplacés par ordonnance rendue sur requête.
- Dire et Juger qu’il n’y a pas lieu à liquidation, (partage des intérêts patrimoniaux des époux).
- Dire et Juger qu’il n’y a pas lieu à versement d’une prestation compensatoire.
- Dire que l’autorité parentale sur les enfants mineurs du couple ; Alexandre, Julien et Anaïs sera exercée conjointement par les parents.
- Fixer la résidence d’Alexandre et de Julien au domicile de Monsieur Pascal Dague.
- Fixer un droit de visite et d’hébergement au profit de la mère, pour Alexandre et Julien, sauf meilleur accord des parents, comme suit ;

- les 1ère, 3ème et éventuellement 5ème fins de semaine, du vendredi soir 18 heures, à charge pour la mère de déposer les enfants à l’école le samedi matin si le règlement intérieur l’impose, au dimanche soir 17 heures.
- Pendant la première moitié des petites et des grandes vacances scolaires les années paires et la deuxième moitié les années impaires.
- A charge pour la mère et à ses frais d’aller chercher et reconduire les enfants soit par elle-même, soit par toute autre personne honorable munie d’un pouvoir régulier, à la résidence du père.


*Précisant au surplus que…

Si un jour férié précède ou suit la fin de semaine en la prolongeant, il profitera à celui des parents qui héberge les enfants cette fin de semaine.
Par dérogation à cette réglementation, le père aura les enfants pour le dimanche de la Fête des Pères dès le samedi à 18 heures et la mère pour le dimanche de la Fête des Mères dès 18 heures.
Que les dates de vacances à prendre en considérations sont celles de l’Académie dont dépend l’établissement scolaire de l’enfant et que la moitié des vacances scolaires est décompté à partir du 1er jour de la date officielle des vacances.

- Fixer la résidence d’Anaïs au domicile de Madame Elisabeth Dague.
- Fixer un droit de visite et d’hébergement au profit du père, pour Anaïs sauf meilleur accord des parents, comme suit ;

- les 2ème et 4ème fins de semaine, du vendredi soir 18 heures, à charge pour le père de déposer l’enfant à l’école le samedi matin si le règlement intérieur l’impose, au dimanche soir 17 heures.
- pour la première moitié des petites et grandes vacances scolaires les années impaires et la deuxième moitié les années paires.
- A charge pour le père et à ses frais d’aller chercher et reconduire l’enfant soit par lui-même, soit par toute autre personne honorable munie d’un pouvoir régulier, à la résidence de la mère.

- Dire que Madame Elisabeth,…, devra verser au titre de sa contribution à l’entretien et à l’éducation de ses enfants, Alexandre et Julien, la somme de 80 euros par mois et par enfant, soit la somme de 160 euros par mois pour les deux enfants.
- Dire que Monsieur Pascal Dague devra verser au titre de sa contribution à l’entretien et à l’éducation de son enfant, Anaïs, la somme de 80 euros par mois.
- Dire que ces sommes seront indexées sur l’indice INSEE de la consommation des ménages, série parisienne.
- Dire que ces sommes seront dues jusqu’à la fin des études secondaires ou universitaires, si ces études sont poursuivies au-delà de la majorité, ou si l’enfant n’a pas de travail, ou au moins un travail rémunéré à 50% du SMIC, et s’il est toujours à la charge effective de l’autre parent, en ce cas il devra être justifié de la situation de l’enfant au moins une fois par an au début de l’année scolaire (par fourniture des certificats de scolarité, bulletins de salaire, etc…).
- Condamner Madame Elisabeth,…, au paiement de la somme de 10.000 euros à titre de dommages et intérêts sur le fondement de l’article 1382 du Code Civil.
- Condamner Madame Elisabeth,…, au paiement de la somme de 3.000 euros sur le fondement de l’article 700 du NCPC.
- La condamner aux entiers dépens de l’instance dont distraction au profit de Maître Franck RIOUFOL, Avocat au barreau de Nantes.
- Assortir la décision à intervenir de l’exécution provisoire.

*Sous toutes réserves


Dernière édition par le Mer 28 Mar - 23:50, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 23:44

Le Juge aux Affaires Familiales a fixé un délai à mon épouse au 14 mars 2006 pour qu’elle puisse conclure en réponse.

On pourrait croire que dans ses débuts une histoire d’amour bénéficie forcément d’un certain état de grâce. C’est faux, et je le prouve de nouveau ; ils nous à fallût qu’une seule seconde pour tomber amoureux l’un de l’autre. En amour, ce n’est pas le but qui importe, c’est la générosité qu’il partage entre deux êtres aimer, qui à le plus d’importance. Ce qui est vraiment formidable, c’est de se dire que quoi qu’il arrive nous resterons unis pour l’éternité. L’amour mérite les plus grands égards se rapportant à notre histoire, tout comme les masques n’ont pas leur place en amour.

Autrefois, comme on se mariait pour la vie, l’art conjugal consistait à partager et à entretenir ce lien familial si précieux à mes yeux. N’importe quelle femme, n’importe quel mari, surtout avec des enfants en bas âges, se battaient sans relâche même contre leurs proches pour défendre leur petite famille, ainsi ils arrivaient à protéger leur bien le plus cher sans que personne ne parvienne à les déstabilisés ou à les déchirés, afin de les faire romprent. Moi, je suis tout à fait disposer à modifier la position dans laquelle on ma mit, sans rien me demander. Je suis prêt à faire toutes sortent de concessions et même d’avantage encore, même si pour cela je devais défier le Diable en personne.

L’homme n’est ni bon ni mauvais, ce qui le distingue de l’être de qualité de l’être ordinaire, c’est le sens qu’il donne aux valeurs de la vie…
Même si je me rends compte que parfois ma perception des choses est perçue comme étant excessive, j’ai tout de même l’audace de croire pour mes enfants en une terre bénit, fertile en amour, imprégné d’une unique tendresse, pouvant ainsi maintenir un certain équilibre parentale, face au devenir de nos trois enfants. Si ma femme voulait vraiment s’en donnait la peine, (puisqu’elle affirme que nos enfants, sa vaut tout l’or du monde), elle agirait sans effort de la façon la plus juste et la plus adapté aux circonstances, pour que tout aille pour le mieux.
Mais c’est en toute spontanéité qu’elle exerce le contraire, principe premier qui embrasse toutes choses et engendre quoi qu’elle en dise, tous nos problèmes et conflits actuels. Pourquoi mon épouse continue-t-elle à se laisser contaminer par l’agitation des personnes qui l’entours ? Alors que ces mêmes personnes sont à redouter, pire que la peste, elle vous (bouffe) comme la cangraine et ne vous laisse aucune chance de survie.
Je ne peux certes d’écrire la meilleure façon d’aimer ou d’éduquer nos propres enfants, je peux juste dire qu’il faut être présent à leur côtés, montrer que nous sommes là, à leur écoute, ne pas démissionné face à ses responsabilités et ne jamais s’éloigné d’eux. Je ne voudrais pas crier ma peur ou sursauter de mes doutes, mais vu la tournure que prennent les événements, je me sens obliger et forcé à me pauser des tas de questions en ce qui concerne nos trois enfants. Ce n’est pas parce que l’amant de ma femme est chaque jour présent, dans la maison de mon épouse, qu’il faut qu’elle en oublie de prendre nos enfants, de temps en temps dans ses bras comme quand ils étaient petits, (il faut que l’amant de ma femme apprenne à partager, ce qui est loin d’être une chose facile pour lui), ils ont encore besoins de ces petites bouffées de tendresse que seule une maman peut donner à ses enfants en l’absence de leur papa.

A partir du moment ou ma femme ne ce sens pas capable de s’impliquer d’avantage, afin que nos trois enfants puissent retrouver leurs deux parents, sachant que nous avons à la porter de nos mains ; LA SOLUTION pour sauver notre petite famille… Que dire avec autant de croyance et de conviction :
« - Je suis une mère de famille avec trois enfants avant toute chose… Je ne suis pas une femme à prendre ».
Soit réellement un exemple qu’elle donne à nos enfants, j’ai plutôt l’impression qu’elle se moque de leur innocence. Ma femme éparpille nos sentiments et se laisse orienter par la frénésie ambiante de tous ses proches, je me demande si elle s’en rend vraiment compte ? Je souhaite tellement qu’elle puisse éliminer peu à peu (les mauvais conseils qu’on lui donne), pour pouvoir enfin se concentrer sur l’essentiel ; notre famille.

Qu’on ne s’y trompe pas, toute forme de vie implique deux mouvements opposés qui nous font avancés. Chacun de nous n’existe qu’en fonction de l’autre et chacun de nous est voué à se transformer en son contraire, mais faut-il pour autant privilégier la non réceptivité et les mauvaises facultés d’adaptations de l’autre, avant de se convaincre soi-même quand cas de conflit ; j’écoute attentivement et je réfléchis avec pondération. Est-ce la meilleure façon d’intervenir plus efficacement sur n’importe quel événement, n’importe quelle situation ? Je ne sais pas, je ne sais plus.
Lorsque les circonstances le requièrent, moi, je garde le profils bas, sans me sentir frustré ni diminué, je sais que savoir rester à sa place quand il le faut, n’est pas synonyme de ramper, mais je veille toujours à y mettre les formes. Tout comme je prête beaucoup d’attention à tous ce que je dis à ma femme (parce qu’elle à prit la fâcheuse habitude d’interpréter le sens contraire de toutes mes paroles). Ce qui prouve bien que le langage est un outil difficile à maîtriser, et ses dérives contagieuses.
La modestie d’une personne se calque bien souvent comme je l’ai à plusieurs fois évoqué dans ce livre, sur la primauté du geste à la parole. Tout comme la beauté du cœur n’est pas celle que l’on voie, mais bien celle que l’on ressent tout au plus profond de soi.
En observant bien (la fin d’un rêve), l’alternance des jours et des nuits que nous avons passés si prés l’un de l’autre, pensant que s’était pour toute notre vie, je m’aperçois qu’enfin de compte, rien n’ai acquis pour durer, tout comme certaines histoires ne sont probablement pas faites pour être vécu à long terme et certaines personnes, n’étant dans notre vie que des relais ayant pour charge de nous mettre sur une voie plus conforme à celle que nous croyons être la nôtre. Mais s’il est un domaine ou les inquiétudes s’expriment pour de vrai, ou les doutes se bousculent, c’est bien dans celui d’une intense relation amoureuse et dans laquelle les sentiments sont si forts, qu’ils nous font très mal quand ils nous donnent parfois l’impression qu’ils joues contre nous, (et croyez moi, je sais de quoi je parle).

*Petit message à l’attention de mon épouse ; un couple devrait être un lieu ou chacun se consume d’amour, sans avoir à se soucier de ce que (les autres), pense de nous. Personne, na le droit d’y pénétré sans y être inviter, personne.
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 23:45

CONCLUSIONS RECAPITULATIVE N°1 :


POUR :

Madame Elisabeth Dague …, née le 23 décembre 1965 à Aubervilliers, de nationalité française, sans emploi, demeurant …, 44290 – Massérac.

Aide juridictionnelle totale N°…, du 26/10/2004.

Défenderesse au principal. Demanderesse à titre reconventionnel Maître …, Avocat au Barreau de Nantes.


Contre :

Monsieur Pascal Dague, né le 16 janvier 1967 à L’Isle Adam, de nationalité française, demeurant …, 35600 – Redon.

Demandeur au principal. Défendeur à titre reconventionnel Maître Franck RIOUFOL, Avocat au Barreau de Nantes.

Avocat plaidant, Maître Laure TRIC, Avocat au Barreau de Paris.


*Plaise à Monsieur ou Madame le Juge Aux Affaires Familiales.

I – Rappel des faits et de la procédure.

Madame Elisabeth Dague, née …, s’est unie en mariage avec Monsieur Pascal Dague, le 27 octobre 2001, par devant l’Officier d’Etat civil de la Mairie de Tremblay en France.
Cette union n’a pas été précédée d’un contrat de mariage et leur régime matrimonial n’a pas été modifié depuis lors. Trois enfants mineurs sont issus de cette union, légitimés par le mariage de leurs parents :

-Alexandre Dague, né le 10 janvier 1995 à Drancy, 11 ans.
-Julien Dague, né le 14 juin 1999 à Drancy, 6 ans ½.
-Anaïs Dague, né le 31 mai 2001 au Vers Galand, 4 ans ½.

Le 23 août 2004, Madame Elisabeth Dague née …, a déposé une requête en divorce pour faute, requête enrôlée auprès du greffe, le 8 septembre 2004. Madame Dague a été convoquée devant le magistrat conciliateur, le 4 octobre 2004. Suivant l’ordonnance de non conciliation en date du 11 octobre 2004, le Juge Aux Affaires Familiales de Nantes à :

Concernant les époux :
-Autorisé les époux à résider séparément durant l’instance.

Concernant les enfants mineurs :
-Maintenu l’autorité parentale conjointe de Monsieur et Madame Dague sur leurs enfants.

-Fixé la résidence habituelle des enfants au domicile de la Mère, compte tenu d’une plainte pénale déposée par Madame Dague pour des faits d’agression sexuelle sur mineur de moins de quinze ans par ascendant, et jusqu’à plus ample informé sur ce point. Dit que le droit de visite du père s’exercera au Point Rencontre UDAF 44 à Nantes, deux fois par mois sans autorisation de sortie, entre 13 heures et 17 heures, jusqu’à nouvelle décision.

-Ordonné une enquête sociale avec entretien psychologique de la famille et commis pour y procéder l’Association de Recherche et de Prévention Sociale.

-Ordonné un examen psychiatrique des parents et commis pour y procéder le Docteur …

-Fixé à la somme de 250, 00 euros par mois, la pension alimentaire due par le père pour l’entretien et l’éducation des enfants (3x 83,33 euros).

Suivant exploit en date du 28 octobre 2004, Madame Elisabeth Dague, née …, a fait délivrer à son époux une assignation aux fins de s’entendre prononcer le divorce d’avec son époux aux torts et griefs exclusifs de ce dernier.
Monsieur Pascal Dague a régulièrement constitué avocat le 7 décembre 2004. Le Docteur …, a déposé son rapport le 11 janvier 2005. Madame …, en charge d’effectuer l’enquête sociale pour le compte de l’Association de Recherche et de Prévention Sociale, a déposé son rapport le 7 mars 2005. Par conclusion du 14 décembre 2004 et rectificatives du 25 février 2005, Monsieur Dague a saisi le Juge de la mise en état d’un incident aux fins de voir :

-Organisé à son profit un droit de visite et d’hébergement classique deux week-end par mois, du vendredi ou samedi sortie des classes au dimanche 19 heures, de même que la moitié des vacances scolaires avec alternance.

-A titre subsidiaire, dans l’attente du dépôt du rapport d’enquête sociale, organiser le droit de visite en Point Rencontre, deux samedi par mois avec sortie, de 9 heures 30 à 17 heures, en autorisant les grands-parents paternels à accompagner leur fils à ces rencontres.

Dans le cadre de ses écritures en réponse, Madame Dague née …, sollicitait en l’attente du dépôt du rapport d’enquête sociale, un droit de visite en Point Rencontre, deux samedi par mois, avec autorisation de sortie, de 10 heures 30 à 17 heures et l’organisation d’un complément d’expertise psychologique ou psychiatrique avec communication à l’Expert du dossier psychiatrique ouvert à l’Hôpital Bérenger d’Aulnay sous Bois et au CHR de Redon.

A l’audience du 1er mars 2005, l’affaire a été mise en délibéré au 22 mars 2005. Dans l’intervalle, le rapport d’enquête sociale a été déposé et communiqué aux parties pour faire valoir leurs observations en cours de délibéré. Suivant ordonnance de mise en état du 22 mars 2005, le magistrat a :

-Dit que sauf meilleur accord entre les parties, le père pourra exercer un droit de visite et d’hébergement sur la personne de ses enfants comme suit :
Les 1er, 3ème et 5ème dimanche du moi, de 9 heures 30 à 19 heures, pendant un mois, en présence des grands-parents paternels. Jusqu’aux grandes vacances de 2005 : les 1er, 3ème et 5ème week-end du mois, du samedi sortie des classes au dimanche 19 heures. Durant les grandes vacances 2005, les deux premières semaines de juillet et les deux premières semaines d’août. Après les vacances d’été 2005 : les 1er, 3ème et éventuellement 5ème fins de semaine de chaque mois, du vendredi ou samedi à la sortie des classes au dimanche 19 heures.
La première moitié des petites et grandes vacances scolaires de plus de cinq jours les années impaires. La deuxième moitié des petites et grandes vacances scolaires de plus de cinq jours les années paires.
-Dit que Madame Dague, aura la charge de conduire les enfants à la gare de Redon et à la charge pour le père de les y prendre et reconduire… ???
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 23:46

Dans le cadre de ses conclusions, signifiées le 10 janvier 2006, Monsieur Pascal Dague sollicite au principal le débouté de Madame Dague née …, de sa demande en divorce à ses torts exclusifs et se porte demandeur à titre reconventionnel, pour s’entendre prononcer le divorce aux torts et griefs exclusifs de son épouse.
Au titre des mesures accessoires concernant les époux, Monsieur Dague sollicite de s’entendre reporter la date des effets du divorce au 28 octobre 2004, de même que soit ordonnée la liquidation du régime matrimonial et des intérêts pécuniaires des époux.
S’agissant des mesures accessoires au prononcé du divorce et concernant les enfants, Monsieur Pascal Dague sollicite le transfert de la résidence habituelle de ses deux fils aînés Alexandre et Julien à son domicile, la condamnation de son épouse à lui verser à titre de pension alimentaire pour ses deux fils, la somme de 80, 00 euros par mois et par enfant. Concernant la petite Anaïs, Monsieur Dague suggère un droit de visite classique les 2ème et 4ème fins de semaine de chaque mois, et offre de régler une pension alimentaire d’un montant de 80, 00 euros pour cette enfant.
S’agissant tant des aînés que de la benjamine Anaïs, Monsieur Pascal Dague, sollicite à titre subsidiaire que soit ordonnée une nouvelle enquête sociale et psychologique.
Enfin, Monsieur Dague présente une demande de dommage et intérêts pour avoir été privé de nouvelles de ses enfants pendant plus de deux mois, et sollicite la condamnation de son épouse à lui verser la modique somme de 10. 000 euros, de même que 3. 000 euros au titre de l’article 700 du NCPC.
En réalité, ainsi que cela va être démontré, Monsieur Pascal Dague sera purement et simplement débouté de l’ensemble de ses demandes fins et conclusions.


II – *Discussion.
Section 1 : Sur le prononcé du divorce aux torts et griefs exclusifs de Monsieur Dague.
Dans sa requête initiale, de même que dans l’assignation au fond, Madame Dague née …, articule un certain nombre de griefs à l’encontre de son époux, qui sont parfaitement établis et sérieux. En effet, Madame Dague reproche à son époux de s’être montré au fil du temps, de plus en plus autoritaire et exigeant envers elle, multipliant les scènes de ménage au cours desquelles il usait de violences verbales, des propos blessants et humiliants. Ces scènes avaient notamment pour origine un problème d’alcool. Enfin, Monsieur Dague au cours d’une de ces crises, n’a pas hésité à frapper physiquement son épouse. Ces griefs sont parfaitement démontrés dans le cadre des pièces versées aux débats.
En effet, il résulte des différents témoignages que, depuis déjà quelques années, Monsieur Dague s’alcoolisait de manière habituelle et devenait extrêmement violent, y compris devant ses enfants.
Monsieur …, (Michel) et Mademoiselle …, (Nadège) se rappellent notamment qu’en mai 2003, lors d’une de ses crises, Monsieur Dague a pris un verre pour le jeter au sol et a décidé de se tailler les veines devant ses enfants. Finalement, il est parti dans la cuisine ou il s’est saisi d’un couteau. Devant l’impossibilité de le maîtriser, c’est la gendarmerie qui est intervenue. Le Maire de la commune s’est également déplacé.
Quelques mois plus tard, le 30 décembre 2003, à nouveau ivre, Monsieur Pascal Dague a tenté de se blesser au niveau du ventre avec un crayon, puis avec un couteau, il a simulé vouloir se couper un doigt. Mademoiselle …, (Anne) amie du couple, a tenté avec Madame Dague, de le maîtriser en vain. Monsieur Dague s’en est pris à cette jeune femme puisqu’il l’a balancée sur le canapé et lui a retourné le bras. Il s’est mis alors à faire des incantations en tentant de s’enfoncer un crayon dans le ventre.
Puis, Monsieur Dague s’est dirigé vers la cuisine et a simulé s’être blessé en s’aspergeant de sauce tomate au niveau du ventre. Les gendarmes ont dû intervenir pour faire cesser Monsieur Dague.
Le 7 août 2004, Monsieur Dague étant une fois de plus ivre, Madame Dague a demandé à son amie Mademoiselle …, (Anne) de venir au plus vite. En effet, son époux était parti en voiture avec leur fille, alors âgée de 3 ans. Sur place, les témoins attestent de ce qu’ils ont trouvé Elisabeth et son fils Alexandre en pleurs. Pendant ce temps, Monsieur Dague était installé confortablement dans un café avec sa fille, ou il continuait de boire.
En fin de soirée, le même jour, Monsieur Dague s’en est pris violemment à son épouse, puisqu’il l’a frappée. Cela s’évince du certificat médical établi par le Centre Hospitalier de Redon. Le Docteur …, atteste avoir constaté les lésions suivantes :

1- Traumatisme ophtalmique bilatéral.
2- Contusions dorsales.
Madame Dague est à bout nerveusement, ce que le médecin constate également en notant un préjudice moral majeur. C’est dans ces conditions que le samedi 7 août 2004, Madame Dague a été amenée à fuir le domicile conjugal avec ses enfants.

Dans un premier temps, elle s’est réfugiée chez des amis puis a bénéficié d’une prise en charge par l’Association SOS FEMMES, pour être momentanément mise à l’abri dans un hôtel et enfin bénéficier d’un hébergement d’urgence au CHRS dépendant de cette association. Malheureusement, ainsi que cela résulte encore des pièces versées aux débats, les crises rapportées ci-dessus n’ont rien de faits isolés. Il résulte des témoignages versés aux débats que Monsieur Dague s’alcoolisait depuis bien longtemps avec chantage au suicide, menaces, scandales, coups… Les premiers incidents remontent à 1990.

Mademoiselle …, (Anne) comme les autres témoins, atteste avoir pu constater non seulement cet état de violence extrême, mais également le comportement indigne de cet homme envers son épouse. Mademoiselle …, (Anne) atteste : « -Pascal pouvait humilier sa femme en paroles mais aussi en geste, il considérait qu’étant à la maison elle pouvait tout faire puisqu’elle en avait le temps ».
« -Un jour, quand il avait bu (souvent), le jour de la fête des mères, à table, devant nous, il n’hésitait pas à lui dégrafer son soutien-gorge en lui disant mets toi toute nue… Quand Elisabeth m’invitait à boire un thé, elle pouvait se lever à dix reprises pour lui chercher ce qu’il demandait, sans qu’il se lève ».
Mademoiselle …, (Nadège) témoigne de l’humiliation continuelle subie par sa belle-sœur, Monsieur Dague faisant comprendre à celle-ci que ce n’était qu’une merde, n’hésitait pas à l’injurier en des termes orduriers.
Mademoiselle …, (Jennifer) a pu elle aussi constater ce comportement, ayant été témoin d’une scène au cours de laquelle Monsieur Dague avait fait tomber du ketchup par terre et ou il demandait à son épouse de se baiser pour le lécher par terre.

Compte tenu de ce qui précède, c’est donc avec la plus mauvaise foi que Monsieur Dague croit pouvoir reprocher à son épouse dans le cadre de ses écritures, un abandon du domicile conjugal. Au demeurant, non seulement cela est catégoriquement faux, mais il faut savoir que si Madame Dague a pu revenir à la maison quelques temps plus tard, en septembre 2004, c’est que Monsieur Dague avait purement et simplement quitté le domicile, emportant avec lui une bonne part du mobilier du ménage. C’est ainsi que Madame Dague, qui était en location, a assuré seule l’état des lieux de sortie de leur logement déserté par son époux et en grande partie vidé de son contenu. Dans la mesure ou ce loyer était trop cher, Madame Dague a mis fin au bail et pris en location un logement sur la commune de Massérac, ou elle vit actuellement, seule avec les trois enfants.
Lorsque Monsieur Pascal Dague prétend qu’elle vivrait avec un compagnon, ceci est entièrement faux, ce qu’il ne saurait ignorer lorsqu’il a la garde des enfants, il vient l’épier près de son domicile. Au demeurant, il n’échappera pas à Madame le Juge Aux Affaires Familiales, qu’il ne rapporte nullement la preuve d’une telle allégation et encore moins celle qu’elle aurait quitté son mari pour un autre homme.
De la même façon, il n’est nullement démontré que Madame Dague aurait eu un comportement irascible et violent.
Madame le Juge Aux Affaires Familiales comprendra aisément que lorsque Monsieur Dague fait état de tel grief, il se moque du monde. Par conséquent, le divorce de Madame Dague née …, d’avec son époux ne pourra qu’être prononcé aux torts et griefs exclusifs de celui-ci.


Section 2 : Sur les conséquences relatives au prononcé du divorce entre les époux :

1- Sur l’allocation de légitimes dommages et intérêts par application des articles 226 et 1382 du Code Civil.

Compte tenu des violences verbales ou physiques et plus généralement du comportement de son époux, Madame Dague est bien fondée à solliciter l’allocation de légitimes dommages et intérêts. Elle est à ce titre, bien fondée à solliciter la condamnation de Monsieur Pascal Dague à lui verser la somme de 1.500, 00 euros.

2- Sur la date de report des effets du divorce entre les époux.

Par application de l’article 262-1 du Code Civil, Madame Dague née …, est bien fondée à solliciter le report des effets du divorce à la date à laquelle elle a été contrainte pour se protéger, de fuir le domicile conjugal, soit le 7 août 2004 et non le 28 octobre 2004.

3- Sur l’usage du nom patronymique de Monsieur Dague.

Il sera donné acte à Madame Dague née …, de ce qu’à la suite du divorce, elle fera usage de son nom de jeune fille.

4- Sur la liquidation du régime matrimonial.

Dans le cadre de ses récentes écritures, Monsieur Dague sollicite qu’il soit ordonné la liquidation du régime matrimonial et des intérêts pécuniaires des époux. Madame Dague ne s’oppose nullement à cette demande qui était d’ores et déjà contenue dans le cadre de son exploit introductif d’instance. Cependant, les raisons pour lesquelles Monsieur Dague sollicite cette mesure sont particulièrement scandaleuses. En effet, Monsieur Dague ose écrire que lorsque son épouse a fui le domicile conjugal, elle aurait emporté une bonne partie du mobilier du couple et qu’il aurait été contraint de régler de nombreuses dettes communes. Or, ainsi que cela a été rappelé plus en avant et comme cela est d’ailleurs prouvé, lorsque Madame Dague a fui le domicile, d’urgence, avec ses enfants, après avoir été frappée, elle n’a bien évidemment emmené aucun meuble.
En revanche, lorsqu’elle est revenue au domicile, Monsieur Dague avait quitté les lieux emportant avec lui tout ce dont il avait envie et qui pouvait représenter une valeur marchande. Enfin, lorsqu’il est parti, Monsieur Dague a laissé un découvert bancaire inscrit dans les livres de la Société Générale à hauteur de 3.956, 73 euros. Il n’a rien réglé à ce jour…
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 23:47

De la même façon, le couple avait une dette de loyer envers Monsieur et Madame …, lorsqu’ils habitaient sur la commune de Sainte-Marie en Ile et Vilaine. Cette dette s’élève en principal à la somme de 2.218, 23 euros et un jugement du Tribunal d’Instance de Redon est intervenu le 9 décembre 2004. Ainsi qu’en atteste l’huissier de Justice, Maître …, Madame Dague a réglé à ce jour, par acomptes mensuels, une somme de 1.000, 00 euros tandis que Monsieur Dague qui s’était engagé à lui verser des acomptes de 50, 00 euros en mars 2005, n’a toujours rien réglé. En dernier lieu, puisque Madame Dague ne retrouvait pas de travail, il était convenu entre les époux, qu’elle suivrait une formation de secrétaire médicale, dispensée par l’établissement (Culture et Formation).
Madame Dague a alors signé une offre préalable de crédit, le 17 septembre 2003. Madame Dague qui se trouvait dans une situation personnelle et financière dramatique n’a pu honorer le règlement des sommes dues et bien évidemment, n’a pu là encore, compter sur son époux.
Par conséquent, Madame Dague ne s’oppose nullement à la demande qu’elle a elle-même présentée dans le cadre de son exploit introductif d’instance. Il convenait toutefois, pour la clarté des débats, de souligner la mauvaise foi de son époux quant aux motivations de sa demande.

5- Sur la prestation compensatoire.

Madame Elisabeth Dague a une formation de coiffeuse et exerçait depuis 18 ans au salon (Francia) à Bobigny. Pour suivre son époux, elle a démissionné en mars 2003 et se retrouve aujourd’hui malheureusement toujours sans emploi. En vertu des critères non exhaustifs posés par l’article 270 du Code Civil, Madame Dague pourrait être en droit de formuler une demande de prestation compensatoire, même modeste, sous forme de rente mensuelle. Cependant, Madame Dague ne souhaite plus aucun lien, de quelque nature que ce soit, avec son époux et renonce à toute demande à ce titre.


Section 3 : Sur les mesures accessoires au prononcé du divorce et concernant les enfants mineurs :

Il convient de rappeler brièvement que, suivant ordonnance de non conciliation en date du 11 octobre 2004, le Juge Aux Affaires Familiales a notamment, s’agissant des enfants mineurs, ordonné avant dire droit une enquête sociale avec entretien psychologique de la famille, et également un examen psychiatrique des parents. C’est dans ces conditions qu’une enquête sociale a été réalisée par Madame …, le 7 mars 2005 et que le Docteur …, a déposé ses rapports concernant les parents, le 11 janvier 2005. A l’époque, un Point Rencontre avait été fixé, notamment en considération de révélations que l’enfant Alexandre avait cru devoir faire concernant son père. Ainsi que cela s’évince sans contestation possible du rapport d’enquête sociale, le petit Alexandre a avoué au Commissariat de Saint-Nazaire qu’il avait menti, pour se venger de son père et en particulier (d’avoir fait du mal à sa mère). C’est dans ces conditions que la plainte a été classée sans suite et que fort heureusement, le père n’a d’ailleurs jamais été convoqué.
Quoi qu’il en soit, c’est dans ces conditions que, dans un premier temps, Monsieur Dague a été amené à rencontrer ses enfants dans le cadre d’un Point Rencontre, du mois d’octobre 2004 au mois de mars 2005.
Cette période pendant laquelle le père a pu voir ses enfants dans le cadre d’un Point Rencontre a permis à ceux-ci de pouvoir accéder à leur père avec moins d’anxiété. En effet, il résulte de ce rapport que les enfants ont été témoins des passages à l’acte violents de leur père et ce notamment sous l’emprise de l’alcool. Alexandre et Julien, d’après l’enquêtrice sociale, ont vécu les conduites paternelles sous l’emprise de l’alcool en termes de menaces et de peur, les affectant dans leur sentiment interne de sécurité.
Madame …, concluait ainsi qu’il était possible d’envisager l’organisation d’un droit de visite progressif, en tenant compte essentiellement du degré de prise de conscience du père vis-à-vis de l’alcool et des conséquences de son comportement passé sur ses enfants. Cependant, Monsieur Dague, ce que Madame …, soulignait dans son rapport, adoptait une attitude de déni. Ce déni a d’ailleurs abusé le Docteur …, puisque Monsieur Dague a continué à nier ses problèmes d’alcool et ses passages à l’acte violents. Madame Dague, contrairement à ce qu’affirme son époux dans le cadre de ses écritures, n’a nullement fait obstacle aux relations entre le père et ses enfants, ce d’autant qu’elle est partie prenante puisqu’elle doit les conduire à la gare de Redon, à charge pour le père de venir les y prendre et reconduire.

Il convient de souligner qu’à aucun moment, la mère n’a manqué à ses engagements. En revanche, Monsieur Dague, qui ose formuler une demande de dommage et intérêts à hauteur d’une somme de 10.000, 00 euros, ne respecte pas les termes de l’ordonnance. En effet, au mois de juillet 2005, Monsieur Dague n’a pas rendu les enfants à l’issue de sa période d’hébergement. Il n’a donné aucune nouvelle à la mère, est demeuré injoignable et au final n’a ramené les enfants qu’au bout d’une semaine après avoir été contacté par les autorités judiciaires. Il s’avère que les enfants étaient avec leur père en Angleterre.
On peut aisément imaginer la peur des enfants, mais aussi celle de la mère durant ces huit jours.
Fin août 2005, fort de sa triste expérience, le père a emmené les enfants en Belgique, les enfants ont raté leur rentrée scolaire. Monsieur Dague doit d’ailleurs répondre de ces agissements très prochainement devant la juridiction pénale. Pour couronner le tout, au moment de la rédaction des présentes écritures, Monsieur Dague n’a pas ramené les enfants comme prévu dans l’ordonnance.

Par conséquent, force est de constater que Monsieur Dague n’a absolument aucun sens de ses responsabilités paternelles, n’a tiré aucune conclusion de ses agissements passés et des conséquences que cela avait pu avoir sur ses enfants. On voit mal dans ces conditions, comment Monsieur Pascal Dague pourrait revendiquer un transfert de résidence habituelle de ses enfants à son domicile. En revanche, Madame Dague est parfaitement fondée à solliciter l’inscription sur le passeport de son époux de l’interdiction de sortie du territoire français des enfants. Au demeurant, il n’échappera pas à Madame le Juge Aux Affaires Familiales que Monsieur Dague ne revendique qu’un transfert de résidence de ses deux aînés, Alexandre et Julien, sans se préoccuper nullement de l’éclatement de la fratrie qu’il génèrerait…
S’agissant aussi bien d’Alexandre que de Julien, ce transfert de résidence amènerait les enfants à changer d’école et changerait tous leurs repères actuels. Par conséquent, la demande véritablement incongrue de Monsieur Dague, ne pourra qu’être rejetée purement et simplement. Il y aura lieu de s’entendre confirmer les droits de visite et d’hébergement du père, tels que fixés dans l’ordonnance de mise en état. Il en est bien évidemment de même de la demande de dommages et intérêts présentée par Monsieur Dague tout aussi aberrante et à hauteur de 10.000, 00 euros.
Enfin, s’agissant de la légitime contribution de Monsieur Dague à l’entretien et l’éducation de ses trois enfants, il y aura lieu de porter la contribution de Monsieur à la somme de 120, 00 euros par mois et par enfant, soit au total : 360, 00 euros. En effet, lors de l’audience de conciliation, le magistrat conciliateur a noté que Madame Dague percevait alors des prestations ASSEDIC à hauteur de 917, 00 euros et des prestations de la CAF pour un montant total de revenus de 1.320, 00 euros.
Or, aujourd’hui, la mère se trouve dans une situation des plus précaires. Actuellement elle ne bénéficie plus que de l’allocation de solidarité spécifique (ASS) servie par les ASSEDICS, au taux journalier de 14, 00 euros, ce qui représente environ 420, 00 euros par mois. Au titre des prestations familiales qui lui sont servies, Madame Dague bénéficie de l’allocation familiale à hauteur de 262, 49 euros et du complément familial à hauteur de 149, 76 euros soit au total 412, 25 euros. Le total de ses revenus est de : 832, 25 euros.
S’agissant de ses charges incompressibles, il reste dû sur son loyer, allocation déduite, la somme de 208, 00 euros. A côté de cela, Madame Dague est tenue de régler la dette de loyer fixée suivant jugement du Tribunal d’Instance de Redon du 9 décembre 2004, à hauteur de 50, 00 euros par mois. Elle prend en charge la dette existante auprès du centre Culture et Formation à hauteur de 30, 00 euros par mois. Son disponible pour vivre avec les trois enfants, régler les factures d’EDF, SAUR, assurance habitation, alimentation, vêtements, est donc extrêmement faible : 544, 25 euros.

S’agissant de Monsieur Dague, la situation est beaucoup plus difficile à cerner puisqu’il ne verse aux débats aucun élément sur sa situation financière. Madame Dague sait seulement ce qui résulte de ses écritures, qu’il est désormais salarié d’un petit commerce dont sa mère est propriétaire, ce qui en principe devrait lui générer au moins un salaire d’environ 1.200, 00 à 1.500,00 euros par mois. Il est rappelé en outre, que Monsieur Dague n’assume aucune dette commune, vit seul.
Par conséquent, le montant de la pension alimentaire mise à la charge de Monsieur Dague, au bénéfice de ses enfants, et à titre de contribution alimentaire, sera portée à la somme de 120, 00 euros par mois et par enfant, soit au total : 360, 00 euros. Cette pension alimentaire sera bien entendu indexée suivant les critères habituels et devra être versée dans les cinq premiers jours du mois par virement bancaire. Cette dernière disposition est en effet indispensable à prévoir, puisque Monsieur Dague tente de se faire actuellement justice lui-même et ne verse pas la pension.
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 23:48

PAR CES MOTIFS :

*Vu les articles 242, 266, 262-1, 264, 267, 373-2-6 et 1382 et suivants du code civil. Vu les pièces versées aux débats. Adjuger de plus fort à Madame Dague née …, le bénéfice de son exploit introductif d’instance.
Débouter Monsieur Dague de l’ensemble de ses demandes, fins et conclusions en l’y disant non fondé :
En conséquence, s’entendre prononcer le divorce de Madame Elisabeth Dague née …, d’avec son époux, Monsieur Pascal Dague aux torts et griefs exclusifs de ce dernier.

Au titre des mesures accessoires au prononcé du divorce et concernant les époux : S’entendre condamner Monsieur Pascal Dague à verser à son épouse Madame Elisabeth Dague née …, la somme de 1.500, 00 euros au titre des articles 266 et 1382 du code civil, ce à titre de légitimes dommages et intérêts compte tenu des violences dont Madame Dague à été la malheureuse victime. Fixer les effets du jugement de divorce à intervenir à la date du 7 août 2004, date à laquelle Madame Dague née …, a été contrainte de fuir le domicile conjugal, ce par application de l’article 261 du code civil. Donner acte à Madame Dague, de ce qu’elle reprendra l’usage de son nom de jeune fille à l’issue du divorce et qu’elle ne sollicite pas de prestation compensatoire.

S’agissant des mesures accessoires au prononcé du divorce, et concernant les enfants :

-Maintenir conjointe l’autorité parentale de Monsieur et Madame Dague sur leurs enfants.

-Fixer la résidence habituelle des enfants mineurs Alexandre, Julien et Anaïs, au domicile de leur mère au foyer social et fiscal de laquelle ils seront rattachés.

-Dire et juger que Monsieur Dague pourra exercer un droit de visite et d’hébergement sur la personne de ses enfants, comme suit :

*Les 1ère, 3ème, et éventuellement 5ème fins de semaine de chaque mois, du vendredi ou du samedi soir à la sortie des classes au dimanche soir 17 heures.
*La 1ère moitié des petites et grandes vacances scolaires de plus de cinq jours les années impaires, seconde moitié les années paires.
*Dire que Madame Pires-Diz… ??? (Dague) aura la charge de conduire les enfants à la gare de Redon à charge pour le père de venir chercher les enfants et de les y reconduire.

-Dire et juger que Monsieur Dague à payer à Madame Pires-Diz… ??? (Dague) la somme de 120, 00 euros par mois, et par enfant, au titre de sa légitime contribution à l’entretien et l’éducation d’Alexandre, Julien et d’Anaïs Dague.

-Dire et juger que cette pension alimentaire sera indexée suivant les critères habituels et sera due tant que les enfants poursuivront des études ou une formation professionnelle insuffisamment rémunérée.

-Dire et juger que cette pension alimentaire sera payable le 1er de chaque mois, d’avance, douze mois par an, au domicile de la mère et sans frais pour elle, en sus des prestations familiales.

Par application de l’article 373-2-6, ordonner l’inscription sur le passeport de Monsieur Dague de l’interdiction de sortie du territoire français des trois enfants, Alexandre, Julien et d’Anaïs Dague sans l’autorisation de leur mère Madame Dague née Pires-Diz.

-Condamner Monsieur Dague aux entiers dépens de la présente instance.

*Sous toutes réserves.
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 23:51

Je trouve vraiment scandaleux qu’un Avocat puisse cautionner autant de mensonges, et qu’il puisse lui aussi participé avec autant d’en train, de mauvaise foi, de sauvagerie pour désorienté et manipulé la Vérité des faits. Je trouve complètement aberrant, stupéfiant qu’un Avocat puisse se porté garant voir complice de tels propos. Ces conclusions en réponse à celles de mon Avocat Maître Laure Tric, ne sont pour les trois quarts qu’un tissu d’affabulation…
Je sais que l’Avocat de ma femme est là pour défendre ses intérêts, mais pourquoi employer de tels arguments, alors que tout ou en partie est complètement faux ? Je ne pense pas que le comportement de l’Avocat de ma femme soit digne de sa profession. Je vais vous dire autre chose encore, le jour ou j’ai reçu les conclusions de l’Avocat de mon épouse, j’ai téléphoner à ma femme pour la remerciée de toutes les horreurs que j’avais pu lire. Ma femme ma pratiquement rigoler au nez en me disant et alors je me défends comme je peux et avec ce que j’ai. Quand je lui ai dis que presque tout n’était que mensonge et invention, il y à eu un long silence avant qu’elle me dise qu’elle devait raccrocher.
Je suis vraiment bouleversé et écoeuré d’apprendre que je faisais (soit disant) mettre ma femme pratiquement à quatre pattes par terre pour lui faire manger ce qui était par terre. J’avais bien trop de respect pour mon épouse pour lui faire faire ce genre de chose. Tout comme je n’ai jamais humilier mon épouse, que ces témoins (toujours les mêmes d’ailleurs, amis ou proche de ma femme) attestent.
Quand à redire de nouveau que ma femme vit seule avec nos trois enfants, ce n’est plus mentir qu’à moi-même, mais aussi à nos trois enfants, qui subissent en permanence la présence et les remontrances de (Fabrice) l’amant de ma femme. Quand l’Avocat de ma femme prétend que je ne prouve pas l’existence de l’amant de mon épouse, c’est que je n’ai jamais voulu qu’un Huissier de Justice se pointe avec des Gendarmes à six heures du matin au domicile de ma femme pour choquer et traumatiser nos enfants, ils le sont suffisamment comme çà.
De plus, on me reproche dans ces nouvelles conclusions de ne pas me préoccuper de l’éclatement de la fratrie, hors, je n’apprendrais à personne qu’on ne peux pas, retirer d’un coup trois enfants à une mère, qui n’en ai plus vraiment une d’ailleurs, sans avoir de sérieuse raison ou de motifs très important. Ma fille Anaïs, qui na que 4 ans ½ à encore plus besoin de la présence maternelle que paternelle, Alexandre et Julien c’est l’inverse. Quand à dire encore, qu’un transfert de résidence amènerait mes enfants à changer d’école et changerait par la même occasion tous leurs repères actuels, ma femme ainsi que son amant, ne sans sont pas privés ! Puisqu’ils ont emménagés depuis le 31 avril 2006 dans une nouvelle maison, à Langon, beaucoup plus grande que celle de Massérac sur un étage (avec cinq chambres, un terrain d’environ 2.000 m²) ce qui veut dire aussi que mes enfants ont changer d’établissement scolaire, obligés de laissés derrière eux, leur petites habitudes, leur petits copains et petites copines.
Dire que ma femme se trouve dans une situation des plus précaires, ne bénéficiant que de peu de revenus, et étant soit disant sans emploi, mais c’est se foutre de la gueule du monde, ma femme à bel et bien reprit son emploie de coiffeuse dans le salon d’Avéssac, ou jadis elle avait déjà fait des remplacements. Et (Fabrice) son amant, ne ramène t-il pas une paie chaque fin de mois ? Ils ne vivent tout de même pas que du vol manifeste de nourriture que son amant ramène tout les soir dans des sacs poubelles de l’Hôpital de Rennes.
Comment un Avocat peut-il prendre en considération toute une chaîne de manipulations, d’inventions, de mensonges et d’interprétation plus que douteuse, sans être préalablement d’accord avec son client pour le défendre ? A l’heure actuelle, je me demande si je ne laisserais pas mes enfants être entendus devant le Juge Aux Affaires Familiales, s’ils pouvaient l’être… Et ce, malgré mes réticences, car je ne pense pas qu’un Tribunal soit l’endroit idéal pour des enfants. Quoi qu’il en soit, je comprends mieux les regards mielleux et les sourires en coin de ma femme.

Aujourd’hui, je suis persuadé que tout change, que tout bouge et se transforme continuellement sans que nous puissions faire quoi que ce soit pour stopper l’évolution d’un enchaînement qui nous entraîne vers le bas, quelle que soit la situation dans laquelle on se trouve, on ne peut y échapper. On devrait pourtant savoir prendre plus de recul face aux événements auxquels nous sommes confrontés, parce que nous resterons au-delà de cette procédure de divorce, liés l’un à l’autre par la naîssance de nos trois enfants, ce qui nous incombe un respect mutuel (mais ma femme l’oublie trop souvent). Sachons tout au moins évités de nous laissés surprendre, par des propos hors sujets et qui ne servent qu’à noircir notre histoire. Je met toute mon attention, j’y ajoute toutes nos convictions familiales et toutes nos valeurs morales, pour essayé de comprendre ce virage à quatre vingt dix degrés, que ma femme à su prendre avec son amant, mais je suis toujours incapable de relativiser ce qui nous arrivent.
Les faux prétextes, les mauvaises excuses et tout ces sous-entendus mal choisis, pour faire croire à tout le monde que j’étais un monstre, ne servent à rien. Comment pourrais-je d’écrire ce que nous sommes devenus ? Nos engagements, les promesses que nous nous sommes fait l’un à l’autre, les projets d’avenir avec nos trois enfants, tout est passer à la trappe, au manque présent se mêle trop de souffrance.
J’ai bien essayé d’affûté une certaine logique, une certaine perception, afin de pouvoir rester conscient à reconnaître la réalité de notre histoire, mais à chaque fois, je reviens au même point, s’il n’y avait eu que nous deux et personnes d’autres pour se mêlé de notre vie de couple et même de notre vie de famille, rien ne serait arriver et nous ne serions pas dans la situation dans laquelle nous sommes.
Ma femme a toujours été à l’affût de ce qu’elle pouvait déchiffrer dans le regard de tous ses proches, plus d’une fois elle est malheureusement tombée dans leur piège et elle me répondait simplement :
« - Que veux-tu que je face, c’est ma famille ? ».

Tout au début de notre séparation, je m’étais dis que se donner du temps était probablement la première chose à faire pour que nous puissions chacun de nôtre côté faire le point, sur un tas de choses concernant notre vie de couple. J’en ai donné du temps au temps pour que nous puissions faire retomber la vapeur et retourner cette situation dans laquelle nous sommes encore, en notre faveur. Nous aurions pu demeurer sujet de notre histoire et n’endosser ni le rôle de la victime ni le rôle du coupable.
Nous aurions pu nous sortir d’un conflit (sans nom) dans lequel tant de personnes continues de l’alimenter, et nous entraînent là, où notre place ne devrait pas être. Tant que nous adopterons un rôle, la perception des événements que nous traverserons, ne sera pas faite pour améliorer nos rapports, bien au contraire.
Notre séparation s’apparente déjà à une épreuve du feu, elle vous brûle, elle vous saisit et vous empoigne d’une telle violence que j’ai du mal à me relever et à me tenir debout. Notre séparation vous (trempe d’angoisse et de sueur froide) dans le sens qu’elle ne me permet plus de regarder les yeux de nos trois enfants de la même façon qu’avant.

Je sais qu’il est rare qu’une femme et un homme soient consentants et demandeurs d’une rupture à parts égales. La rupture est avant tout choisie par l’un et subie par l’autre, et je ne trouve là, aucune fluidité pour faire passer la pilule ; la façon irrégulière dont ma femme ma quittée, agît comme une régénération en moi-même, et c’est peut-être çà, qui me guidera un jour vers une rencontre plus authentique, moins fausse mais tellement plus vrai en loyauté.

L’élément essentiel pour ne pas être totalement démoli, reste la parole. L’idéal bien évidemment serait que je puisse parler avec mon épouse (librement), même si je me heurte à son silence. Je souhaite qu’elle réalise que moins il y aura d’acharnement à détourner notre histoire en une fable cauchemardesque et plus nous aurons de chance que notre situation actuelle s’améliore considérablement.
Il est nécessaire de faire l’état des lieux en soi sans y injecter du négatif qui nous empoisonnerait en retour, je n’ai aucun désir de vengeance comme on (l’entend), tout comme je n’ai aucune envie d’instaurer un bras de fer entre mon épouse et moi-même.
J’espère simplement que dans les années avenirs, nous arriverons à nous imprégnés d’une immense sagesse pour ne plus rester en état de conflit. Ce serait une bonne idée, que de faire preuve de beaucoup plus d’intelligence, de considération et d’affection envers nous deux. Accompagnons les pas de nos enfants en toute harmonie.


(oublier l’échec, mais ne jamais en oublier les leçons)
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 23:54

*VENDREDI 24 MARS 2006
Reçu ce jour en main propre à 16 heures 05 dans la salle d’audience

CONCLUSIONS DE CONSTITUTION DE PARTIE CIVILE :


Audience du 24 mars 2006 à 14h00.


POUR :

Madame Elisabeth Dague Pires-Diz, née le 23 décembre 1965 à Aubervilliers, de nationalité française, demeurant …, 44290 – Massérac.

Partie Civile.


Maître …,


CONTRE :

Monsieur Pascal Dague.

Prévenu.


A LA CAUSE : Le Ministère Public.


PLAISE AU TRIBUNAL


I- Les faits :
Monsieur Dague est poursuivi devant le Tribunal Correctionnel de Saint-Nazaire pour avoir refusé de présenter Alexandre, Julien et Anaïs à l’issue du droit de visite qui lui a été attribué par le Juge Aux Affaires Familiales du Tribunal de Grande Instance de Nantes suivant ordonnance de mise en état du 22 mars 2005, du dimanche 4 septembre 2005 au vendredi 9 septembre 2005.
II- Discussion :
Les faits sont parfaitement constitués et Monsieur Dague semble n’avoir pas compris la nécessité de respecter l’ordonnance puisqu’il y à quinze jours il a réitéré les faits.

(oui, c’est vrai… pour une fois qu’on ne raconte pas de mensonge, je ne vais pas dire le contraire. je devais les ramenés le dimanche soir a 19 heures mais je ne les aient ramenés que le mardi vers 16 heures 30. je m’explique : les enfants étaient encore en congés scolaires, et ne voulaient d’aucune manière retournés avec leur mère et son amant, surtout que leur mamie et papy, ainsi que leur arrière grand-mère étaient venus leur rendrent visite chez moi à Redon. j’en ai donc profité pour les emmenés au bord de mer, ou ils ont mangés des crêpes et ou ils ont aussi pleinement profités de la présence de leur mamie et papy ainsi que de leur arrière grand-mère. mais ce qu’on ne dit pas, c’est que j’avais laissé trois sms à ma femme pour la prévenir que je ne ramènerais les enfants que le mardi. on à volontairement oublié de dire que j’avais aussi téléphoner à ma femme, nous avons d’ailleurs parler pendant 1 heure 25).

Recevoir Madame Dague Pires-Diz Elisabeth en sa constitution de Partie Civile. Statuer ce que de droit sur les réquisitions du Ministère Public. Dire Monsieur Dague Pascal entièrement responsable des conséquences dommageables de la non représentation d’enfant à Madame Dague Pires- Diz Elisabeth.
Condamner Monsieur Dague Pascal à verser à Madame Dague Pires-Diz Elisabeth, au titre du préjudice moral : 1.000, 00 euros. Ordonner l’exécution provisoire de la décision à intervenir nonobstant appel Condamner Monsieur Dague Pascal à verser à Madame Dague Pires-Diz Elisabeth la somme de 600, 00 euros, en application des dispositions de l’article 475-1 du code de procédure pénale. Condamner Monsieur Dague Pascal aux entiers dépens.

*Sous toutes réserves.


TRIBUNAL DE GRANDE INSTANCE DE SAINT-NAZAIRE :

Attendu qu’a été notifiée par …, Officier de Police Judiciaire, à Monsieur Pascal Dague, sur instructions de Monsieur le Procureur de la République et dans les délais prévus par l’article 552 du code de procédure pénale, une convocation à l’audience du 24 mars 2006.
Que, conformément à l’article 390-1 du code de procédure pénale, cette convocation vaut citation à personne. Attendu que le prévenu à comparu, qu’il y a lieu de statuer contradictoirement.
Infraction prévue par art.227-5 C.PENAL et réprimée par art.227-5, art.227-29 C.PENAL.
Attendu qu’il résulte des éléments du dossier et des débats que les faits sont établis à l’encontre du prévenu.
Attendu que le prévenu n’a pas été condamné au cours des cinq années précédant les faits pour crime ou délit de droit commun, à une peine de réclusion ou d’emprisonnement, qu’il peut bénéficier du sursis dans les conditions prévues aux articles 132-29 à 132-39 du code pénal, 734 à 736 du code de procédure pénale.

Attendu que Madame Dague née Pires-Diz Elisabeth s’est constituée partie civile. Attendu que sa demande est recevable et régulière en la forme. Que sa demande tend à la condamnation de Monsieur Pascal Dague au paiement de la somme de 1.000, 00 euros à titre de dommages et intérêts. Attendu qu’une somme de 600, 00 euros est demandée au titre de l’article 475-1 du code de procédure pénale. Qu’une exécution provisoire a été demandée en ce qui concerne les dispositions civiles. Attendu qu’il convient de déclarer Monsieur Pascal Dague responsable du préjudice subi par Madame Dague née Pires-Diz Elisabeth. Attendu qu’en l’état des justifications produites aux débats, le tribunal dispose d’éléments d’appréciations suffisantes pour fixer à 500, 00 euros la somme allouer. Attendu qu’il serait inéquitable de laisser à la charge de la partie civile des sommes exposées par elle pour sa représentation en justice, qu’il convient donc de lui allouer à ce titre, sur le fondement de l’article 475-1 du code de procédure pénale, la somme de 400, 00 euros. Qu’une exécution provisoire doit être accordée en ce qui concerne les dispositions civiles.

*Je veux juste souligné un fait qui me semble très important, tout au moins pour moi, lors de cette audience et devant Madame le Juge, son assistante, les deux procureurs présents ce jour, le greffe, le policier de permanence, et l’huissier de la cours, et avec le concours du public présent dans la salle d’audience, l’Avocat de ma femme à parlé de Fabrice, l’amant de ma femme en parlant de lui, comme (le) concubin de Madame Dague Elisabeth. Par ce fait, je me demande bien pourquoi, il est dit sans aucune autre mesure dans les conclusions récapitulatives de l’Avocat de mon épouse en date du 14 mars 2006, que je n’apportais nullement la preuve que ma femme avait un amant ?


PAR CES MOTIFS :

Statuant publiquement et en premier ressort, contradictoirement à l’égard de Monsieur Dague Pascal.

Déclare Monsieur Dague Pascal coupable des faits qui lui sont reprochés. Condamne Monsieur Dague Pascal à la peine de un mois d’emprisonnement. Dis qu’il sera sursis, à l’exécution de la peine d’emprisonnement qui vient d’être prononcée contre lui.

Le président, en application de l’article 132-29 du code pénal, ayant averti le condamné, que s’il commet une nouvelle infraction, il pourra faire l’objet d’une nouvelle condamnation qui sera susceptible d’entraîner l’exécution de la première condamnation sans confusion avec la seconde et qu’il encourra les peines de la récidive dans les termes des articles 132-8 à 132-16 du code pénal.
La présente décision est assujettie d’un droit fixe de procédure d’un montant de 90, 00 euros dont est redevable le condamné.

Par jugement contradictoire à l’égard de Madame Elisabeth Dague née Pires-Diz.
Reçoit Madame Dague née Pires-Diz Elisabeth en sa constitution de partie civile. Déclare Monsieur Pascal Dague responsable du préjudice subi par Madame Dague née Pires-Diz Elisabeth.
Condamne Monsieur Pascal Dague à payer à Madame Dague née Pires-Diz Elisabeth la somme de 500, 00 euros à titre de dommages-intérêts.
Condamne Monsieur Pascal Dague à verser à Madame Dague née Pires-Diz Elisabeth, au titre de l’article 475-1 du code de procédure pénale, la somme de 400, 00 euros.
Ordonne l’exécution provisoire en ce qui concerne les dispositions civiles. Le tout en application des articles 406 et suivants et 485 du code de procédure pénale et des textes susvisés. Le présent jugement ayant été signé par le Président et le Greffier.
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeMer 28 Mar - 23:55

DU PLUS PROFOND DE MON CŒUR :

Je tiens tout particulièrement à faire savoir à toutes ces personnes qui se reconnaîtront sûrement, à moins quelles ne soient devenus depuis : Amnésiques ? Que ce qu’ils ont fait, pour détruire notre famille, et ce, sans aucun état d’âme, ni aucune pitié pour nos trois enfants. Que ce qu’ils ont dit, pour diriger et obliger ma femme dans sa prise de position, à prendre une décision, dans laquelle le résultat est d’or et déjà très lourd en conséquences. Que ce qu’ils ont tentés de faire croire à nos enfants pour qu’ils se détournent de moi, (leur papa), ne peut être laissé pour compte.
Je veux dénoncer toutes ces infamies et la mauvaise influence qu’ils ont eu sur mon épouse…
Quand je pense qu’il y à des femmes et des hommes, partout à travers le monde et, qui dans la plus grande discrétion, oeuvrent pour la dignité humaine, je me dis, que ces gens là, devraient vraiment et en tout point se remettre en question. Car pour eux, la vie na aucun sens, si ce n’est d’avoir l’appât du gain et le profit en abondance.

Personne n’est obliger de me croire, mais je commence à avoir peur pour la vie futur de leur propres enfants. J’espère seulement qu’ils ne deviendront jamais comme leur parents. Malheureusement, les chiens ne font pas des chats. Il est indéniable que toutes ces personnes ont collaborées à une aliénation parentale pour ne pas dire familiale, tout comme ils sont aussi à l’origine de tout un contexte très procédurier et ordurier.
Plus le temps passe et plus je doute qu’Elisabeth se rende compte de son immense erreur ? (on ne devrait pourtant jamais renoncer à sauver sa propre famille, surtout quand nos enfants nous le demande avec autant d’insistance et d’amour).
Mon épouse, arrivera-t-elle à se pardonner, une situation qu’elle pense géré à sa guise, parce qu’on lui soutient qu’elle à raison d’aller et de continuer d’aller les yeux fermés à l’encontre d’un espoir, qui nous permettraient de nous retrouver tout les cinq, (en famille), et que faire machine arrière resterait une manœuvre impossible.
Je souhaite qu’Elisabeth comprenne bien, qu’il y à, a un moment donner ou il faut savoir dire stop ! A la connerie.
Une chose est sûre, je ne suis ni guéri ni vacciné par le profond amour que j’éprouve toujours, pour ma femme.
Si seulement elle avait eu le courage de me tuer, elle m’aurait fait beaucoup moins de mal.
Je sais, qu’il me faudra du temps pour oublier qu’elle ma trahie, salis comme je n’aurais jamais pu l’imaginer. Je sais, qu’il m’en faudra tout autant pour pardonner qu’elle ma duper, tromper. Et d’avantage encore, pour réapprendre à aimer, tout en effaçant de ma mémoire cette image de femme, d’épouse et de mère infidèle.
Je sais, qu’il me faudra du temps pour reconstruire, tout ce qu’elle a pu détruire sans que mes yeux ne puissent l’atteindre. Je sais, qu’il m’en faudra tout autant pour réaliser tous ces rêves, qui ne sont plus à prouver. Et d’avantage encore, pour poursuivre un chemin, sans qu’elle ne sache me tendre la main.
Je converse de mes maladresses qui la blessent, je lui ai toujours dis ; je t’aime, du plus profond de mon cœur, mais elle na jamais comprit un seul de mes messages.
Je n’ai plus à vivre ma vie, je l’imagine, tout simplement.
A savoir rester debout, même traîner dans la bout. A passer sous silence des tonnes de souffrances. Alors qu’elle gardera le sourire avec un malin plaisir à me regarder tenir, sur la pointe des pieds et du bout des doigts, cet espoir que je conserve tout au fond de moi ; qu’elle s’aperçoive que notre petite famille ne méritait pas toutes ces choses inexpliquées et tant de douleur accumulée.
Tout fini par ce savoir et quoi qu’il advienne, un jour viendra ou nos trois enfants devenus grands, lui demanderont, pourquoi ?
J’espère que ma femme pourra prévoir, et ce, en toute sérénité, ce qu’elle leur répondra, tout en ayant le courage d’affronté la Vérité. Car il ne sera plus question de leur mentir, ou d’arranger une version présentable de notre histoire. Nos trois enfants, ne vivront plus le propre reflet de mon épouse comme dans un miroir sans teint, comme elle-même là été sous l’influence de tous ses proches. Nos trois enfants, ressentiront le besoin de savoir et de connaître le véritable rôle de chacun, contribuant à l’élimination de leur père remplacer par un amant de fortune, dans le maintient de l’apprentissage de leur jeune âge.
Aujourd’hui, ma seule ambition est que la raison l’emporte sur la prise de position et de responsabilité de ma femme, que le temps qui passe ne serve plus à transformer notre histoire, (après un tel gâchis), parce qu’en fin de compte, il s’agira toujours, de ce qu’il y à de plus beau entre nous deux : NOS TROIS ENFANTS.
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeJeu 29 Mar - 0:01

Nous avions à la seule force d’un dialogue, le pouvoir de tout arranger, le soutient de nos trois enfants, et l’amour nécessaire pour sauver notre famille… Alors pourquoi ? Pourquoi, Elisabeth ???



Par amour et par défis :

Dans le petit cœur de mes trois enfants tout comme dans le mien, ma femme restera toujours la plus belle maman du monde… Ont t’aimes très fort !

Pascal.
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