LES LARMES DU COEUR
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Pascal
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MessageSujet: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeLun 2 Avr - 2:33

Pourquoi faut il qu’il y ait toujours des personnes très importantes qui se donnent beaucoup de mal pour dissimiler la Vérité ? Comme dans tout autre domaine, d’ailleurs.


LE DESERT INTERDIT :


A environ 150 / 190 Kilomètres au Nord-Ouest de Las Vegas, dans le désert du Névada, la carte officielle devient soudain muette. Rien de ce qui se trouve dans cette zone n’y est mentionné. Aucune carte topographique ne fait mention de son emplacement exact. Pourtant, il y à des montagnes et des ravins impressionnants, des bâtiments de bonnes tailles, ainsi qu’une piste d’envol de plus de 9 Kilomètres de long. Sûr un territoire de la taille de la Suisse, il semblerait que toute activité humaine ait été volontairement occultée.

L’accès à cette zone est interdit. Les rares courageux qui se risquent jusqu’à cet endroit perdu en plein désert, trouve rapidement des panneaux extrêmement dissuasifs : Use of deadly force authorized ! (L’utilisation de la force armée est autorisée à l’encontre des intrus). Interdiction absolue d’approcher. Danger de mort…
En outre, l’espace aérien surplombant l’endroit, est le plus inviolable de tous les Etats-Unis. Nous sommes sur le territoire de la Nellis Air Force Range, et du site nucléaire du Névada, plus communément appelé : Zone 51, suivant l’ancienne désignation officielle du lieu. Les surnoms ne manquent pas pour désigner ce lieu cauchemardesque : Dreamland, (le pays des rêves). Le Ranch, (la boite). Ou bien encore Watertown Strip.

La zone 51 fut établie en 1954 pour servir de base secrète à la Lockheed Aircraft Corporation, société d’aéronautique qui mettait alors au point des avions espions pour le compte de la C.I.A et du Pentagone. Ce site d’essais servait encore récemment aux projets de défenses les plus avancés mis en oeuvre par les Etats-Unis. Ici, ont été expérimentés au cours des trois dernières décennies, des avions de combats Soviétiques récupérés ou volés ! Le fameux avion espion Lockheed U-2 aux ailes démesurées, le SR-71 Blackbird capable de voler à plus de Mach 3, (trois fois la vitesse du son), les F-117A Night Hawk utilisés pour bombarder l’Irak au cours de l’opération « Desert Storm », ou encore les prototypes Lockheed XST Have Blue et Northrop Tacit Blue, tout premiers avions démonstrateurs de la technologie furtive. Même le bombardier Stealth, fut testé sur cette base. Parfois, en plein milieu de la nuit, on peut non seulement voir de drôles de lumières, mais également entendre d’étranges bruits, comme de pulsations à très basse fréquence, attribués à un moteur révolutionnaire qui équiperait les avions de reconnaissance hypersonique du fameux programme surnommé : AURORA.
Il s’agirait d’un des essais militaires les plus ambitieux et les plus secrets des Etats-Unis.
Plusieurs exemplaires de ces engins voleraient ainsi sporadiquement depuis 1984 à partir de la base secrète de la zone 51 et provoqueraient, au-dessus des déserts du Névada, du Texas et de la Californie, de bien surprenantes traînées de condensation ou d’étranges vibrations sonores. Officiellement, pour le Department Of Défence Américain, ce programme n’a jamais existé.
Pourtant, certains spécialistes s’accordent et affirment qu’il y aurait entre huit à douze programmes de vols spéciaux en cours, sur la zone 51. En 1994, le Pentagone aurait ainsi dépensé plus de 14,3 milliards de dollars rien que pour ces Black Programs, (projets ultrasecrets). Soit une moyenne de 100 millions de dollars par jour. Compte tenu de ces activités, la base a toujours été entourée du plus grand secret, l’US Air Force (USAF) n’en à reconnu l’existence qu’en 1994, car c’est-là, que se trouve le fer de lance de la technologie militaire Américaine. Or, d’après certains éléments d’informations récents, la tchenologie du site aussi bien que ses employés ne serait pas uniquement d’origine américaine. Tout ou en partie serait extraterrestre.

*Mise en garde :
Celui qui pénètre dans cette partie de l’immense désert du Névada risque sa vie.
Pénétrer dans la zone 51 a valu à certaines personnes de se retrouver menottes aux poignets et d’être fouillées de façon très approfondie. D’autres personnes affirment avoir reçu des menaces de mort. Les autorités américaines montrèrent en effet un embarras évident, lorsqu’un ancien technicien du site allégua qu’il existait bien une activité ovni au-dessus de la zone 51. Pour compléter cette très surprenante déclaration cet informateur ajouta même que l’aviation américaine travaillait activement avec la technologie extraterrestre. Cet informateur devait savoir de quoi il parlait, puisse qu’il avait occupé, sous contrat, un poste de scientifique sur la base pendant cinq mois à partir de décembre 1988. C’est sur un plateau de télévision, en mai 1989, que Bob Lazar fit ces déclarations. Il révéla que le gouvernement américain y conduisait un programme d’examen de neuf soucoupes volantes et tentait d’adapter la technologie extraterrestre à ses propres fins. Quand Bob Lazar fit ce témoignage public, il opéra dans l’ombre. Il se présenta sous une fausse identité, et sa voix fut modifiée électroniquement. Cette prudence lui était dictée par le fait que sa femme et lui avaient déjà fait l’objet de menaces de mort. Mais les précautions prises eurent peu d’effets, dans les jours suivants l’interview, les menaces de mort se succédèrent et on tira des coups de feu sûr sa voiture. En novembre de la même année, afin de prévenir ce genre d’incidents, Bob Lazar décida de jeter le masque. A cette occasion, il donna plus de détails encore, décrivant notamment le site ultrasecret « S4 », situé à l’intérieur de la zone 51, prés du Lac Papoose, lieu ou les engins extraterrestres étaient remisés. Il précisa les fonctions qui avaient été les siennes sur le site, au sein d’une équipe de 22 ingénieurs, il avait été engagé pour tenter de comprendre le système de propulsion des ovnis. Selon Bob Lazar, le S4 était un vaste complexe souterrain occupant la surface d’une chaîne de montagnes entière. Au début, il pensait travailler sur une technologie humaine avancée. Mais lorsqu’il pénétra à l’intérieur de l’un des disques, il acquis la conviction que tout cela venait d’un autre monde. Car ni la forme, ni les dimensions ne semblaient provenir de la main de l’homme.
- « Il n’y à pas de joint physique, pas de soudure, ni boulons, ni rivets apparents. Tout objet présente une sorte de bord arrondi, comme s’il avait été moulé dans la cire, chauffé et ensuite refroidi ».
Poursuivant ses descriptions, Bob Lazar fait états de hublots, de voûtes et de tout petits sièges hauts de 30 cm. Quand à ce qui avait été identifié comme l’unité de propulsion, il s’agissait d’un objet de la taille d’un ballon de rugby, capable de produire un champ anti-gravité traversant l’engin par une tuyère verticale. Je sais que certaines personnes bien attentionnées se dissent, que l’endroit étant inaccessible, il reste difficile d’aller vérifier ses dires. Mais la documentation que Bob Lazar put consulter par ailleurs confirma ses soupçons. Il y trouva sur le site une masse étonnante d’informations relatives aux ovnis, y compris les images d’une autopsie de petits êtres grisâtres et chauves. D’après les documents compulsés par Bob Lazar, ces extraterrestres étaient répertoriés comme venant du système stellaire Zeta Reticuli, (que l’on estime situé aux environs de 37 années lumières de la Terre). Il y était également question d’un incident survenu en 1979, au cours duquel des extraterrestres avaient tué des gardes de la sécurité et un scientifique de la base.
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeLun 2 Avr - 2:37

A la lumière de ces éléments, il ne faisait plus aucun doute pour Bob Lazar, qu’il s’agissait-là : D’engins extraterrestres, fabriqués par une intelligence extraterrestres, avec des matériaux extraterrestres. Bob Lazar n’affirme pas catégoriquement avoir vu des extraterrestres au S4. Mais il assista en revanche à une scène étrange. Passant un jour devant une pièce dont la porte était ouverte, il vit deux hommes en blouse blanche, regardant vers le bas et s’adressant à un petit être aux longs bras.
- « Ce fut une vision brève, je n’ai aucune idée de ce que cela pouvait être ? » Dit Bob Lazar. D’après George Knapp, qui interviewa Bob Lazar à la télévision, plus d’une douzaine de personnes se sont depuis manifestées pour compléter et étayer ses propos. George Knapp a ainsi pu filmer le témoignage d’un homme ayant dirigé plusieurs programmes militaires de grande ampleur à la base Nellis. Ce témoin prétend que les autorités disposent d’extraterrestres et de leur technologie depuis les années 50. Hélas, cette bande vidéo ne pourra être visionnée qu’après la mort de cet homme. Aucun des autres témoins n’accepte de se montrer au jour car ils craignent des représailles. Un journaliste d’une autre chaîne de télévision qui souhaitait enquêter sur la zone 51 se heurta aux mêmes réticences. Un ingénieur électricien qui affirmait avoir vu une soucoupe volante se déclara prêt à participer à une émission télévisée. Mais il se ravisa après avoir constaté la présence d’individus, vêtus de sombre, stationnant nuit et jour dans des voitures prés de son domicile. Un autre témoin reçut des menaces directes. On lui dit :
- « Nous savons que vous voyagez beaucoup, et ce serait tellement dommage que vous ou votre famille soyez victime d’un accident ».
Un reporter s’est pourtant aventuré dans la zone S4, et en a rapporté un film vidéo diffusé sous le titre : Secrets of the Black World, (Secrets du Monde Noir). Consacré à la zone 51. Le journaliste affirme que des containers servent à stocker des cadavres d’extraterrestres. Le mystère demeure à la vision du film.
Quoi qu’il en soit, il peut toujours subsisté un doute sur la véracité de certains des propos tenu par Bob Lazar, par exemple, il affirme avoir travaillé au Laboratoire National de Los Alamos au Nouveau-Mexique, de 1982 à 1984, dans le cadre de l’Initiative de Défense Stratégique, (guerre des étoiles). Le nom de Bob Lazar, figurait bien à l’époque sur l’annuaire du laboratoire de Los Alamos, mais le fait a été catégoriquement démenti par les autorités militaires. Selon elles, il n’y aurait aucune trace d’un tel engagement. En revanche, le gouvernement américain n’a jamais nié que Bob Lazar ait travaillé à la zone 51, ce qui est d’ailleurs confirmé par ses déclarations d’impôt.

La zone 51 est le théâtre d’une activité pour le moins étrange. Norio Hayakawa, cameraman de la télévision Japonaise, resta éveillé toute une nuit afin d’entrevoir un ovni décollant de la zone 51. Il filma en effet un objet lumineux planant au dessus des montagnes et à travers ciel. L’analyse du film par les ordinateurs les plus récents fait dire à Norio Hayakawa que l’objet n’était certainement pas un avion de type classique. Beaucoup d’autres films montrent à peu prés la même chose : Un objet extrêmement lumineux se déplaçant à une vitesse incroyable, et effectuant des manoeuvres aériennes impossibles. (L’un d’eux, suivi par le Federal Aviation Administration Center, filait à 16000 Km/h, soit environ treize fois la vitesse du son), et s’interroge légitimement sur la compatibilité entre de telles vitesses et la technologie humaine. Du sommet de deux montagnes voisines, on pouvait encore, voici huit ans, deviner à quoi ressemble ce gigantesque complexe militaro-industriel renfermant les secrets technologiques les plus avancés de l’Amérique. Jusqu’à ce que l’USAF envisage d’augmenter la superficie de la zone réservée afin de mettre un terme aux indiscrétions des curieux.
Au coeur de la zone 51 se trouvent les 10.000 Kilomètres carrés du Lac Groom, dont on pense qu’il sert aux essais d’engins non conventionnels. L’unique route menant au lac Groom est la Highway 375, rebaptisée (autoroute des extraterrestres) en mars 1996. Les chercheurs en ovnis rassemblent peu à peu toutes les pièces d’un dossier qui un jour, peut-être? Forcera l’US Air Force à faire la lumière sûr ses activités dans la région.
- « De jour, l’activité n’y est pas extraordinaire, mais dès la nuit tombée, c’est Broadway ! » Explique, un informaticien de Boston venu s’installer dans le village Rachel, tout proche et devenu au fil des mois le Gourou du groupe des : Désert Rats. Qui campent de temps en à autre sur les hauteurs de la base. Leur objectif : Guetter inlassablement la moindre apparition d’avions secrets au cours de leurs vols d’essai, tout en essayant de déjouer continuellement les caméras automatiques, les détecteurs de mouvements, les radars, les microstrés sensibles et les patrouilles d’Hélicoptères Pave Hawk ou de Jeep Cherokee des commandos de la base. Munis de jumelles et d’appareils photographiques ainsi que de matériels de radiocommunication perfectionné, d’autres passionnés se présentant le plus souvent comme Ufologues, se donnent rendez-vous, généralement le soir, à un endroit mythique baptisé, the Black Mailbox (la boite aux lettres noire), le long de la route 375. Ils investissent régulièrement le périmètre de la base, persuadés qu’elle abrite des ovnis récupérés par l’USAF ou désireux d’observer un phénomène lumineux se produisant régulièrement et surnommé : Old Faithful. Mais il ne faut surtout pas oublié, que l’essentiel de la Légende de la zone 51 liée aux ovnis prend son origine dans les récits de Bob Lazar. D’ailleurs, celui-ci indique que ceux qui travaillent au sein du S4 portent des badges portant le nom de code : MAJ. S’agit-il du Majestic 12, le groupe ultra secret de recherche sur les soucoupes volantes crée par le Président des Etats-Unis en 1947 ?
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeLun 2 Avr - 2:39

ROSWELL… TOUTE L’HISTOIRE :


L’affaire du crash de Roswell débuta le 2 juillet 1947, lorsqu’un éleveur de moutons, Max Brazel, entendit une sourde explosion suivie d’un orage électrique. Max Brazel, qui exploitait la ferme Foster, située à 120 kilomètres environ au Nord-Ouest de Roswell et à 32 kilomètres au Sud-Est de Corona, ne se formalisa pas outre mesure de ce qu’il pensa être un caprice (climatique). Mais le lendemain matin, Max Brazel alla vérifier une pompe à eau en pleine campagne. En chemin, il découvrit une zone d’au moins un kilomètre de long, jonchée de fragments d’un matériau très spécial, il avait beau plier plusieurs fois cette matière, elle reprenait spontanément sa forme initiale. Max Brazel, trouva également d’autres débris, décrits par la suite comme de petites poutrelles en forme de I, dont les sections laissaient apparaître des symboles d’une couleur lavande très inhabituelle. Ces poutrelles avaient la légèreté du balsa, mais il était impossible de les casser ou de les brûler.

Le dimanche 6 juillet 1947, Max Brazel, revint sur le site avec sa camionnette, y chargea des débris et les amena au bureau de George Wilcox, le shérif de Roswell. C’est ce dernier qui contacta la base militaire et s’entretint avec l’officier chargé des renseignements, le commandant Jesse Marcel. L’officier vint à son tour inspecter ces pièces, et nota que le matériau très étrange qui les constituait ne ressemblait à rien de ce qu’il avait pu examiner au cours de la guerre. En tant qu’officier chargé des renseignements dans la seule unité au monde dotée de Bombes Atomiques. Jesse Marcel, exprimait-là un avis de spécialiste.
Très vite informé, le commandant de la base de Roswell, le colonel William Blanchard, donna l’ordre à Jesse Marcel et à Sheridan Cavitt, officier du contre espionnage, d’accompagner Max Brazel, jusque sur le site en question afin de procéder au ramassage de tous les débris.

Le 8 juillet 1947, le lieutenant Walter Haut, officier de presse du Roswell Army Air Field (RAAF), venait de transmettre l’un des communiqués les plus étonnants du siècle :
- « L’Armée déclare avoir trouvé un Ovni! »
La base aérienne de Roswell développa par la suite le communiqué initial. La chose fut utile au shérif Wilcox, ainsi qu’aux journaux locaux, submergés de questions venues du public et des médias. Et puis, subitement, au milieu de toute cette agitation, l’US Air Force changea son fusil d’épaule, il ne s’agissait plus d’un ovni, mais d’un simple ballon sonde. Effectivement, la presse du lendemain enterrait l’affaire, titrant : (Roswell, ce n’est pas un ovni. La soucoupe volante du Nouveau-Méxique était une sonde météologique).
Des photographies des débris alimentèrent de nombreux journaux au cours des jours suivants, puis l’affaire retomba dans l’oubli pendant trente ans. Cette histoire d’ovni aurait pu s’arrêter-là, s’il n’y avait eu en 1978, le hasard d’une rencontre entre un physicien nucléaire féru d’ufologie, Stanton Friedman, et le directeur d’une chaîne de télévision. Ce dernier lui suggéra lors d’une discussion qui se tint en Louisiane, de se mettre en rapport avec un certain Jesse Marcel.
- « Il à eu entre les mains, lorsqu’il était à l’Armée, des morceaux d’une de ces soucoupes volantes qui vous intéressent ».
Et d’ajouter :
- « Il habite tout prés d’ici, en Louisiane, à Houma ».
Le lendemain, Stanton Friedman contacta Jesse Marcel, qui lui apprit qu’il avait été l’officier chargé des renseignements à la base militaire de Roswell. C’est en cette qualité qu’il avait reçu l’information selon laquelle une soucoupe volante s’était écrasée au milieu d’un élevage de moutons, prés de Corona, à 120 kilomètres de Roswell. Jesse Marcel ajouta qu’il avait alors reçu l’ordre de récupérer les débris du Crash et de les transporter à la base de Wright Field dans l’Ohio, là ou l’Armée américaine entrepose les matériels confisqués à l’ennemi. Au moment même où Jesse Marcel s’occupait à cette tâche, l’officier de presse de la base aérienne de Roswell, Walter Haut, rendait publique la nouvelle d’un crash d’ovni. Puis vint le démenti officiel soutenant la thèse de la sonde météorologique. Que s’était il passé entre les deux annonce officielles?
Stanton Friedman fit part de son intérêt pour le cas à un autre expert en ovnis, William Moore, qui accepta de participer à une enquête sur le sujet. En 1980, Friedman et Moore avaient interviewé quelque 68 personnes liées aux événements. Tels que Bill Brazel, fils de l’éleveur de moutons ayant trouvé les débris de l’appareil, Loretta Proctor, une voisine qui avait également eu certains morceaux de l’épave entre les mains, ainsi que le fils de Jesse Marcel, Jesse Junior. Chance extraordinaire pour les enquêteurs, le lieutenant Walter Haut, l’officier à l’origine du premier communiqué de presse, résidait toujours à Roswell. Son annuaire du personnel de la base permit de retrouver la trace d’autres personnes pouvant compléter les pièces du puzzle.

En 1986, Stanton Friedman et William Moore avaient ainsi réussi à contacter 95 personnes, et même publié six articles sur l’affaire. Afin de glaner des témoins supplémentaires, Friedman réussit à convaincre les producteurs d’une émission diffusée sur la chaîne nationale NBC (Unsolved Mysteries), de réaliser une séquence sur l’affaire Roswell. C’est ainsi qu’en août 1989 Friedman, agissant en tant que consultant sur un tournage effectué à Roswell, rencontra un certain Glenn Dennis. Cet employé des pompes funèbres avait à l’époque travaillé pour la Ballard Funeral Home, société qui gérait les questions funéraires de la base. Face à Friedman, Glenn accepta pour la toute première fois de parler de l’étrange activité qu’il avait constatée à l’hôpital de la base militaire au cours de l’été 1947.
- « Un après-midi, vers 13h30, j’ai reçu un appel téléphonique de l’officier de la morgue de la base. Il voulait connaître la taille des plus petits cercueils hermétiques dont nous disposions immédiatement. Il ajouta : Nous devons le savoir au cas ou un accident surviendrait ».
- « Il me demanda combien de temps serait nécessaire pour en obtenir un et je lui assurai qu’une journée suffirait. Il me répondit qu’il m’appellerait s’il en avait besoin. Environ 45 minutes plus tard, il me rappela afin que je lui décrive les procédures de préparation pour des corps restés plusieurs jours dans le désert. Avant même que je réponde, il me demanda plus spécifiquement l’effet que les produits utilisés auraient sur les tissus, le sang et les composés chimiques du corps. Je lui expliquai que nos produits étaient essentiellement composés de formaldéhyde et que cette technique altérerait sans doute la composition chimique du corps. Je lui proposai de me rendre à la base et de l’aider, quel que soit le problème, mais il insista sur le fait que ce serait que pour une utilisation future ». Pour Stanton Friedman, ce nouvel élément donnait une extraordinaire dimension à l’affaire du crash. Fallait-il penser que des cadavres d’extraterrestres avaient été retrouvés sur le lieu de l’accident? Glenn Dennis pense que oui.
- « A peine plus d’une heure plus tard, j’étais appelé pour transporter un soldat blessé à la tête et probablement victime d’une fracture du nez. Je lui ai apporté les premiers soins puis je l’ai reconduit à la base.
J’y suis arrivé vers 17 heures... Bien que je sois civil, j’avais l’accès libre à la base puisqu’on me connaissait. J’ai garé l’ambulance prés de l’infirmerie, juste à côté d’une autre ambulance. Sa porte était restée ouverte et j’ai pu y voir des débris. Il y avait plusieurs pièces, d’environ 1 mètre de longueur, ressemblant au fond d’un canoë. Cela semblait être de l’acier inoxydable avec des nuances pourpres comme s’il avait été exposé à fortes températures. Il y avait également d’étranges écritures sur les matériaux, comme des hiéroglyphes. Deux soldats se tenaient à côté du véhicule. J’ai conduit l’homme à l’infirmerie et me suis ensuite rendu à la salle des employés pour y prendre un coca. J’espérais y voir une infirmière, second lieutenant, qui venait d’être embauchée trois mois plus tôt. Elle avait 23 ans j’en avais à l’époque 22. Je l’ai vue sortir d’une des salles d’examens. Elle portait un masque sur la bouche ». Elle me dit :
- « Mon Dieu, va-t’en d’ici ou bien tu vas t’attirer des ennuis ! »
- « Elle entra dans une autre pièce gardée par un capitaine. Il me demanda qui j’étais et ce que je faisais-là. Je lui répondis : On dirait que vous avez eu un crash, voulez-vous que je me tienne prêt? Il me demanda de rester-là. Ensuite, deux soldats sont venus pour m’escorter hors de l’infirmerie. Ils ont prétendu avoir l’ordre de m’escorter jusqu’à mon lieu de travail. Nous avions parcouru cinq mètres qu’une voix lança:
- « Nous n’en avons pas terminé avec ce fils de pute! Ramenez-le ».
- « Un autre capitaine, un roux avec le regard le plus vide que j’aie jamais vu, est intervenu ».
- « Vous n’avez rien vu, il n’y à pas eu de crash ici, et si vous racontez quoi que ce soit, vous pourriez avoir
les pires problèmes ».
Je lui ai répondu :
- « Dites monsieur, je suis un civil et vous ne pouvez rien me faire ».
Il reprit :
- « Si, nous le pouvons et quelqu’un retrouvera vos os dans le sable du désert ».
- « Un sergent noir muni d’un bloc notes dans la main lança : Il ferait un bon repas pour nos chiens ! Ensuite, les deux soldats m’ont suivi jusqu’aux pompes funèbres ».
Le jour suivant, reprend Glenn Dennis, j’ai essayé d’appeler l’infirmière pour savoir ce qu’il en était. Vers onze heures du matin, elle m’a rappelé en disant simplement : « Il faut que je te parle ».
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeLun 2 Avr - 2:41

Nous nous sommes mis d’accord sur un rendez-vous, le club des officiers. Elle était très énervée. Elle commença par m’avertir : « Avant que je ne te parle, il faut que tu me promettes de ne jamais mentionner mon nom, sinon je pourrais avoir de gros problèmes ». J’ai accepté.
D’après ce qu’elle m’a raconté, elle est entrée dans une pièce pour y prendre du matériel alors que deux médecins effectuaient une autopsie préliminaire.
Elle ajouta : « Il y avait quelque chose que personne n’a jamais vu ».
- « Elle m’a griffonné une esquisse des corps, avec les bras prolongés de mains à quatre doigts. Les médecins ont noté qu’il y avait comme des petites ventouses à l’extrémité des doigts. Elle prétendait que les corps avaient des têtes disproportionnée, les yeux étaient profondément placés sous les arcades sourcilières, le crâne semblait souple, le nez était plat, constitué seulement de deux orifices, la bouche n’était qu’une fine fente et les médecins pensaient qu’il y avait du cartilage à la place des dents. Les oreilles n’étaient également que deux petits orifices. Les corps étaient totalement imberbes et la peau sombre, mais peut-être était ce dû à une longue exposition au soleil ».
Après avoir rencontré Glenn Dennis à diverses reprises, l’infirmière disparut subitement, ayant apparemment décidé d’aller vivre en Angleterre. Quand Glenn tenta de reprendre contact avec elle, son courrier lui fut retourné avec la mention : Décédée.
En dépit d’imperfections et de questions laissées en suspens, l’émission préparée par Stanton Friedman sur le Crash de Roswell, et diffusée sur NBC en septembre 1989, fut un grand succès.

- « Nous sortions à peine d’une guerre mondiale. Cette affaire de soucoupes volantes était vraiment de trop pour l’opinion publique ».
(Colonel Thomas Jefferson DuBose, VIIIe US Air Force).

Les spécialistes du cas étaient eux mêmes divisés en deux clans, d’ailleurs en guerre : Tous s’accordaient à dire qu’au moins un ovni s’était écrasé sur le ranch Foster, mais un groupe de chercheurs, auquel Stanton Friedman appartenait, avait été amené à penser qu’un second accident de ce type était survenu, toujours au Nouveau-Mexique, mais cette fois dans les plaines de San Augustin. La théorie du second ovni repose essentiellement sur le témoignage d’un personnage clé, Gerald Anderson, qui avait contacté Friedman en 1990, à la suite d’une nouvelle projection du documentaire de NBC, Unsolveb Mysteries. Anderson soutenait que des corps d’extraterrestres avaient été retrouvés parmi des débris de la soucoupe volante. Ces allégations étaient recoupées par celles de deux autres personnes : LaVerne et Maltais. Mais qui ne faisaient que rapporter à Friedman les propos d’un témoin oculaire, un certain Grady Barnett, depuis décédé. Hélas, Barnett mort, il ne fut pas possible de l’interroger sur ce qu’il avait vu. C’est la raison pour laquelle de nombreux chercheurs exprimèrent des réserves au sujet du second crash de San Augustin.

- « Les crashs d’ovnis au Nouveau-Mexique ont poussé le gouvernement américain dans une campagne de désinformation à long terme ».
(Stanton Friedman).

L’entreprise de désinformation concernant le premier crash de Roswell débuta à Washington, le directeur par intérim du Stratégic Air Command, le général Clemens McMullen, avait lu le communiqué transmis à la presse. Il contacta le colonel Thomas Jefferson DuBose, chef d’état-major à Fort Worth, au Texas, ou Jesse Marcel fit escale avec le B-29 contenant les débris du crash. Pour lui demander d’inventer une histoire permettant de dégonfler l’affaire...
Et de confier la gestion du dossier au général Rodger Ramey, le commandant de la base. Lorsque Jesse Marcel atterrit à Fort Worth, le général Rodger Ramey l’attendait et lui dit :
- « Ne faite rien, je m’en charge. On a fait venir des morceaux de ballon sonde et un réflecteur radar en feuilles d’aluminium. Irving Newton, le météo de la base, va vous briefer ».
On demanda ensuite à Jesse Marcel de poser pour un photographe en exhibant les faux débris que l’on substituait au siens, puis, documents à l’appui, la presse fut informée qu’il s’agissait d’une méprise et que la soucoupe volante était en réalité qu’un vulgaire réflecteur radar. Jesse Marcel, fut renvoyé à sa base de Roswell. Quand à la précieuse marchandise, elle fut mise dans un container et immédiatement transféré à Washington.
Le nettoyage du ranch Foster allait prendre une semaine, période pendant laquelle le commandant Jesse Marcel fut invité au silence. La zone de recherche des débris fut ensuite élargie et, au bout de deux jours, la partie principale de la soucoupe fut retrouvée non loin du ranch. Et, à un peu plus de 1,6 Km de l’épave, on trouva des corps d’extraterrestres, morts. En 1990, Stanton Friedman interviewa le photographe de l’aviation américaine, (qui garde l’anonymat sous les initiales F.B.) qui prétendait avoir vu des corps dans un champ prés de Corona, F.B était basé à l’Anacostia Naval Air Station de Washington lorsqu’il reçut, ainsi qu’un autre photographe, l’ordre de s’envoler pour Roswell. A leur arrivée, les deux hommes furent conduits vers une tente de campagne afin de photographier ce qu’il y avait à l’intérieur.
- « Il y avait des corps visibles » Se rappelle F.B, décrivant leurs têtes trop grandes pour leurs petits corps.
Si l’on en croit les témoins, l’objet écrasé à Roswell en 1947 serait bel et bien d’une importance capitale, suffisamment pour que des menaces aient été proférées à l’encontre des témoins et que le secret soit conservé sous la chape de plomb du silence.

- « A l’époque, on ne posait pas de questions, on obéissait aux ordres ».
(Lieutenant Walter Haut).

- « Si aucune solution n’a été apportée quand à l’identification de l’objet écrasé, il a cependant été établi que tous les messages issus de la base de Roswell entre octobre 1946 et décembre 1949 ont été détruits sur ordre, sans que l’officier l’ayant commandé ne soit identifié ».
(L’Auteur).

Depuis 1978, date à laquelle l’ufologue Stanton Friedman a fait éclater l’affaire du crash de Roswell, le fossé n’a cessé de se creuser entre les deux factions en présence. D’un côté l’Armée américaine, affirmant officiellement que les seules choses tombée du ciel à Roswell, (Nouveau-Mexique), ce fameux 2 juillet 1947, furent des ballons sondes météorologiques. De l’autre côté, des témoins de l’époque, une bonne partie des habitants de Roswell et nombre d’ufologues restant convaincus que, non seulement une soucoupe volante occupée par des extraterrestres s’est bel et bien écrasée dans le désert, mais aussi que les restes du crash ont été récupérés par les militaires qui, depuis cachent la vérité au grand public. C’est dans ce contexte d’antagonisme, désormais connu de tous, que les festivités prévues à Roswell pour le cinquantenaire du (Crash) s’annonçaient, à l’été 1997. Les organisateurs des festivités du cinquantenaire pouvaient remercier le ciel, en début d’année, l’Armée américaine (US Air Force) venait de publier un ouvrage susceptible de leur faire une large publicité, le rapport définitif sur l’incident de 1947. Intitulé : L’Incident de Roswell, Affaire Classée. Ce rapport reprenait des éléments publiés trois ans plus tôt, les pièces récupérés sur le site du crash, en 1947, étaient les débris de ballons sondes lancés à l’occasion du (Projet Mogul), opération top secret de l’US Air Force, destinée à une surveillance atmosphérique des essais nucléaires Soviétiques. Selon les militaires, des mannequins bourrés d’électronique et lancés avec les ballons (Mogul), avaient visiblement abusé les esprits. Gisant au milieu des débris de ballons, ces mannequins de plastique et d’aluminium auraient été interprétés à tort par différents témoins comme les restent d’extraterrestres. Cet ultime rapport, épais de 231 pages, suscita en fait plus de rumeurs de manipulation qu’il n’apaisa de conscience, l’Armée avait effectivement utilisé de semblables mannequins au Nouveau-Mexique. Mais pas avant 1954 ! Les militaires prétendaient donc maintenant que les témoins oculaires mélangeaient des souvenirs de ballons sondes écrasés en 1947, et ceux de mannequins retrouvés à partir de 1954. Lors du 50e anniversaire du crash, rassemblement à forte connotation touristique, (concours de déguisement et de construction de soucoupes, show laser...), tous les experts du dossier se félicitaient de pouvoir se rencontrer afin de débattre du rapport de l’US Air Force, et confronter les raisons de leur scepticisme. Or un invité de dernière minute allait créer l’événement. L’ancien colonel Philip Corso.
- « Les gens veulent entendre la vérité. Ils y sont prêts. Ils ne vont pas paniquer. Ils sont las d’entendre tous ces mensonges à propos de ballons sondes et de mannequins ». Dit-il.
Corso explique que la prise en compte par les officiels américains de l’incident de 1947, et donc de l’existence d’extraterrestres, a occasionné le lancement de deux projets majeurs. Le premier, appelé (Projet Horizon), visait à la construction d’une base militaire permanente sur la Lune. Un projet qui n’aboutira pas mais conduira néanmoins aux premiers pas de l’homme sur la lune en 1969. Le second est le projet de (Guerre des Etoiles), inauguré par la construction de missiles anti-missiles (ICBM), et débouchant sur l’IDS (Initiative de Défense Stratégique). Amplement débattu lors des deux mandats du Président Reagan (1981-1989), l’IDS consistait à déployer un réseau de satellites capables de réfléchir un rayon laser tiré depuis la Terre, afin d’abattre d’autres satellites ou missiles en vol. Ce projet, officiellement abandonné en 1987, faisait partie de ce que Corso appelle: Le double agenda.
- « Nous laissions les gens croire que nos efforts militaires étaient dirigés contre l’URSS. En fait ce n’était que partiellement vrai, car la plupart de nos efforts concernaient tout autant les extraterrestres. Nous pensions depuis le début qu’ils étaient hostiles et qu’il fallait se protéger contre eux ».
Pour Philip Corso, qui reconnaît malgré tout ne pas pouvoir prouver ses assertions, les satellites de l’IDS, secrètement mis en orbite, constitue aujourd’hui la meilleure ligne de défense contre les ovnis. Corso avoue lui-même se situer sur l’échiquier politique dans le rang des ultraconservateurs, partisans d’une Armée forte qui ne soit pas soumise aux injonctions des politiciens. Il n’est donc pas exclu que son livre :
(The Day After Roswell), qui n’a reçu aucun démenti officiel, soit une opération téléguidée par certains cercles de l’Armée pour trois raisons.

La justification a posteriori du budget de l’Armée Américaine pendant la Guerre Froide, la justification du maintien du budget militaire actuel soumis à de nombreuses coupes sombres depuis l’effondrement de l’URSS et la relance de l’Initiative de Défense Stratégique (IDS). En expliquant que les dépenses militaires entre 1945 et 1989 ont servi à des objectifs bien plus vastes que la lutte contre les régimes communistes, Corso et l’Armée introduisent l’idée qu’il faut continuer à financer l’Armée sans se poser de questions, car elle remplit sa mission de défense du pays, bien mieux que ne le font les politiciens.

*Sur une stèle posée à l’été 1997 sur l’emplacement du crash, on peut lire le texte suivant;
« Nous ne savons pas qui ils sont. Nous ne savons pas pourquoi ils sont venus. Nous savons seulement qu’ils ont changé notre vision de l’univers... Ce site sacré universel a été inauguré en juillet 1997 à la mémoire des êtres qui ont rencontré leur destin prés de Roswell, Nouveau-Mexique, en juillet 1947 ».

Le président des Etats-Unis, Harry Trumann aurait crée, le 24 septembre 1947, un groupe de sécurité consultatif composé de douze hautes personnalités chargées de garder le secret sur l’affaire : (Le Majestic-12 ou MJ-12).
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeLun 2 Avr - 2:43

LE COMITE MAJESTIC-12 :


Décembre 1984 : Jaime Shandera, producteur de télévision californien est en pleine recherche d’informations sur les ovnis, thème du nouveau film qu’il compte produire. Quand il reçoit par la poste un mystérieux colis contenant une pellicule 35 mm, noir et blanc. Sans lettre d’accompagnement ni adresse. L’unique élément pouvant l’éclairer sur la provenance de ce curieux paquet est le cachet de la poste. Il indique Albuquerque, Nouveau-Mexique. Une fois développé, le film révèle une série de photographies explosives. Il s’agit d’une note d’information de huit pages datée du 18 novembre 1952, rédigée à l’attention du président américain fraîchement élu, Dwight Eisenhower. Sur la première page du rapport figure l’avertissement suivant : (Ceci est un document TOP SECRET contenant des informations ultra confidentielles à la sécurité nationale des Etats-Unis). La page suivante comporte une liste de 12 personnalités de tout premier plan, issues des milieux scientifiques, des services de renseignements ou de la Défense. Le sujet précis du document n’apparaît clairement qu’à la page 3. Il s’agit de la récupération d’une épave de soucoupe volante qui (Se ce serait ?) écrasée prés de Roswell, au Nouveau-Mexique, en juillet 1947. Le document mentionne également la présence de corps d’extraterrestres. Une annexe du dossier reproduit une note que l’ancien président Harry Truman à adressé au Ministre de la Défense, James Forrestal. Dans ce texte, daté du 24 septembre 1947, Truman charge Forrestal de déclencher: L’opération Majestic-12.
Mais à aucun moment il n’est précisé en quoi consiste cette opération. Cependant, prise isolément, la note de Trauman adressé à Forrestal garde une signification ésotérique. Et à la lumière de l’ensemble du dossier que Shandera a en mains, elle devient explicite :
Un aéronef en forme de disque, (s’est écrasé) prés de Roswell, au Nouveau-Mexique, et des entités biologiques extraterrestres ont été récupérées par l’Armée. Informé de l’accident, le président Trauman charge alors son ministre de la Défense, Forrestal, de mettre sur pied un groupe de travail de douze personnalités afin de gérer la situation. Nom de code de l’opération : Majestic-12.

En 1952, lorsque Eisenhower succède à Harry Trauman, ses services vont alors lui communiquer le dossier top secret concernant l’opération Majestic-12, dont l’un des paragraphes insiste sur la nécessité d’éviter de provoquer un vent de panique dans l’opinion. Si Jaime Shandera comprend que les autorités américaines de l’époque aient cherché à garder ce dossier secret, il ne voit pas pourquoi le détenteur de ce document a attendu 32 ans avant de le transmettre à des tiers. La réponse est loin de faire l’unanimité.
Jaime Shandera ne fut pas le seul à recevoir, toujours par courrier, des documents relatifs à cette affaire. Des copies circulent et finissent dans les mains d’un agent du FBI à Dallas. Le service de police fédérale et de contre espionnage américain, qui a pour charge d’enquêter sur toute personne possédant des documents secrets sans avoir l’accréditation adéquate, lance sa propre enquête, en informant le Pentagone de sa découverte. Le bureau des investigations spéciales de l’US Air Force confirme au FBI, que ce document est un faux. L’enquête est close. Bill Moore spécialiste en ovnis, reçut en 1985 une carte postale, postée depuis la Nouvelle-Zélande, par laquelle un correspondant anonyme l’invite à examiner de prés un certain nombre de dossiers que les archives nationales américaines viennent juste de rendre accessibles. Accompagné de Shandera, Moore se lance sur cette piste et découvre effectivement une note très intéressante rédigée par Robert Cutler, l’assistant d’Eisenhower pour les questions de Sécurité Nationale, et adressé à Nathan Twining, ancien chef d’état-major de l’aviation américaine. Ce document, au contenu lapidaire, est une note d’information déplaçant la date d’une réunion du comité MJ-12, dont la nature n’est certes pas précisée mais qui, en tout cas, existe bien.

Cependant, il reste à déterminer le coupable et ses motivations, car si les documents sont faux, ils pourraient être l’oeuvre d’un escroc tout comme d’une agence de sécurité américaine. D’autant plus qu’un mystérieux personnage de la Kirtland Air Force Base, Richard Doty, semble être impliqué dans des affaires similaires. Agent du bureau d’investigations spéciales de l’US Air Force, il aurait fait, dès 1983, des révélations s’apparentant à celles contenues dans les documents du MJ-12. Or, l’un des documents tendant à attester l’existence du MJ-12 provient précisément de la Kirtland Air Force Base. Ce document, censé être réalisé par le bureau d’investigations spéciales, a été réalisé à partir d’un autre document authentique dans lequel aucune mention du MJ-12 n’était faite. (Prouvant ainsi que le MJ-12, n’existait pas !)
D’autres éléments viennent par la suite étayer cette mystification. Entre 1992 et 1996, un autre ufologue, Tim Cooper, reçoit plusieurs documents concernant l’affaire MJ-12. Il en fait part à son collègue Stanton Friedman et, après une analyse minutieuse de l’ensemble de ces nouvelles pièces, le duo d’enquêteurs valide l’authenticité de deux documents seulement, d’une page chacun. Mais ceux-ci s’avèrent d’une importance capitale. Le premier est une brève instruction à l’adresse du général Twining, censé être l’un des membres de MJ-12, détaillant ses activités lors d’une visite effectuée en juillet 1947, au Nouveau-Mexique, l’Etat ou la soucoupe volante se serait écrasée. Quand au second document, il s’agit d’une note au président Harry Truman, dictée par le secrétaire d’Etat américain George C.Marshall à l’attention de son chef de cabinet. L’en-tête de cette note, porte en référence : (MAJIC EO 092447 MJ-12).
Mais le plus spectaculaire des documents MJ-12 est celui que reçut, en 1994, l’écrivain scientifique Don Berliner, l’un des tout premiers ufologues anglo-saxons. Il s’agit d’une autre pellicule photographique présentant 23 pages d’un Manuel d’Opérations Spéciales du Comité Majestic-12. Daté d’avril 1954. Ce guide porte le sous-titre suivant : (Entités et Matériels Extraterrestres, Récupération et Traitement). Comment vérifier l’authenticité de ces informations et ainsi réussir à prouver l’existence du comité MJ-12 ? La difficulté majeure dans cette tâche était liée au fait que la plupart des documents avaient été communiqués sur des pellicules photographiques, donc impossible d’en analyser le papier ou l’encre d’origine. Pourtant, de nombreuses déclarations spontanées, émanant de personnalités éminentes, ont confirmés l’existence d’un groupe de haut niveau chargé de gérer la question des ovnis.
Eric Walker, ex-directeur de l’Institut d’Analyse de la Défense, prétend avoir assisté, à la base Wright-Patterson à des réunions relatives à la récupération de soucoupes volantes. Il a également déclaré avoir connaissance du comité MJ-12 depuis 40 ans. Aussi, dans un premier temps, de nombreuses données factuelles pouvaient être plus facilement vérifiées, comme par exemple le Curriculum Vitae des 12 membres supposés du comité, leurs agendas respectifs ou encore l’authenticité des signatures. Timothy Good écrivain, reçut par une source proche des milieux du renseignement américain une copie du dossier MJ-12.
- « Ce dossier reste troublant. Trop de données historiques sont exactes. Tout cela a été monté par quelqu’un de très bien informé, peut-être dans un but de désinformation positive ».
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeLun 2 Avr - 2:44

Pour d’autres, les investigations se poursuivent. Quand au vrai-faux groupement des hauts conseillers du gouvernement américain, il n’est pas impossible qu’il s’agisse en fait du Nationale Security Council, seule agence américaine non soumise à la loi sur la liberté de l’information, (FOIA). Cet organisme a été créé le26 juillet 1947, soit prés de trois semaines après l’incident de Roswell. Coïncidence ou conséquence directe ? Quoi qu’il en soit, voici la liste dite : Du comité MJ-12.

MJ-1: Contre-amiral Roscoe Hillenkoetter-
Directeur de la CIA du 1er mai 1947 au 7 octobre 1950. Hillenkoetter devint l’un des membres actifs du NICAP (célèbre association ufologue américaine).En 1960, il a reconnu que des informations concernant les ovnis avaient été cachées.

MJ-2: Dr Vannevar Bush-
Il présidera quatre ans le Joint Research and Development Board. Conseiller spécial du Président Trauman. Le Dr Vannevar, eut un rôle clé dans la mise au point de la Bombe H.

MJ-3: James Forresdal-
Secrétaire d’Etat à la Défense, puis ministre de la Défense. En 1949, il est victime de troubles mentaux. Forresdal s’est suicidé le 22 mai de la même année. Selon les documents du MJ-12, il sera remplacé le 1er août 1950, par le général Walter Bedell Smith.

MJ-4: Général Nathan Twining-
Commandant en chef de la base de l’Air Force des îles Mariannes d’ou partirent les B-29 pour Hiroshima et Nagasaki. Il devint commandant de l’Air Material Command, à Wright Field (Ohio). Puis chef d’état-major interarmées, le plus haut poste de la hiérarchie militaire des Etats-Unis.

MJ-5: Général Hoyt Vandenberg-
Chef du renseignement militaire lors de la Deuxième Guerre Mondiale, puis directeur de la CIA en octobre 1947.

MJ-6: Dr Detlev Bronk-
Sixième président de la John Hopkins University et conseiller médical pour l’US Atomic Energy Commission. Bronk était un collègue de Edward Condon, (auteur du rapport Condon sur les ovnis).

MJ-7: Dr Jerome Hunsaker-
Eminent ingénieur en aéronautique, il occupa le poste de directeur du Département de Mécanique et d’Ingéniérie Aéronautique du Massachussetts Institue of Technology (MIT).

MJ-8: Contre-Amiral Sidney Souers-
Après avoir occupé de très hautes fonctions dans l’US Navy, il fut le premier directeur de la CIA en 1946. Souers est devenu conseiller du Président en tant que premier Secrétaire Executil du National Security
Council (NSC).

MJ-9: Dr Gordon Gray-
Plusieurs fois élu Sénateur en Caroline du Nord. Ministre adjoint de l’Armée de Terre, puis conseiller en matière de défense et directeur du Conseil Stratégique de la CIA. (auteur d’un célèbre rapport sur la Garde Nationale).

MJ-10: Dr Donald Menzel-
Il fut l’un des plus grands professeurs d’astrophysique de l’université d’harvard. Et un opposant aux thèses ovnis. Il détenait une habilitation (Top Secret Ultra). Il sera conseiller technique auprès de plusieurs Présidents. (Auteur d’un livre sur les soucoupes volantes).

MJ-11: Général Robert Montague-
Il était commandant de la base de Sandia, et chef des projets armements spéciaux au Comité à l’Energie Atomique d’Albuquerque, (Nouveau-Mexique).

MJ-12: Dr Lloyd Berkener-
Scientifique de renom dans le domaine de la physique et de l’électronique. Secrétaire exécutif de la Joint Research and Development Board. Membre du comité ovnis financé par la CIA dans les années 50.

Il est clair que la composition du supposé comité MJ-12, était de tout premier ordre. Mais pour l’heure, bien peu d’indices ont été trouvés.

- « Alors qu’il n’avait pas connaissance du MJ-12, le général Arthur Exon, ancien commandant de la base aérienne de Wright-Patterson, dans l’Ohio, déclara en 1991 qu’il existait un groupe ultrasecret : (Les Treize Maudits). Contrôlant l’accès aux documents secrets relatifs aux ovnis. S’agit-il des Majestic-12, plus le Président ? ».
(L’Auteur).
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeLun 2 Avr - 2:45

L’UTILISATION DE LA TECHNOLOGIE EXTRATERRESTRE :


Le gouvernement américain a-t-il déchiffré les secrets d’épaves d’ovnis au point de pouvoir copier la technologie extraterrestre, (on parle alors de technologie à rebours?) Deux chercheurs américains sont de cet avis :
- « Il existe des preuves qu’une équipe travaillant au sein de l’administration américaine s’occupe de la technologie à rebours sur des vaisseaux extraterrestres ».
Explique le professeur Edgar Mitchell, sixième astronaute américain à avoir marché sur la lune et fondateur de l’institut des études noétiques. Mitchell s’inquiète que de telles activités aient pu prendre une ampleur démesurée :
- « Je crains fortement qu’il ne s’agisse plus d’une opération gouvernementale, mais qu’elle relève de personnes privées... Qui n’ont plus aucun compte à rendre à qui que ce soit et qui dépensent des milliards de dollars, puisés dans des fonds secrets ».
Stanton Friedman, qui enquête sur les opérations de dissimulation du gouvernement américain sur les affaires d’ovnis, estime que certains succès technologiques de notre époque pourraient bien être le fruit de technologie à rebours. Un bon exemple serait le transistor développé par les laboratoires Bell. Bell avait des liens étroits avec le laboratoire national Sandia basé à Albuquerque, (l’un des trois grands fabricants d’armes nucléaires aux Etats-Unis). Officiellement, le transistor est né le 23 décembre 1947, six mois après le crash de Roswell.

En 1997, Philip Corso ancien colonel de l’Armée américaine, auteur du livre The day after Roswell, à jeté le trouble dans la communauté ufologique. Cet ouvrage fait de surprenantes révélations quand à l’utilisation bien terrestre de la technologie d’outre-espace récupérée dans le désert du Nouveau-Mexique. Pour Corso, tout a commencé en 1947, lorsqu’il aurait vu l’un des corps extraterrestres recueillis à Roswell. Le (colis) était en transit à Fort Riley, dans le Kansas, avant d’être transporté à l’Air Materiel Command, dans l’Ohio. Quatorze années plus tard, en 1961, Corso fut affecté au Foreign Technology Office (FTO), un organisme chargé de mettre en application toutes les informations scientifiques obtenues sur des technologies étrangères. Si l’on en croit Corso, (étrangères), ne se limite pas au bloc des pays de l’Est mais bel et bien à l’univers entier. En effet, c’est au FTO qu’il aurait été chargé d’exploiter des débris ramassés au Nouveau-Mexique. Les révélations de Philip Corso, auraient sans doute rapidement terminé dans une corbeille à papier si l’auteur lui-même, n’avait pas été membre du National Security Council (NSC) d’Eisenhower et l’un des grands pontes du département Recherche et Développement de l’US Army. Son ouvrage, préfacé par le Sénateur Strom Thurmond, a donc jeté un trouble certain. Selon Corso, un nombre surprenant de développements technologiques de l’après-Guerre sont directement issus des analyses effectuées sur les débris. On compte parmi ces découvertes? Le développement des circuits intégrés, du laser, de la technologie des fibres optiques, du four à micro-ondes et même des armes du programme de la Guerre des Etoiles. Corso, aurait distribué lui-même des informations aux grandes entreprises sous contrats avec la Défense Américaine. Tout ceci ressemble bien à la toile de fond de l’affaire Roswell, elle-même...
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeLun 2 Avr - 2:46

L’INTERVIEW D’UN EXTRATERRESTRE :


Tout commence effectivement sur la zone 51, la base secrète située au Névada ou l’US Air Force dissimulerait des activités ovnis. Là, d’après un document, deux hommes non identifiés se seraient entretenus avec une créature extraterrestre mise au secret. L’interview sera filmée. Dans une pièce sombre, éclairée d’une sinistre lumière verdâtre, on distingue avec difficulté la silhouette de deux hommes, l’un porte un uniforme l’autre non. Ils sont assis côte à côte à l’extrémité d’une longue table recouverte de micros. Ils tournent le dos à la caméra. A l’autre bout de la table se tient une petite créature à la peau beige, de grands yeux noirs et brillants, une tête hypertrophiée. C’est une étrange silhouette, qui parle, répond aux questions qu’on lui pose.
Un voyant lumineux clignote de manière irrégulière, on dirait un appareil médical, peut-être un électrocardiogramme mesurant les battements du coeur de la créature? Elle semble souffrir, elle balance d’avant en arrière sa tête, ouvre et referme rapidement la bouche. Soudain l’extraterrestre, régurgite violemment une espèce de liquide. Deux personnes en tenue médicale viennent à la rescousse du malade. L’un d’eux tient délicatement sa tête et examine ses yeux, tandis que l’autre place les doigts dans sa bouche, essayant visiblement de l’aider à respirer. Mais, le film s’arrête-là.

Cette séquence vidéo ne dure pas plus de trois minutes. Sa diffusion en avril 1997 dans l’émission américaine Strange Universe, a eu une immense répercussion dans les médias et dans les milieux autorisés. La curiosité du public pour la fameuse zone 51, se trouva tout à coup ravivée. Très vite les chercheurs se querellèrent, comme ils l’avaient fait deux ans plus tôt à propos du film (Autopsie d’un Extraterrestre). Supercherie? Canular ? Où document véritable ? Les hypothèses fusèrent de tous côtés. Pour y voir plus clair, il faut suivre pas à pas le chemin sinueux qu’emprunté cette cassette vidéo, pour parvenir jusqu’au bureau d’un producteur de télévision. La cassette est (dérobée?), par un individu connu seulement sous le nom de Victor. L’homme prétend être un ancien employé de la zone 51. Il affirme avoir pioché parmi des centaines d’heures d’entretiens avec de nombreuses espèces d’extraterrestres différentes, toutes enregistrées sur le site de la zone 51. Victor, essaya ensuite de faire diffuser la séquence. Il contacta ainsi plusieurs directeurs de chaînes de télévision, dont Robert Kiviat, le producteur du documentaire américain de : Autopsie d’un Extraterrestre.

Comme Kiviat avait eu l’impression d’avoir déjà été dupé une fois, il refusa de diffuser la séquence. Finalement, c’est la société de production Rocket Pictures Home Video de Los Angeles qui se porta acquéreur de la cassette. Elle avait justement en préparation une émission au sujet des programmes secrets menés par le gouvernement américain sur la zone 51. La séquence s’y intégrerai parfaitement. Le documentaire fut diffusé en août 1997. Son titre: Zone 51, entretien avec un extraterrestre. Sur la demande de Tom Coleman, le président de la Rocket, le documentaire avait été réalisé par Jeff Broadstreet, un producteur indépendant qui est aussi un passionné d’ovnis. Broadstreet, voulut mener son enquête de la façon la plus impartiale, pour s’assurer de l’authenticité de la séquence. Il essaya donc de s’entretenir avec Victor, l’homme clé de cette affaire. Mais celui-ci exigea une somme d’argent démesurée pour une interview. L’une des seules personnes à avoir réellement rencontré Victor est Jeff Broadstreet lui-même, l’homme a accepté d’apparaître dans son film, mais seulement (dans l’ombre), afin de garantir son anonymat.
- « Il n’a même pas voulu me donner son vrai nom, ni me révéler quel poste il occupait dans la zone 51. On sait seulement qu’il y à travaillé. Il m’a avoué que sa plus grande crainte était que les autorités découvrent son identité. Parce qu’il craint les représailles des services secrets américains. S’il a effacé la bande sonore de la cassette avant de la rendre publique, c’est à la fois pour préserver son anonymat et celle des deux hommes qui interviewaient la créature. Victor voit dans l’homme en uniforme, une sorte d’aide de camp, et dans l’autre un télépathe, au service du gouvernement. Mais il n’a avancé aucun élément pour étayer ses suppositions ».
Enfin, à la question de savoir s’il a vu dans la zone 51 d’autres extraterrestres vivants, Victor répond de manière très évasive :
- « J’en ai peut-être vu à d’autres occasions... »
Après enquête, Jeff Broadstreet demeure circonspect.
- « Personnellement, j’ignore si la bande vidéo est authentique ou non. Mon documentaire permet juste de se faire une idée, en toute objectivité ».
Le colonel Robert Dean a fait plusieurs rapprochements entre les deux séquences prétendument filmées dans la zone 51. Son opinion est faite : L’autopsie comme l’interview sont authentiques.
- « Dans les deux films, les créatures ressemblent étonnamment au corps d’extraterrestres photographiés suite aux accidents d’ovnis survenus aux Etats-Unis. Je suis un des rare militaires à avoir au accès à ces clichés ».
Dean croit aussi avoir trouvé la raison qui expliquerait l’incrédulité témoignée par la plupart des ufologues :
- « Les ufologues ne se rendent pas compte que nous avons affaire non pas à une, mais à plusieurs espèces d’extraterrestres ».
Durant les trois minutes que dure la vidéo, une suite de caractères alphanumérique s’affichent en bas des images, on lit (DNI/27), suivi de quatre chiffres indiquant l’heure, les minutes, les secondes et les centièmes de secondes. Selon l’ufologue Sean Morton, les lettres sont un acronyme pour Department of Naval Intelligence. (Les services secrets de la Marine américaine supervisant les activités sur la zone 51). Les liens existant entre le DNI et la zone 51 furent découverts par le journaliste George Knapp. En enquêtant sur les allégations de Bob Lazar, il découvrit que les chèques correspondant aux salaires perçus par Lazar lorsqu’il travaillait sur la zone 51 portaient tous la mention DNI.

-« Aujourd’hui, les dernières rumeurs laissent entendre que la zone 51 n’existe plus en tant que telle. Les activités top secrètes en relation avec les ovnis ont été transférées ailleurs ».
(L’Auteur).
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeLun 2 Avr - 2:47

LES HOMMES EN NOIR :


Si l’on étudie le phénomène, on constate qu’il existe deux types de visites d’Hommes en Noir. En effet, si ceux-ci prétendent toujours posséder une identité humaine, dans certains cas, cette identité semble au premier abord plausible, ce n’est qu’après vérification que l’on s’aperçoit que l’identité déclinée était fausse et que ces hommes ont une connaissance inexpliquée de certaines informations. Dans d’autres cas, au contraire, leurs apparitions foisonnent de détails invraisemblables.

Une de ces affaires extraordinaires eut lieu après l’enlèvement par des extraterrestres de deux hommes en octobre 1975. Prés d’un an après l’incident en question, le 11 septembre 1976, le psychiatre enquêtant sur l’affaire, le Dr Herbert Hopkins, travaillait chez lui, seul, lorsqu’il reçut un appel téléphonique d’un homme qui se présentait comme enquêteur en matière d’ovnis. L’étranger demanda l’autorisation de rendre visite au psychiatre, et moins d’une minute après l’appel téléphonique, il sonna à sa porte.
- « Je n’ai pas vu de voiture, et même s’il avait eu une voiture, il n’aurait absolument pas eu le temps de venir chez moi aussi rapidement à partir d’un téléphone public. Fit remarquer le Dr Hopkins ».
Le visiteur conseilla à Hopkins de détruire la totalité de ses archives concernant l’affaire d’enlèvement. Mais peu à peu, Hopkins remarqua que la parole du visiteur devenait hésitante. L’homme se leva soudain en tremblant, parvenant avec difficulté jusqu’à la porte, s’excusa en disant :
- « Ma réserve d’énergie est presque épuisée... Il faut je parte ».
C’est alors que le Dr Hopkins, prit conscience de l’aspect extrêmement étrange de son visiteur. Il portait un costume noir d’une coupe très démodée, mais qui semblait neuf. Totalement chauve, il n’avait pas de sourcils ni de cils et, détail encore plus étrange, il portait du rouge à lèvres. L’expérience vécue par le Dr Hopkins constitue l’un des récits les plus fiables et les plus détaillés d’une visite d’Hommes en Noir. Pourtant, bien des aspects semblent absurdes, voire surréalistes. On constate cependant que nombre de cas d’apparition d’Homme en Noir comportent des détails de ce type. Cela semble indiquer que ces entités ne sont peut-être pas un phénomène physique, du moins au sens ou nous l’entendons communément. Ces conclusions ont amené certains spécialistes à affirmer que les Hommes en Noir sont des extraterrestres. Mais une autre hypothèse est avancée, selon laquelle ces hommes étranges ne seraient autres que des agents Officiels.

Si l’on rassemble les informations que l’on possède sur les diverses apparitions d’Hommes en Noir, on constate que les récits varient d’un cas à l’autre, mais on retrouve toujours la même trame. En général, les Hommes en Noir se manifestent peu de temps après qu’un ovni ou une rencontre avec un extraterrestre a été signalé. Il s’agit soit d’une visite, soit d’un appel téléphonique à la personne qui a rencontré le phénomène extraterrestre, ou à une personne enquêtant sur l’affaire. Lorsqu’ils apparaissent, en général à deux ou trois, ils sont vêtus de noir où porte un uniforme militaire. Ils se déplacent souvent dans une voiture d’un modèle très ancien, mais paraissant neuve. Certains Hommes en noir présentent des papiers d’identités, mais ceux-ci s’avèrent toujours faux par la suite. Les Hommes en Noir semblent toujours posséder des renseignements détaillés concernant la victime et l’expérience qu’elle à vécue, (renseignements connus de la victime seule!). Etant donné que la visite intervient la plupart du temps quelques heures seulement après l’incident. Comment font ils pour obtenir ces renseignements si rapidement ?
Selon certains ufologues, les seules personnes ayant accès à ce genre d’informations sont des agents secrets du gouvernement. Ils estiment que ces mystérieux étrangers participent à une campagne de désinformation visant à dissimuler la nature véritable de certaines opérations secrètes menées par les services officiels, comme des opérations militaires ultrasecrètes. Par ailleurs, un certain nombre d’ufologues sont convaincus que les gouvernements cherchent à empêcher la population de découvrir la vérité sur les ovnis. Dans cette hypothèse les Hommes en Noir feraient partie d’une conspiration gouvernementale, montée par les services secrets et destinée à manipuler les témoins d’apparitions d’ovnis et les enquêteurs. La principale faiblesse de cette théorie réside dans le fait que les vagues menaces proférées par les Hommes en Noir, ne sont jamais mises à exécution. Ceux qui ont refusé de se conformer à leurs instructions n’ont jamais été inquiétés par la suite.

En 1952, Albert Bender, créa dans le Connecticut l’International Flying Saucer Bureau, (IFSB). Premier organisme d’importance dédié aux recherches sur les ovnis. Mais l’IFSB ferma ses portes 18 mois plus tard. La famille de Bender avait été menacée par trois Hommes en Noir, qui exigèrent que les recherches cessent. Le phénomène des Hommes en Noir, fait maintenant partie intégrante du lourd dossier concernant les ovnis, exploiter notamment par l’industrie cinématographique. Pourtant, bien que l’on signale constamment la présence d’Hommes en Noir dans divers endroits de la planète, jamais la preuve concluante de ces visites n’a pu être fournie. En outre, pour ajouter à la confusion générale, des services officiels tel que le Ministère de la Défense, tout en affichant désormais un grand intérêt pour les observations d’ovnis, nient toujours la moindre participation dans le phénomène des Hommes en Noir.
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeLun 2 Avr - 2:49

DES CREATURES CAPTUREES :


Le 20 janvier 1996, vers 8 heures du matin les pompiers de Varginha, une ville de l’Etat de Minas Gerais, se situant au sud du Brésil, sont intervenus pour capturer une bête sauvage égarée. Au téléphone, une voix masculine leur à indiqué les fourrés du Jardim Andere, un parc de la banlieue nord de Varginha. C’est donc-là que les pompiers entament leurs recherches, mais ils ne s’attendaient sans doute pas au spectacle auquel ils furent confrontés. Prés de la partie boisée du parc, ils tombent nez à nez avec quelque chose de totalement inhabituel. Devant eux accroupie sur ses deux pattes, se trouve une créature d’un mettre de haut, les yeux rouge de sang, la peau brune et huileuse. La (chose), porte trois bosses sur le front et, à la place de la bouche, on n’aperçoit qu’un tout petit orifice, d’ou sort un étrange bourdonnement, semblable à celui d’un essaim d’abeilles. Visiblement, la (chose), est blessée.
Tandis que les pompiers entreprennent de capturer l’étrange créature, leur chef s’empresse de téléphoner à une base militaire voisine. Le général Sergio Coelho Lima, commandant cette base, va aussitôt ordonner à ses troupes de boucler les abords du jardin public, et ce le plus rapidement possible : L’affaire est d’importance.
Quatre pompiers parviennent à prendre la créature dans leurs filets. A peine est elle enfermée dans une caisse en bois qu’ils doivent la remettre aux militaires, arrivés sur place en un temps record. Pompiers et hommes de troupes vont ensuite quitter les lieux très rapidement. Le général Lima peut se féliciter d’avoir mené son opération de main de maître. L’étrange capture du Jardim Andere devrait demeurer confidentielle car, pense-t-il, les quelques civils présents sur les lieux ne pourront témoigner que de manière incomplète. Or un homme à assisté à la totalité de la scène, depuis le toit d’un immeuble tout proche, il s’agit de Henrique Jose, un maçon dont le témoignage va donner une toute autre dimension à cette affaire.

Un deuxième événement aura lieu le jour même. Et cette fois, non seulement les pompiers et les militaires vont être alertés, mais aussi un spécialiste local des phénomènes ovnis, l’ufologue Ubirijara Franco Rodrigues. Sur la foi de plusieurs coups de téléphone, ce dernier va s’empresser d’interviewer trois jeunes filles qui prétendent avoir vu, vers 15h30, une créature étrange, tapie devant un immeuble bordant le Jardim Andere, non loin de l’endroit ou la première créature a été capturée le matin même. Au moment de l’interview, l’ufologue n’est d’ailleurs même pas au courant de cette première apparition, et il ne fera le lien entre les deux événements qu’ultérieurement. Le discours tenu par les jeunes filles à Ubirijara Franco Rodrigues est sans ambiguïtés, elles sont persuadées d’avoir rencontré le Diable! En personne. Terrifiées, elles ont aussitôt pris leurs jambes à leur cou. Entre-temps, alertés par les habitants du quartier, paniqués par l’apparition, les pompiers et les militaires sont arrivés sur place. La capture va être moins discrète que celle du matin. C’est sous les yeux d’une petite foule rassemblée dans la rue que la créature, qui semble elle aussi bien mal en point, sera encagée, puis disparaîtra, chargée dans un camion de l’Armée. Quelques temps après ce 20 janvier 1996, Ubirijara Franco Rodrigues croisa un autre ufologue, Rodrigues Pacaccini. Ce dernier avait commencé une enquête sur les événements du 20 au matin, mais il ignorait tout du deuxième incident. Les deux hommes crurent un moment qu’ils enquêtaient sur la même apparition. Ils se rendirent rapidement compte qu’il s’agissait de deux faits distincts, mais indubitablement liés. Ils décidèrent alors de mettre leurs ressources en commun et d’organiser une campagne d’affichage afin que l’ensemble des témoins se fasse connaître. Rapidement, la communauté des ufologues brésiliens sera informée de la capture par les militaires de ce qui semble être deux extraterrestres. En quelques jours, une soixantaine de témoins se feront connaître des enquêteurs. Varginha est une ville de garnison, et de nombreuses familles ont au moins un de leurs membres sous les drapeaux, les incidents du 20 janvier furent donc largement commentés dans les foyers. A plusieurs reprises, des personnes déclarèrent aux enquêteurs qu’un frère ou un mari avait soit assisté, soit directement pris part aux événements. Grâce à ces indications, les enquêteurs purent prendre contact avec les intéressés et, contrairement à une règle générale en matière de phénomènes ovnis, certains acceptèrent bien volontiers de témoigner. Un fait n’est peut-être pas étranger à l’engouement suscité par cette affaire. Un policier présent sur les lieux et simplement égratigné par l’une des créatures, lors de sa capture, décéda deux jours plus tard. Si le communiqué officiel de l’hôpital indiquait une pneumonie comme cause du décès, la famille du défunt ne put jamais obtenir de renseignement plus précis concernant cette foudroyante affection.

Quoi qu’il en soit, les langues se délièrent et les enquêteurs disposaient désormais de donnés de plus en plus précises. Ils purent bientôt reconstituer une version officieuse complète des événements. Ainsi, d’après plusieurs témoignages, la première créature capturée le 20 au matin fut transportée à l’école des sous-officiers de Très Coracoes, au sud-est de Varginha. Et l’on n’en sait guère plus à son sujet. Ce n’est pas le cas de la deuxième, à propos de laquelle les informations sont plus détaillées. En croisant les différents témoignages recueillis, Rodrigues et Pacaccini, les deux ufologues décidés à tirer cette affaire au clair, purent établir que la deuxième créature avait été transportée à l’hôpital régional de Varginha en fin d’après-midi, le 20 janvier. Selon des sources médicales, la créature fut transférée le même jour ou le lendemain matin, à l’hôpital Humanitas de Varginha, bien mieux équipé pour soigner ses blessures. Mais cela devait s’avérer insuffisant puisque, selon des membres du personnel de cet hôpital, la créature y serait morte le lundi 22 janvier, vers 18 heures. Peu de temps après, au moins quinze médecins et un certains nombre de militaires, de policiers et de pompiers furent convoqués pour une étrange séance (post mortem).
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeLun 2 Avr - 2:50

L’une des personnes présentes raconte que la créature gisait, étendue sur une caisse en bois, au centre d’une salle. L’un des médecins aurait alors forcé l’ouverture de la minuscule bouche du cadavre pour en retirer doucement une langue noire. Après quelques secondes, le médecin relâcha sa prise et la langue se rétracta immédiatement. Les témoins de cette scène donnèrent d’autres détails sur la créature, elle avait toujours ses trois bosses sur le front et ne possédait que trois doigts à chaque main. Elle n’ait ni nombril, ni mamelons, ni organes sexuels apparents, ce qui laisse supposer un mode de reproduction très particulier. Conformément aux premiers témoignages, la peau à l’aspect huileux était de couleur brune et présentait d’importantes rides ou éraflures au niveau de l’articulation des jambes. Au terme de cette macabre présentation, le couvercle de la caisse fut remis en place et vissé. Deux militaires, masqués et gantés, enveloppèrent alors le tout dans un plastique noir, puis chargèrent la caisse à l’arrière d’un camion garé à proximité. Le lendemain matin, de bonne heure, un convoi militaire quittait la région de Varginha. Le corps de la créature venait sans doute d’être transféré à Unicamps, l’Université de Campinas, à 320 kilomètres au sud-ouest du lieu de sa capture. La piste du cadavre s’arrête-là. Mais plusieurs éléments incitent les enquêteurs à penser qu’il fut en définitive récupéré par l’Armée Américaine.

Divers recoupements semblent indiquer que le gouvernement américain a effectivement été mêlé à l’affaire. La présence d’un américain fut signalée le matin du 20 janvier, lorsque la première créature fut capturée et chargée sur un camion militaire. Plus tard, au cours de la même journée, un avion de transport de l’US Air Force atterrissait à l’aéroport international de Sao Paulo. Deux jours plus tard, le même avion fut repéré sur l’aéroport de Campinas, proche de l’Université ou la deuxième créature est supposée avoir été transportée après autopsie. Cela ne signifie-t-il pas que les deux créatures, l’une vivante, l’autre morte, furent en fait acheminées vers les Etats-Unis ? Il existe d’autres indices en faveur de cette thèse. En avril 1996, Louiza Silva, la mère des deux des jeunes filles terrifiées par l’apparition de la deuxième créature, indiqua que quatre étrangers étaient venus lui rendre visite. Ces hommes étaient habillés d’un costume de marque aux tons clairs. Ils lui offrirent une somme importante en espèces afin que ses filles reviennent sur leurs témoignages et prétendent avoir menti. Lorsque Louiza Silva refusa, les hommes promirent de revenir sur un ton peu charitable, puis quittèrent les lieux dans une voiture récente, une Lincoln Continental bleue.

Comment les américains avaient-ils pu être si rapidement au courant de ce qui se passait à Varginah? Pacaccini l’apprit plus tard en interrogeant un opérateur radar de l’aviation brésilienne. Celui-ci révéla que les autorités militaires brésiliennes avaient été informées par les Etats-Unis qu’un ovni entrait dans leur espace aérien. Les américains furent également en mesure de préciser la latitude et la longitude de la route suivie par l’objet. Cette information est corroborée par des centaines d’observations d’ovnis signalées dans la région de Varginah durant la période précédant le 20 janvier. Un agriculteur, Eurico de Freitas, raconta par exemple comment sa femme et lui furent réveillés par une agitation anormale des animaux de la ferme. Ils virent alors, par la fenêtre de leur chambre à coucher, un objet grisâtre, émettant une sorte de fumée, traverser silencieusement les champs à environ 5 m du sol, avant de disparaître dans la nuit. Selon l’ufologue Pacaccini, les deux créatures capturées pourraient être soit d’origine humaine, (peut-être le résultat d’une expérience militaire qui aurait singulièrement mal tournée), soit de véritable extraterrestres dont le véhicule se serait écrasé non loin de Varginah, et qui auraient erré jusqu’au Jardim Andere ou ils furent pris.
Mais, si l’engin s’était écrasé, où se serait produit l’impact? Ce genre d’incident devrait laisser des traces. Pacaccini prétend que ses recherches pour retrouver le site de cet éventuel crash ont été entravées par les militaires. L’enquêteur affirme même avoir reçu d’innombrables coups de téléphones anonymes le menaçant de mort, s’il poursuivait ses investigations.

Une troisième créature serait toujours en liberté. En février 1996, à la sortie d’un virage, un automobiliste prit dans ses phares un être étrange à environ 50 mètres de sa camionnette. Il freina brutalement et vit la créature se protéger le visage, avant de disparaître dans la nuit. Selon l’automobiliste, elle possédait de grands yeux, (couleur sang).
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeLun 2 Avr - 2:52

L’AFFAIRE RENDLESHAM :


Nous sommes en Grande-Bretagne, à Rendlesham, une vaste forêt de pins qui s’étend jusqu’à la mer à l’est de la ville d’Ipswich. En ce 26 décembre 1980, au lendemain de Noël. Dave Roberts et son amie se reposaient tranquillement dans les sous bois, profitant de quelques instants en tête-à-tête, quand ils furent soudainement éblouis par une lumière aveuglante. Au loin, un bruit de branches qui craquent.
Quelque chose s’était écrasé dans la forêt. Paniqués, ils rassemblèrent leurs affaires en hâte et prient la fuite. Au même moment, une Jeep militaire se dirigeait en trombe vers le point d’impact. La nuit s’emplit de sirènes, phares de voitures et lampes torches balayaient la forêt. Manifestement, un incident d’une importance considérable venait de se produire. Non loin de là, à l’orée de la forêt, un certain Gordon Levett jouait avec son chien de garde dans son jardin, lorsqu’il aperçut un étrange objet traversant les cieux dans sa direction. L’ovni, comme il le racontera plus tard, avait la forme d’un champignon renversé et il était de couleur verdâtre. Après s’être immobilisé quelques instants au dessus des toits, il reprit sa route en silence vers Woodbridge, la base aérienne de l’OTAN. Le lendemain matin, le chien de Levett devait tomber inexplicablement malade, tapi au fond de sa niche, il fut pris de tremblement et il mourut au bout de quelques jours. L’avis du vétérinaire :
- « Le chien à été empoisonné. Mais par qui ou par quoi? »

Même jour, même heure, de retour d’une soirée chez des amis, la famille Webb, des voisins de Gordon Levett, rentraient chez eux en voiture. Quand ils virent passer au dessus de la cime des arbres une énorme lumière blanche. Elle se dirigeait droit sur Woodbridge et Bentwaters, les deux bases aériennes de l’OTAN, situées dans la forêt de Rendlesham. L’objet apparaît subitement au dessus de la route, descendant lentement à travers les bois entre les villages d’Orford et de Woodbridge. Ensuite, l’ovni plonge dans la forêt, à proximité des bases aériennes de l’OTAN. La suite est l’affaire de l’Armée.

L’affirmation selon laquelle les autorités auraient caché au public des témoignages sur des prétendues observations d’ovnis ne contient pas une once de vérité, proclama en 1983, Michael Heseltine, alors ministre de la Défense.
Ce soir là, deux hommes sont affectés au poste de garde à l’entrée Est de la base de Woodbridge. John Burroughs et Budd Parker, des soldats de l’US Air Force. L’engin se dirigeait vers la forêt, Burroughs et Parker crurent d’abord à une erreur de pilotage, l’avion allait s’écraser sur les arbres. Mais il se produisit alors quelque chose d’anormal. L’objet ralentit et descendit doucement vers le sol, sa trajectoire semblait parfaitement contrôlée. Il n’y eut ni impact, ni explosion au moment ou il toucha terre. Burroughs se précipita au téléphone afin d’appeler la base. Il était deux heures du matin, et aucun avion n’avait été signalé dans la zone. Quelques minutes plus tard, le sergent Jim Penniston sautait dans une Jeep pour se rendre vers le lieu présumé de l’atterrissage. Un certain Herman Kavanasac était au volant. Le sergent Penniston avait reçu des instructions claires : (Il fallait traiter cette affaire de toute Urgence).

Une fois sur les lieux, Penniston et son chauffeur constatèrent par eux-mêmes ce qui se passait. D’étranges lumières vacillaient à travers les arbres. Les couleurs, un peu irréelles, étaient très plaisantes à regarder. Mais le sergent Panniston n’était pas du genre contemplatif. Pour lui, il devait s’agir d’un avion en flammes, écrasé en pleine forêt. Cependant, Burroughs et Parker, demeuraient toujours convaincus que quelque chose avait atterri. Budd Parker est laissé à l’entrée Est de la base pour monter la garde tandis que Jim Penniston, accompagné de John Burroughs et Herman Kavanasac s’enfonce dans les profondeurs de la forêt. Premier phénomène curieux, à leur grande surprise, le contact radio avec la base est interrompu. Brouillé par un champ magnétique d’origine inconnue. Le sergent ordonne alors à Kavanasac de se garer et de rester en arrière, à la limite de la zone de brouillage, il pourra ainsi assurer le relais des communications, au cas ou les choses tourneraient mal. Penniston et Burroughs pénètrent donc dans les bois, seuls. Penniston s’attend toujours à découvrir l’épave d’un avion en flammes. Mais à l’approche d’une clairière, d’autres phénomènes étranges se produisent. L’atmosphère se charge d’électricité. Les cheveux des deux hommes se dressent sur leurs têtes, ils ressentent des picotements sur toute la peau. Maintenant, l’engin se trouve-là, juste devant eux. Il ne figure dans aucun manuel d’aviation. Il est en forme de cône, de la taille d’une petite automobile, et flotte à 30 centimètres au dessus du sol. Il semble appuyé sur des rayons de lumière. Entouré d’une sorte d’aura brumeuse, il porte des symboles noirs. Peut-être s’agit-il d’une écriture inconnue? Il fallut quelques instants à Penniston pour s’arracher à cette vision hors du commun. En tant que responsable, il lui appartenait de tirer les choses au clair. Il voulut s’approcher mais. Impossible de s’approcher de l’objet à pied.
- « C’était comme d’essayer de marcher dans la mélasse », dira-t-il plus tard.

Les deux hommes s’y reprirent à plusieurs fois, mais il leur était impossible de faire un seul pas en avant. Subitement, un éclair se produisit. Au même moment, l’engin monta droit vers le ciel. Et la forêt retentit de mille cris, tous les animaux détalèrent à la recherche d’un abri. Quand à Penniston et Burroughs, ils restèrent là, bouche-bée, tandis que l’ovni disparaissait...

Par la suite, John Burroughs devait déclarer :
- « Je ne sais pas si ce que nous avons vu était une machine contrôlée par une intelligence extraterrestre. En tous cas, il est impossible de décrire avec des mots, cette merveille ».
Le récit des deux militaires, en partie corroboré par les autres témoignages, pourrait sembler irréfutable. Et pourtant, suite à l’incident, des voix s’élevèrent ici ou là pour avancer des théories plus ou moins crédibles. Il s’agissait d’expliquer l’inexplicable. En un mot d’exclure par tous les moyens l’hypothèse extraterrestre.
Le jour même des événements, le 26 décembre au soir, l’américain Charles Halt, commandant en second de la base de Woodbridge, et son officier de liaison britanique, le commandant Donald Moreland, avertissaient leurs gouvernements respectifs. Des personnalités de haut niveau se réunirent d’urgence. Peu de temps après, des vols ultrasecrets atterrissaient sur les bases de Bentwaters et de Woodbridge. On sait par ailleurs que des agents des services de renseignements américains étaient présents. Les premiers témoins, tels que Burroughs et Penniston, furent mis hors circuit. Le commandant en second lui même, ne fut jamais informé de ce qui se tramait sur la base. Que voulait cacher l’Armée?

La couverture radar de l’Est de l’Angleterre a toujours été très dense, afin de protéger le pays contre une attaque qui viendrait de la mer du Nord. Ainsi, l’objet qui avait été vu le 26 décembre fut-il détecté ?
A la station radar de la Royal Air Force (RAF), de Neatishead, un objet non identifié apparut sur l’écran radar. L’objet ne renvoyait aucun signal et échappait facilement aux meilleurs avions de la RAF. Comme il avait quitté les écrans radar à une vitesse phénoménale, une enquête approfondie s’ensuivit. Les enregistrements radar de Neatishead ainsi que ceux d’une autre station proche située à Watton furent réquisitionnés trois jours plus tard. Chose curieuse, lorsque les agents des services de renseignements de l’US Air Force (USAF), se rendirent à Watton pour prendre livraison des bandes, ils prétendirent qu’un ovni s’était écrasé dans la forêt. Selon eux, des officiers supérieurs d’une base aérienne de l’USAF toute proche avaient été témoins des événements, et qu’ils avaient vu des extraterrestres flottant dans des faisceaux de lumière sous l’engin spatial.
Il faut reconnaître que le silence officiel ne fait qu’ajouter à la suspicion. En effet, les autorités autant militaires que politiques ont tout fait pour étouffer l’affaire... N’oublions pas que la rencontre eut lieu dans une zone militaire très sensible. On raconte même que les bases aériennes de Woodbridge et Bentwaters abritent des agents de la National Security Agency (NSA), la plus grande organisation de renseignements américaine. Qu’ils s’y dérouleraient des expériences ultrasecrètes. Etait-ce des raisons suffisantes pour expliquer que le gouvernement britannique se soit toujours refusé à faire une enquête ? Et pourtant, Rendlesham allait encore recevoir la visite du même ovni.

Le lendemain, soit le 27 décembre 1980. A l’endroit présumé de l’atterrissage, de nombreux signes attestaient que quelque chose d’étrange s’était passé. En effet, des arbres avaient été renversés et le sol gelé portait la trace indélébile de l’ovni. Un avion fut envoyé dès l’aube pour survoler la forêt, il capta des radiations infrarouges anormales dans la zone. Tous ces éléments concordaient suffisamment pour que le chef intérimaire de la sécurité prenne la décision, le soir du 27 de déranger le commandant de la base aérienne de Bentwaters. Ce dernier s’apprêtait à prononcer un discours devant un parterre d’officiers au mess, lorsque le chef de la sécurité l’interrompit pour lui glisser ces mots à l’oreille :
- « Cela, est de retour... »
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeLun 2 Avr - 2:53

Toutes affaires cessantes, le commandant chargera aussitôt son second de régler une fois pour toute cette (Histoire d’Ovni). Le commandant de la base en second, le colonel Charles Halt, prend son rôle très au sérieux. L’occasion est trop belle d’enterrer cette affaire grotesque. Il réunit rapidement une équipe d’hommes qualifiés. Compteur Geiger dans une main, pour enregistrer le taux de radioactivité. Dictaphone dans l’autre. Tout au long de sa mission, Halt enregistrera ses impressions à hautes voix sur son dictaphone. La bande constituera un précieux témoignage, dont Halt se servira pour établir son rapport officiel. A peine arrivé, Halt fait établir un périmètre de sécurité autour de la zone, ou les mêmes événements avaient déjà eu lieu la nuit précédente. Pas question d’être dérangé. Ici, Halt recueille les premiers témoignages. Des patrouilleurs lui font un rapport, ils affirment avoir vu, une heure auparavant, d’étranges lumières flotter quelques instants prés de la route de Woodbridge, puis disparaître.

Très vite les lampes torches commencent à mal fonctionner. Elles s’arrêtent sans cesse, rendant la progression pénible. Halt, prend la décision de renvoyer un homme à la base, pour qu’on lui en amène d’autres. Dans le même temps, les communications radio de l’escouade, à la fois entre les soldats et avec la base, sont gênées par l’interférence de parasites. Tout se passe exactement comme la nuit précédente. Mais cette fois, on parvient à rétablir la communication à l’aide d’un cordon attaché aux arbres, qui fait office de relais. Le colonel parle à son dictaphone :
- « Nous avons quelques petits problèmes. On n’arrive pas à faire fonctionner les lampes. En attendant, on fait quelques relevés avec le compteur Geiger. Et, ma foi, on va inspecter un peu les alentours en attendant l’arrivée d’une nouvelle lampe ».
A ce moment, on entend la sonnerie du compteur Geiger, suivi par un murmure de surprise. Le taux de radioactivité dépasse de beaucoup la normal, rien de dangereux, mais c’est tout de même étonnant. Halt, évoque au micro d’une voix circonspect, la présence d’une chaleur ou d’une autre forme d’énergie, que lui a été signalée par un instrument d’observation fonctionnant à la lumière des étoiles. (C’est un détecteur visuel sensible aux infrarouges). Soudain, Halt ordonne à ses hommes de se taire, de ralentir, et surtout d’être prudent. Il y à quelque chose en face. Le colonel enregistre toujours son témoignage :
- « Il n’y à pas de doute! Il y a là-haut une espèce d’étrange lumière rouge clignotante ».
La zone lumineuse grossit jusqu’à ressembler à un oeil immense doté d’un centre noir. Dès lors, commence une folle équipée, la lumière se déplace au dessus des cimes et le colonel Halt, ordonne aux hommes de la suivre, épuisés ils progressent dans la forêt. En traversant un ruisseau, ils se mouillent jusqu’aux os. Plus d’une heure durant, ils traquent l’étrange lumière. L’enregistrement des événements continue:
- « Nous voyons maintenant un objet à environ dix degrés, tout droit au sud ».
Puis c’est le silence...

On sait qu’à ce moment précis l’objet lumineux s’est élancé vers le ciel. Sans un bruit. Reprenant son calme, Halt raconte d’une voix mal assurée :
- « Nous observons maintenant quelque chose qui ressemble à un rayon descendant vers le sol. C’est dingue!».
Peu de temps après, trempés et fatigués, Halt et ses hommes entament le voyage de retour. Ils aperçoivent encore d’étranges lumières au dessus de la base aérienne de Woodbridge. Des rayons semblables à des lasers descendent dans la zone de sécurité, au delà de la clôture. De nombreux membres du personnel militaire en auraient été témoins. Mais, manifestement, il n’y a là aucune intention de nuire. L’escouade rentre finalement à Bentwaters sans encombre. Ces événements étranges survenus dans la nuit du 27 décembre 1980, tels qu’ils furent relatés dans le rapport officiel du colonel Halt, venaient s’ajouter aux témoignages non moins troublants de ceux, militaires ou civils, qui, la nuit précédente avaient aperçu un ovni atterrir dans la forêt de Rendlesham. On ne parla de cette affaire, qu’en janvier 1981, lorsqu’une passionnée d’ufologie habitant la région recueillit des témoignages sur les bases militaires de Bentwaters et Woodbridge. Cependant l’Armée cherchait manifestement à étouffer l’affaire. Des officiers responsables des radars de la base aérienne de Watton n’avaient-ils pas été forcés de remettre leurs enregistrements aux services de renseignements Américains. Pourquoi ?

Les soupçons se portèrent d’abord sur les armes nucléaires, présentes sur la base de Bentwaters. Certains avancent donc l’hypothèse que l’histoire de l’ovni aurait été inventée de toutes pièces pour couvrir un accident nucléaire. Pourtant, à mesure qu’ils ont quitté l’Armée, les militaires n’ont pas manqué de parler et de décrire en détail ce qu’ils avaient vu. Or leurs témoignages concordent. Et il ne peut en aucun cas s’agir d’un prototype secret de l’Armée de l’Air, puisqu’on vit l’engin réaliser des prouesses défiant les lois de la physique. Mais personne n’est en mesure d’affirmer, que l’engin était sous le contrôle d’une intelligence extraterrestre. C’est le Pentagone, qui voit dans l’affaire de Rendlesham une des preuves les plus convaincantes de la possibilité d’une autre vie dans l’univers. L’hypothèse la plus surprenante émane de Clifford Stone, un agent secret du gouvernement américain. Selon lui, les extraterrestres ne viennent pas de notre univers. Il s’agirait d’intrus provenant d’une dimension parallèle et passant par une brèche à travers la matière. ( ? )
D’autres prétendent que, dans la nuit du 26 décembre 1980, ou se produisirent les événements de Rendlesham, un satellite militaire Soviétique s’écrasa au sol, à l’Est de l’Angleterre. Des astronomes ont découvert que sa trajectoire orbitale s’était modifiée de manière inexplicable. Comme si quelqu’un, ou quelque chose, l’avait perturbée. On sait que la NSA, conduisait sur l’île toute proche d’Orford Ness, un projet connu sous le nom de code : Cobra Mist, (Brouillard Cobra).
Cette zone abritait bien plus qu’un phare. Il s’y déroulait alors une expérience secrète. Officiellement, il s’agissait d’une tentative de perfectionnement d’une couverture radar, (au dessus de l’horizon). Mais de nombreux éléments permettent de penser qu’il était aussi question d’une arme sophistiquée du type : Guerre des Etoiles. Destinée à brouiller les systèmes électroniques des satellites.
Durant plusieurs années, Ralph Noyes ancien sous secrétaire au ministère de la Défense britanique, dirigea la commission qui enquêtait sur les phénomènes ovnis. Il étudia notamment l’affaire de Rendlesham. Par la suite, il mit en cause directement ses anciens employeurs :
- « Nous avons maintenant la preuve. J’ai honte de citer l’administration pour laquelle j’ai travaillé, que le Ministère a menti sur cette affaire. Il a dissimulé la vérité ».
Noyes, auteur du livre Une Propriété Secrète. Y évoque des expériences top secrètes se déroulant sur l’île toute proche d’Orford Ness. Expériences qui auraient permis selon lui, d’exploiter une source énergétique issue de l’atmosphère, capable d’altérer les sens. Le colonel Charles Halt, l’un des principaux témoins oculaires des événements de Rendlesham, était un brillant militaire de carrière ayant servi au Vietnam et au Japon. Peu après les faits, il devint commandant général de la base aérienne de Bentwaters. Plus tard, il devait superviser le démantèlement des missiles de croisière en Europe. Il travailla ensuite pour le Pentagone. Comme on peut le voir, son rôle de témoin oculaire dans l’affaire de Rendlesham, fut loin de nuire à sa carrière.
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeLun 2 Avr - 2:55

L’AFFAIRE CASH-LANDRUM :


Le 29 décembre 1980, après avoir dîner dans un restaurant de New Caney au Texas (Etats-Unis). Betty Cash, Vickie Landrum et son petit fils Colby, prennent leur voiture pour rentrer chez eux. Ils empruntent une route isolée en direction des faubourgs de Houston. Au détour d’un virage, le jeune Colby âgé de 7 ans, désigne un point lumineux dans le ciel. Les deux femmes regardent à leur tour et aperçoivent un point lumineux qui se rapproche pour finalement prendre l’apparence d’un vaisseau en forme de losange. L’ovni descend à hauteur des arbres à la verticale de la route. Un cône de feu émerge du vaisseau et bloque le passage. Ce cône évoque la queue d’une fusée s’arrachant du sol terrestre pour gagner l’espace. La lumière émanant du mystérieux objet, qui n’est plus maintenant qu’à une soixantaine de mètres, est si brillante qu’elle en éclaire la forêt aux alentours. Betty Cash arrête la voiture, les trois occupants en descendent rapidement. A l’extérieur, ils éprouvent une incroyable sensation de chaleur. Il faudra que l’objet s’éloigne pour que Betty réponde aux supplications de Vickie et remonte en voiture. Mais en ouvrant la portière, elle se brûle la main sur la poignée chauffée à blanc. Tandis qu’ils observent le vaisseau qui s’éloigne dans la nuit, une vingtaine d’Hélicoptères noirs pénètrent dans leur champ de vision, des Chinook CH-45 à deux rotors, comme cela fut révélé plus tard. Les Hélicoptères semblent poursuivre ou escorter l’étrange vaisseau. Cash et Landrum suivent encore la route environ 2 Kms. Mais lorsqu’ils croisent la route nationale, ils décident de suivre cette direction, c’est celle qu’ont également empruntée le vaisseau non identifié et la flotte d’Hélicoptères noirs. Soudain, l’un d’entre eux passe juste au dessus du capot de la voiture dans un bruit assourdissant. Elles bifurquent finalement en direction de Dayton, leur lieu de résidence, laissant derrière elles l’étrange ballet.

Abasourdis et désemparés, les trois témoins commencent à réaliser qu’ils détiennent des preuves réelles démontrant que ce qu’ils ont observé n’est pas une simple hallucination. Puis, au cours des jours et des semaines qui suivent, Cash et Landrum se rendent compte qu’elles ont subi des traumatismes qui ne peuvent résulter que de leur étrange rencontre. L’état de Betty Cash se détériore si vite qu’elle est admise aux urgences dans un hôpital des environs. Lors de son séjour, Betty ne confira à personne sa rencontre avec l’ovni, si bien que pour le personnel médical elle sera considérée comme une victime de brûlures classiques. Elle souffre aussi de vomissements et de diarrhées, et surtout de graves troubles de la vue, ses yeux sont si enflés qu’elle reste aveugle pendant une semaine. Des cloques se forment sur son cuir chevelu, elle perd ses cheveux. Vickie Landrum et son petit fils sont sujets à des symptômes similaires, mais à un degré moindre. Tous les deux ont les yeux enflés, la peau couverte de (coups de soleil). A cela ajoutons, comme pour Betty, vomissements et diarrhées. Au bout de quelques mois, Cash et Landrum font appel à Peter Gersten. Cet avocat s’était déjà illustré dans plusieurs affaires d’ovnis, ou il avait démontré que le gouvernement américain avait des responsabilités. La thèse de l’accusation sera la suivante :
(Le vaisseau aperçu par Cash et Landrum ne serait pas d’origine extraterrestre, mais appartiendrait à l’US Air Force. Elles intentaient donc un procès au gouvernement Américain, et Gersten d’exiger au nom de ses clientes des dommages et intérêts d’un montant de 20 millions de dollars au titre des préjudices subis).

En effet, après leurs hospitalisations, il fut établi que leurs symptômes correspondaient à ceux engendrés par une exposition à des radiations d’ultraviolets, de micro ondes et de rayons X. Mais les représentants de tous les organes officiels démontrèrent l’absence d’implication de l’Armée américaine, quel que soit le scénario envisagé. Le plus incroyable, c’est en dépit de la plainte de Cash-Landrum, aucune enquête officielle, (encore une fois), n’a jamais eu lieu.
Le procès se tint en 1986, et les plaignants furent déboutés, parce qu’ils ne purent apporter la preuve que l’ovni appartenait au gouvernement Américain. Depuis, l’affaire s’est perdue dans les méandres de l’administration de l’Armée et de la Justice. Ce fiasco juridique eut pour effet de discréditer Cash et Landrum aux yeux de l’opinion publique. Pourtant, Betty et Vickie avaient bien vu et surtout éprouvé quelque chose. De quoi s’agissait-il ? Certains pensent que Cash et Landrum ont observé un vaisseau ultrasecret de l’Armée Américaine fonctionnant à l’énergie nucléaire. Pour d’autres comme Stanton Friedman, les deux femmes et le petit Colby, auront assisté au passage d’un vaisseau spatial militaire, construit grâce aux connaissances acquises par les scientifiques américains, suite à l’étude des épaves d’ovnis extraterrestres.

- « Le vaisseau, était un vaisseau extraterrestre, piloté par des aviateurs de l’Armée de l’air ».
(Officier anonyme des services secrets).

Enfin, certains sont convaincus que les trois texans ont assisté à l’une des nombreuses manoeuvres organisées dans le cadre d’une collaboration ultrasecrète entre le gouvernement américain et une force d’invasion extraterrestre. Néanmoins, la plupart des spécialistes s’accordent sur le fait que la présence des Hélicoptères répondait à un souci de boucler le périmètre au cas ou le mystérieux vaisseau aurait été obligé d’atterrir pour une raison quelconque.
D’après John Schuessler, ingénieur en aérospatiale chez Boeing à Houston, les Hélicoptères appartenaient à des unités militaires basées à Fort Hoot, (Waco, Texas). Ou bien provenaient d’un porte-avion ancré dans le Golf du Mexique. La flotte de Chinook CH-45 ne faisait que surveiller l’ovni. Les extraterrestres seraient en grand nombre sur Terre. Et si le gouvernement américain est bien en contact avec eux, il ne peut pas les empêcher d’aller et venir à leur guise sur notre planète. Les extraterrestres, ne sont pas ici pour nous détruire, mais pour exploiter nos ressources. Les américains ne peuvent pas faire grand chose, à part surveiller leurs sorties et compiler des statistiques. Pour étayer sa thèse, Schuessler a tenté de joindre des responsables du gouvernement Américain. En vain. Il est pourtant, de la responsabilité du ou d’un gouvernement de tenir le public informé des données secrètes qu’il détient, mais aussi d’admettre qu’il est impuissant face aux intrus extraterrestres.

- « Si un gouvernement refuse de s’acquitter de ses devoirs les plus élémentaires, c’est bien pour ne pas avoir à révéler son incapacité à maîtriser la situation ».
(L’auteur).
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeLun 2 Avr - 2:57

L’HISTOIRE DES OVNIS :


Les récits anciens des chroniqueurs grecs, romains, mais aussi asiatiques, font état de nombreuses apparitions dont le comportement parait exclure une origine naturelle et, surtout, recoupe bien souvent celui des ovnis modernes. Il faut attendre l’ère carolingienne pour trouver pour la première fois de quoi laisser soupçonner par l’intermédiaire des chroniqueurs francs, une activité ufologique. Jusqu’à la fin du Moyen-Age, les cieux continueront à être le siège de nombreuses apparitions.

Si le XVIIe siècle fut remarquable par quelques belles observations collectives, c’est au siècle suivant que nous allions trouver en France, ce qui pourrait bien être les deux premières vagues d’ovnis de l’histoire, (celle de 1608 et celle de 1621). Le XIXe siècle voit l’apparition de la presse et du télégraphe, ce qui va contribuer à la diffusion des observations d’ovnis. Le terme de (soucoupe), pour désigner un ovni sera même employé pour la première fois en 1878 au Texas (Etats-Unis). Mais il faudra attendre 1897 pour voir se développer la première vague moderne d’ovnis avec de véritables répercussions dans les médias. Ces innombrables observations d’engins volants sont aussi l’occasion de rencontres, au sol ou à très basse altitude, entre des témoins et des (aviateurs), quelque peu étrange.

A partir de 1909, le sud de l’Angleterre commence à être survolé par d’étranges formes sombres. Dès juillet, c’est la Nouvelle-Zélande qui devient le théâtre de leurs manifestations. Au cours du mois d’août, le phénomène se déplace en Australie, et après quelques apparitions ici ou là, s’évanouir complètement. A partir de 1933, la presse suédoise commence à signaler les apparitions de mystérieux (aéroplanes), gris dépourvu de marques qui seront vite surnommés, (avions fantômes). Ces étranges engins semblent aussi à l’aise par temps clair qu’au coeur de la pire des tempêtes de neige qui cloue définitivement au sol les avions de l’Armée Suédoise. Et lorsque les chasseurs réussissent à décoller pour prendre en chasse les intrus, ils se révèlent incapables de remplir leur mission. Au fil des semaines et des témoignages qui s’accumulent, les (aéroplanes fantômes), deviennent une affaire nationale. En 1978, l’ufologue suédois Anders Liljegren découvre que l’Armée de l’air suédoise avait, à cette époque, créer un bureau d’enquête, le premier du genre au monde. Un an après la fin de la Seconde Guerre mondiale.

A partir de mai 1946, une autre vague se déploie, principalement dans les cieux scandinaves, mais aussi ceux du reste de l’Europe et même de l’Afrique du Nord. En effet, des centaines de témoignages montrent qu’une nouvelle variété d’ovnis est entrée en action, des sortes de cylindres volants, vite baptisés (missiles) ou (fusées fantômes). L’inquiétude internationale fera que tout ce qui vole sans être identifié sera catalogué, (fusée fantômes). Les suédois, qui sont les principaux concernés, forment un Comité Fusées Fantômes, pour étudier le problème. Le 1er décembre 1946, la vague d’ovnis commence à décliner. Le Comité peut rendre les conclusions suivantes :
- « Même si le corps principal des témoignages peut se rattacher à l’observation de phénomènes célestes, le Comité ne peut pas considérer que certains des faits exposés relèvent seulement de l’imagination populaire ».

Toutes les vagues précédentes avaient échoué sur un point : Faire prendre conscience de manière définitive aux populations de la présence du phénomène ovni. Ce sera chose faite à l’été 1947 aux Etats-Unis lorsqu’une observation par un aviateur lancera dans les médias
un terme journalistique aussi malheureux que frappant, (soucoupes volantes). En effet, au cours de l’été 1947, les (disques volants) investissent l’espace aérien américain. Ils sont vus par des observateurs qualifiés, civils ou militaires, et très souvent par des centaines de personnes à la fois. Face à cette invasion qui remet en cause la défense nationale, l’Armée américaine adopte un comportement suspect et confus qui fait soupçonner qu’elle ne maîtrise pas le problème et qu’elle dissimule des informations de la plus haute importance. Cette manière d’agir et la création d’une commission soucoupe (Projet Sign), qui s’évertue à réduire à néant les observations, va considérablement faciliter la prise de conscience de l’existence des ovnis aux Etats-Unis, puis dans le reste du monde. Ce sera aussi le cas de la vague américaine de juillet 1952, au cours de laquelle des ovnis seront poursuivis sans succès par des chasseurs de l’US Air Force, et viendront même narguer les hommes politiques en survolant le Capitole à Washington.

Bien plus tard, en 1997, des faits semblables mais d’ampleur nettement plus restreinte conduiront, au Chili, à la création d’une commission sur les ovnis. La vague de juillet 1952, relayée par les plus grands médias américains, consolidera définitivement dans le monde entier le processus d’acceptation de la réalité des ovnis.

En 1954, la France se retrouve au coeur d’une vague d’ovnis qui déferle sur l’Europe occidentale. De septembre à novembre, plus de 200 rencontres rapprochées, (avec des ovnis seuls ou des ovnis et leurs occupants), vont se produire rien qu’en France. Sur ces 200 cas, un tiers comporte la présence d’au moins un occupant. Et on retrouve cette prédominance des rencontres dites du troisième type dans les autres pays concernés, notamment en Italie. Car la vague de 1954 est avant tout celle des apparitions de (Martiens). Elle fait aussi prendre conscience, y compris à la première génération des ufologues, que le phénomène ovni ne peut pas se concevoir sans la présence d’occupants. De 1964 à 1968, le phénomène ovni connut une grande activité ponctuelle dans plusieurs régions du monde, plus particulièrement en Amérique du Sud.

En octobre 1973, c’est le déferlement de ce qui va être la dernière grande vague d’ovnis d’ampleur nationale aux Etats-Unis. Après quoi, ce pays sera le siège de vagues souvent confinées à un ou deux Etats. Les deux temps forts de la vague d’octobre 1973 furent, le 18 du mois, le contrôle par un ovni volant à proximité des commandes d’un Hélicoptère de l’Armée, et l’enlèvement, le 22, par les occupants d’un ovni de deux habitants de Pascagoula (Mississippi). Ces deux affaires figurent parmi les plus extraordinaire de l’histoire moderne des ovnis. En particulier par le soins qui à été apporté aux enquêtes et aux conclusions de parfaite intégrité des témoins qui en ont découlé. Quand à la vague la plus marquante de ces dix dernières années, c’est sans conteste celle qui à mobilisé la Belgique et ses forces armées en 1990. (Mi-mai 1997, le Ministre belge de la Défense, Jean-Pol Poncelet, annonçait officiellement le classement du dossier ouvert suite à cette vague d’observations. Motif: La signature captées par les radars des F-16 serait finalement celle d’un phénomène naturel lié à des écarts de température, par conséquent les centaines de témoignages doivent se rapporter à l’observation d’un prototype ultrasecret, le LoFlyte).
Mais les responsables américains du projet LoFlyte, certifient que le prototype n’est jamais sorti du territoire des Etats-Unis. Qui croire ?
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeLun 2 Avr - 2:58

Quand les militaires américains ont remarqué les premiers engins bizarres en 1947, ils ont mis sur pied une commission d’enquête, le projet Blue Booke, (livre bleu). Pendant vingt ans, les rapports d’observations se sont accumulés dans les tiroirs de la base de Wright Patterson, dans l’Ohio (Etats-Unis). Ce n’est qu’en 1968, sous la pression de l’opinion publique, que l’US Air Force a enfin livré les 12618 comptes rendus faisant états de phénomènes aériens inexpliqués à un groupe d’universitaires placé sous la direction du Dr Edward-U Cordon. A l’époque, la Commission Condon conclut que ces phénomènes n’existent pas. (Pendant trente ans, les scientifiques américains ont ignoré les ovnis ?)
Depuis 1969, le Space Command, organisme qui surveille l’espace aérien des Etats-Unis, rechigne (maintenant), à divulguer ces informations, officiellement pour ne pas dévoiler les moyens de détection de l’Armée Américaine.

En France, militaires et scientifiques (travaillent) ensemble. Le 28 janvier 1994, l’équipage d’un A320 d’Air France a assisté, au dessus de Paris, aux évolutions d’un disque rouge d’environ 250 mètres de diamètre. Aucun radar civil au sol ne l’a détecté. Mais l’Armée de l’air confirme les observations du personnel navigant.

- « Il se passe quelque chose... Et on l’étudie ».
(Général d’Armée aérienne Lionel-Max Chassin).

Un rapport fort important a été remis fin juin 1998 à la presse mondiale. Il présente les résultats essentiels d’un colloque scientifique international organisé en septembre 1997. Animé par l’astrophysicien Peter Sturrock, ce colloque a été consacré aux épreuves physiques concernant les ovnis. Un groupe de neuf éminents scientifiques, spécialistes de diverses disciplines. Mais souvent peu au fait du problème ovni, y formait un conseil scientifique jugeant des communications présentées par huit chercheurs en ufologie. Ce conseil a estimé que certains cas d’ovni méritaient une étude approfondie. Il recommande donc que la communauté scientifique entre en contact avec certains des chercheurs en ufologie et se tienne prête à envisager une gamme d’hypothèses quand à la nature des phénomènes ovnis. Il souhaite que la recherche dans ce domaine reçoive un support institutionnel. Il prend donc position diamétralement opposée à celle exprimée par le Dr Edward-U Condon en 1968, mais très proche de celle défendue à l’époque par l’AIAA (American Institute of Astronautics and Aeronautics). Certains des cas présentés lui ont semblé explicables par des phénomènes naturels rares, liés par exemple à l’électricité atmosphérique, d’autres pouvaient être dus à des engins militaires secrets. Aucun ne fournissait la preuve indiscutable d’un processus physique inconnu, ni d’une origine extraterrestre, mais certains apportaient assez d’informations crédibles et bien documentées pour inciter les scientifiques à s’intéresser activement au thème ovni. Ce rapport constitue un grand pas en avant dans la reconnaissance par les scientifiques contemporains de l’importance pour les sciences physiques de l’étude des ovnis. Enfin, il souhaite aussi que d’autres colloques réunissent ufologues et chercheurs scientifiques sur des sujets plus ou moins larges. Dès le début des manifestations d’ovni, l’US Air Force a jugé très probable la présence dans le ciel américain d’engins bien réels, mus par des intelligences, et dont les performances de vol dépassaient de loin celles de ses appareils. Une lettre datant de septembre 1947, et signé par le général Nathan Twining, ne laisse aucun doute à ce sujet. Les responsables militaires craignaient que ces objets ne soient des engins secrets russes. Mais très vite certains d’entre eux évoquèrent l’hypothèses d’engins extraterrestres. Quelques uns pensaient que les rapports étranges résultaient de mystifications, de mauvaises interprétations de phénomènes connus, ou de phénomènes naturels rares et mal connus. Ces trois interprétations des rapports d’ovni ont toujours cours aujourd’hui.

Certains rapports sont cependant suffisamment crédibles et étranges, pour que restent seules en lice les hypothèses d’engins secrets étrangers ou d’engins extraterrestres. (Ils concernent seulement des cas trés étudiés). Des ces rapports, les confirmations par radar des observations visuelles ne laissent guère de doute sur la réalité des objets, dont le comportement était manifestement intelligent. S’il s’était agi à l’époque d’engins secrets, leurs existences seraient connues depuis longtemps. Il n’y a en effet pas d’engin aéronautique resté secret pendant plus de 10 ans. Pour les trois cas précités, et pour de nombreux autres, l’hypothèse extraterrestre reste donc la seule en piste. Mais un certain nombre de personnes la jugent difficilement acceptable : Il n’y a pas de planète habitée autre que la nôtre dans notre système solaire, et les autres systèmes solaires sont à des distances qui interdisent, selon eux, le voyage de leurs éventuels habitants jusqu’à nous.

- « La physique actuelle permet d’élaborer une hypothèse extraterrestre plausible, et de rendre compte de l’essentiel des manifestations surprenantes des ovnis. Mais on ne peut exclure aucune éventualité ».
(L’Auteur).
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeLun 2 Avr - 3:00

TEMOINS DE L’ESPACE :


Il est souvent affirmé que les astronomes n’observent pas d’ovni. D’autres biens au contraire, ont vu dans l’espace et dans l’atmosphère des objets mobiles totalement inconnus. Gordon Cooper, l’un des premiers américains à avoir été placé en orbite autour de la terre, déclara en 1985 devant une commission spéciale des Nations Unies :
- « Je suis convaincu que des vaisseaux extraterrestres et leurs équipages, venu de planètes technologiquement plus avancées que la nôtre, nous rendent visite. Il nous faut donc bâtir un vaste programme de recherche afin de collecter et d’analyser scientifiquement les données concernant tout type de rencontres, ceci pour déterminer la manière d’établir un (contact amical) avec ces visiteurs ». Aussi conclut-il en racontant sa propre expérience :
- « En 1951, j’ai eu personnellement l’occasion d’observer pendant deux jours de nombreux ovnis, aux dimensions diverses, qui se déplaçaient en formation de chasse, volant à une altitude telle que nous ne pouvions les atteindre ».

Depuis 1958, date de la création de la NASA, plusieurs témoignages de ce genre, émanant de pilotes d’essai ou d’astronautes, ont en effet été enregistrés. Joseph Walker, pilote d’un avion de reconnaissance X-15, fut le premier membre de l’agence spatiale américaine à certifier avoir croisé des ovnis. En 1962, lors d’un discours prononcé à la Conférence nationale sur les utilisations pacifiques de la recherche spatiale, Walker déclara publiquement qu’il avait rencontré, lors d’un vol remontant au mois précédent, deux objets non identifiés. En juillet de la même année, un autre pilote de X-15, le commandant Robert White, affirma s’être retrouvé au sein d’une formation d’ovnis à 314000 pieds d’altitude (96 Km). Ces témoignages semblaient fiables mais la NASA refusa pourtant obstinément de les confirmer, et les photographies et films sur lesquels figuraient ces anomalies ne furent jamais divulgués au public. Aux curieux comme aux sceptiques la NASA se contenta de fournir son explication officielle :
- « Ce que ses pilotes avaient identifiés à tort comme des ovnis n’était en fait qu’un phénomène atmosphérique, (comme toujours), connu sous le nom des prismes de glace, en clair des météores ».
Sans faire plus de commentaires, la NASA laissait croire qu’elle ne s’intéressait nullement aux phénomènes ovnis, fait surprenant pour une agence spatiale. Or une enquête approfondie montre en fait qu’il n’en est rien.

En effet, en 1965, le FBI eut vent par une source confidentielle que des agents de la NASA divulguaient clandestinement, hors de l’agence, des (informations maison) relatives aux ovnis. Ces informations étaient destinées à deux individus installés à Pittburgh (Ohio). Le dossier du FBI, daté du 2 septembre 1965, précise encore :
- « D’après notre source, ces informations ex-filtrant de la NASA sont classées (Top Secret). On y apprend par exemple que X (nom censuré), a visionné un film tourné lors de la séparation d’un missile, film sur lequel apparaît un ovni. Ce même X (nom censuré), recommanda aux pilotes du vol Gemini-4 de rester sur le qui-vive car leur vaisseau spatial avait été spécialement équipé de dispositifs destinés à déceler la présence d’ovnis... »
Ce rapport du FBI sur les observations d’ovnis soulève deux questions importantes. Tout d’abord, la référence du film montrant un ovni en vol confirme que la NASA détient des informations auxquelles le public n’a pas accès. Mais c’est surtout la référence à la mission Gemini-4, (3 juin 1965) qui s’avère intéressante : En effet, l’un des pilotes de ce vol, James McDivitt, à confirmé avoir repéré un objet non identifié au cours de la mission. Bien que McDivitt, n’ait pas formellement affirmé qu’il s’agissait d’un engin extraterrestre, il se démarqua clairement des affirmations de son collègue James Oberg, pour qui l’ovni en question était le deuxième étage de la fusée Titan qui venait de mettre Gemini-4 en orbite. Comme l’ovniologue Timothy Good le fait judicieusement remarquer dans un livre paru en 1996, si tel est le cas, la seule chose demeurant inexplicable est qu’apparemment McDivitt ait été incapable de reconnaître sa propre fusée ! Après l’interruption du programme Gemini, le débat sur les rencontres d’ovnis dans l’espace allait rester en suspens. Jusqu’à ce qu’il soit relancé par les missions du programme Apollo. Le jeune Président Kennedy, dès son entrée en fonction, avait fait de la conquête spatiale l’un de ses chevaux de bataille. L’Amérique promettait au monde entier que bientôt, l’homme foulerait le sol lunaire. Cette promesse technologiquement réveilla la passion de l’opinion publique pour les mystères de l’espace. Et quand finalement les astronautes d’Apollo-11 firent leurs premiers pas sur la surface de la lune, le 20 juillet 1969, même le sceptique le plus endurci espérait sans doute que l’on trouverait-là un indice de vie extraterrestre, sous une forme ou une autre. Les déclarations officielles des trois astronautes de la mission Apollo-11 furent pourtant claires :
- « Aucune trace de vie à la surface de la lune ».
Mais la rumeur prétend également que les trois astronautes furent constamment surveillés par des ovnis au cours de leur mission. Cette rumeur prend pour origine la transcription d’une conversation radio entre l’équipage d’Apollo-11 et la base terrestre de la NASA, baptisée (Mission Control) :
Apollo-11: - « Qu’est-ce que c’est? Qu’est-ce que c’est, bon sang. Je veux absolument le savoir. Les engins sont énormes, je vous dis... Mon Dieu, mais c’est incroyable ! »
NASA: - « Quoi... Que se passe-t-il? »
Apollo-11: - « Ils sont-là, sous la surface ».
NASA: - « Qu’est-ce qui se passe? Mission Control appelle Apollo-11 ».
Apollo-11: - « Affirmatif, nous sommes ici tous les trois. Et ils sont-là depuis pas mal de temps, à en juger par les installations... Je vous dis qu’il y à d’autres vaisseaux spatiaux là-bas. Ils sont alignés de l’autre côté du cratère ».
Otto Binder, ancien collaborateur de la NASA, prétend que cette étrange conversation fut captée par un radio amateur ayant réussi à se brancher sur le Canal Confidentiel réservé à la NASA.
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MessageSujet: Re: LE LIVRE...   LE LIVRE... Icon_minitimeLun 2 Avr - 3:02

Il demeure malgré tout très difficile d’authentifier cette rencontre lunaire. En outre, le premier homme à avoir marcher sur la lune, Neil Armstrong, à démenti formellement toute observation anormale. Exceptés des objets d’origine naturelle, aucun fait bizarre n’a été signalé, trouvé, ou vu au cours de la mission Apollo-11, ni d’ailleurs lors des missions ultérieures. Le seul corroborant ce témoignage provient de Maurice Chatelain, un expert en communication attaché à la NASA. Lors d’une interview donnée en 1979, Chatelain insista sur le fait que la durée de transmission du dialogue entre (Mission Control) et Apollo-11, permettait techniquement à la NASA de censurer les informations concernant les visiteurs.

A toutes ces allégations, qu’elles émanent des astronautes eux-mêmes ou des divers enquêteurs privés, la NASA oppose une fin de non recevoir. En ce qui concerne la mission Apollo-11, l’agence spatiale américaine dément cependant avoir censuré les transmissions. Pourtant, le 14 mars 1990, aux alentours de 6h30 du matin, une affaire semblable s’est produite au cours d’un vol de la navette spatiale Discovery. Donald Ratsch, un radio amateur habitant à Baltimore (Maryland), écoutait les transmissions radio de Discovery lorsqu’il entendit la conversation suivante :
- « Houston, ici Discovery... Nous avons un problème. Il y à le feu ».
Peu de temps après, Ratsch entendit ceci sur son poste :
- « Houston, ici Discovrey. Nous continuons à surveiller le vaisseau spatial extraterrestre ».
Comme on pouvait s’y attendre, cette surprenante révélation incita quelques personnes, notamment Bob Oeschler, ancien spécialiste des missions spatiales à la NASA, à faire leur propre enquête. Suite à des investigations poussées, Oeschler parvint à la conclusion que, malgré les apparences, le message n’émanait pas de la navette, mais des environs de Fort Meade (Maryland). Où se trouvait la National Security Agency, un organisme américain chargé de la surveillance du territoire et qui, depuis longtemps, s’intéressait de prés aux questions d’ovnis. Oeschler fut obligé d’en conclure que les transmissions n’étaient qu’un canular organisé par des services officiels à des fins subtiles de désinformations. Mais un autre fait allait troubler les certitudes d’Oeschler, peu de temps après, une source haut placée au sein de la NASA, l’informa que le Shuttle avait effectivement été mêlé à un incident ovni, une rencontre qui dura pendant huit heures, et engendra de sérieux dysfonctionnements électriques à bord de Discovery. Face à la diversité des allégations faites de part et d’autre, il est difficile la encore de trancher le débat en l’état. Les seules possibilités de clarification dépendent de la NASA. Or l’agence spatiale américaine, qui visiblement semble détenir des preuves inédites, refuse depuis trente ans de dire quoi que ce soit sur les rencontres d’ovnis et tente d’imposer le silence à ses astronautes.

- « Tous les vols Apollo et Gemini furent suivis, à distance et quelque fois de très prés, par des vaisseaux spatiaux d’origine extraterrestre. A chaque fois, les astronautes en informaient (Mission Control), qui leur enjoignait de garder le silence le plus complet ».
(Maurice Chatelain).

Chatelain soutient par ailleurs que tout le monde à la NASA, savait que les astronautes observaient des ovnis. Mais la consigne était stricte : Ne jamais en parler ! ! !

- « Je pense qu’une parcelle seulement des informations circulant actuellement sont valables, et qu’il existe une masse de données dix fois plus importante qui n’est que de la désinformation émise par la NASA elle-même. Pour semer le trouble... »
(L’Auteur).

- « L’information essentielle reste détenue par un groupe d’organisations quasi-privées, héritières d’anciennes organisations du renseignement militaire. Ces organismes continuent à fonctionner grâce à des budgets clandestins, estimés à plus de 30 milliards de dollars par an. Sans que le public ne sache à quoi ses fonds sont destinés : Sécurité Nationale Oblige. Toutefois, s’il existait au sein des services officiels des informations relatives à des contacts extraterrestres, et que l’on nous envoyait dans l’espace, en quelque sorte aveugle et sourd, car privés de ces données, je trouverais cela Criminel. Nous envoyer là-haut, sur un scénario aussi hasardeux? Gare, si ces informations sont vraies et que l’on nous a laissé croire que rien de tout cela n’était possible ».
(Edgar Dean Mitchell). *Pilote du module lunaire d’Apollo-14.



La plupart des scientifiques acceptent aujourd’hui, l’idée que la vie existe bien ailleurs dans l’Univers. Cette hypothèse repose avant tout sur la loi des très grands nombres. Avec des milliards de galaxies, chacune contenant des milliards d’étoiles, les chances statistiques qu’il existe quelque part, au moins une autre planète abritant la vie, sont extrêmement élevées.


L’Identification de planètes viables n’est qu’une affaire de temps…

Pascal.
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